J'ai fini Breaking Bad il y a quelques jours.
Quelle série magistrale, beaucoup de références au cinéma, un jeu d'acteurs incroyable, mais je crois bien qu'Aaron Paul et Giancarlo Esposito sont mes deux chouchous, bien qu'on ait une magnifique galerie de personnages (Marie, Hank, Skyler, les jumeaux Salamanca, les Nazis de la fin). Jesse Pinkman et Gus Fring arrivent à faire passer toute leur palette d'émotions d'une seconde à l'autre (quand Gus se révèle au restaurant, j'ai rarement vu ça). Et Jesse, bon sang, il sera passé par tous les états, le pauvre, quel putain d'acteur que ce Aaron Paul.
La toile tentaculaire, spectaculaire, qui se dessine puis se tisse imparablement autour de White et l'étreint encore un peu plus à l'apparition de Fring, me fait dire que oui, c'est très bien écrit. Aussi, les nombreux allers-retours temporels maîtrisés à la perfection, toujours justifiés et utiles.
Ah, et j'aimais bien Krysten Ritter aussi, adieu, Jane...


j'ai bien souri pour 











