scubby a écrit:Je ne remets en doute ni la qualité de votre travail, ni l'intérêt pédagogique qu'il présente (bonne idée de faire réfléchir les ado sur le concept d'uchronie dans un mode de pensée révisionniste toujours plus présent).
Relisez-vous. Vos quelques posts sur ce topic dénigrent régulièrement notre série.
C'est votre droit de ne pas aimer, mais pourquoi cet acharnement ?
scubby a écrit:J'ai voulu pointer le doigt sur la politique éditoriale de diffusion qui balance une bd tous les 4 mois comme on balance un magazine trimestrielle. J'y vois une politique de profit visant à exploiter le succès à outrance et à presser le consommateur jusqu'à la dernière goutte. La qualité des albums se noie sous le nombre et le désintérêt. Rien à voir avec la qualité de votre travail, juste un coup de gueule contre cette frénésie commerciale. J'aurais pu prendre un autre cas, mais je n'en ai pas vu d'autre.
"Politique du profit, succès à outrance, presser le consommateur"
Visiblement vous êtes encore au café du commerce... (au fait vous avez oublié "vache à lait" dans votre argumentaire, peut-être avec le troisième café/calva ?)
Pour ce qui est de la politique éditoriale, Jour J est sorti au moment où les lecteurs ne voulaient plus attendre un an entre chaque album d'une série, sous peine de passer à autre chose, il leur fallait la suite là et tout de suite. La réponse de certains auteurs a été les séries concepts, telle Jour J. Evidemment ce qui a été hautement apprécié sur le moment est devenu au fil du temps la cible des justiciers masqués d'internet, c'est d'un pathétique.
Les autres cas que vous auriez pu citer, juste chez Delcourt/Soleil : Donjon (ah oui mais là c'est de l'art, pas touche), 7 (ah oui mais ça c'est génial), Les 5 Terres (ah non mais ça j'ai pas lu mais il paraît que c'est top), Nains, Elfes, Orcs & Gobelins (Ah oui mais ça je connais pas).
Tellement facile de s'en prendre toujours aux mêmes, un peu comme des chasseurs en goguette partant tirer le gibier à bout portant l'hiver venu... après quelques rasades au café du commerce local, comme il se doit.