Message précédent : commence Little Fire Everywhere avec Reese Witherspoon et Kerry Washington (sur amazon prime). C'est l'histoire d'une femme blanche et riche, genre desperate housewive, qui se met en tête de "sauver" un mère célibataire noire qui vit en grande précarité avec sa fille. Sauf que rien n'est simple. La série s'ouvre sur Reese Witherspoon face à sa (très grande) maison en feu. Comment en est-on arrivé là ? Domination, faux-semblants, mensonges... Bien écrit et très bien joué, cette mini série démarre de belle manière.
Et on arrive donc à ce fameux passage là dans votre livre où vous écrivez, je cite, "la mère de Hapahuac pue du cul". A ce moment-là, peut-on parler de baisse de régime ? Fatigue ? Manque de sommeil ? Surmenage aussi probablement... - Fabcaro
Et je kiffe toujours autant ! C'est neuneu, c'est totalement irréaliste (dans ce monde apparemment il n'y a pas de loi sur coups et blessures volontaires), mais on s'en fout !!!
Le yéto là-hi !... Le yéya là-ti !... Le téyi ho-là !... Flûte !... Le truc, enfin !... Le yéti, quoi !... Là-haut !...
Attiré par le fait que c'est adapté du comics du même nom (signé Greg Rucka), j'ai maté le premier épisode de Stumptown. Bon, c'est du ABC, donc ultra-formaté et propre sur soi (malgré la volonté badassienne). Pas de surprise, tant tout est téléphoné, mais c'est sympathique, il y a du ryhtme et une Cobie Smulders en pleine forme. Un truc grand-public, voire presque familial, qui ne va pas chercher midi à quatorze heure et qui se laisse regarder d'un oeil pendant que la soupe est sur le feu.
« Les gouvernants ont décidé de retarder la concrétisation de l'utopie tant que les citoyens ne seront pas parvenus à un consensus. »
Et bien c'est pas mal du tout au re-visionage ! Hormis la dernière saison en-dessous des autres (mais je ne crains pas le final, comme lors de la 1ère fois que je l'avais vu), tout se tient plutôt très bien malgré quelques facilités.
PHENOMENES: la série surnaturelle Evil (en anglais). C'est pas mal, mais évidemment toujours basé sur le même concept. L'épisode commence par un phénomène inexpliqué. Notre trio arrive (une femme, un noir et un musulman: tout le monde est content). Mais c'est bien correcte. IL y a qq pistes collatérales avec des aventures parallèles. Rien de neuf sous le soleil, mais ça se laisse voir.
McMAFIA: Série BBC sur la mafia Israélienne, Russe, à Londres. C'est bon (comme presque tous les séries BBC). J'en suis au troisième épisode (sur 8?) mais c'est bien monté...
Mystery Road - arte : Bon polar australien qui tire sur un peu sur le western contemporain. Dans une petite ville un flic aborigène taciturne, brute de décoffrage, se la joue cow-boy pour résoudre une disparition. Et se fait gentiment remettre à sa place par la sherifette locale, sereine mais qu'il faut pas faire chier. C'est bien écrit, bien joué, dépaysant. La question ethnique/colon reste centrale.
Saison 1 dispo jusqu'au 4/02
La première saison était sur des terres arides, la seconde est plus bayou mais c'est quand même vachement poussiéreux. On garde le même héros, mais nouvelle ville, nouvelle coéquipière et cette fois un cadavre décapité.
Je viens d'entendre à la radio, 70 millions de clients pour Lupin. Je suis bien curieux de savoir si une série ou un film tourné en français a déjà fait mieux. La série est pas mal, les ficelles sont grosses, mais de mémoire elles l'étaient aussi dans les romans de Leblanc.
En fait, je dirais que le cinéma français ne s'exporte pas très bien. Même au Québec on a du mal à voir vos films (une ou deux semaines dans une ou deux salles), alors je n'ose imaginer ce qu'il en est au Canada ou aux États-Unis. Certes, il y a L'artiste ou Besson qui fait des films américains en anglais avec des fonde européens, mais bon. Cependant, quand je vois un héros français cartonner dans une série tournée en français, ça me fait plaisir et je me dis qu'il y a encore de l'espoir.
Narvalo - C+ Très bon Narvalo, très drôle, beaucoup de tchatch, des galères improbables mais tellement justes. Ca faisait longtemps que j'avais ri de si bon coeur devant la téloche. Surtout les épisodes des filles. 15mn par épisode. Ecrit par Mathieu Longatte de Bonjour Tristesse, meilleur scénariste et réal qu'acteur, visiblement.
Flack - amazon Robyn bosse pour une firme de relation publique. Son boulot : étouffer les scandales, faire le buzz en créant des diversions médiatiques pour ses clients. Tous les coups sont permis. Ca m'a fait penser à un Dix pourcent version trash sans limite (à un moment ils font faire faire une sextape à une chanteuse-ado noire de 17 ans qui veut élargir son public et en profitent pour "laver" la réputation de sa partenaire (aucune des deux ne sont homosexuelles) qui a proféré des propos racistes sur les médias sociaux, tout ça avec l'approbation de la mère-manager). Evidemment, à force, l'héroïne à quelques remords qu'elle soigne à la cocaïne.Humour noir et cynisme de haut vol.
« Les gouvernants ont décidé de retarder la concrétisation de l'utopie tant que les citoyens ne seront pas parvenus à un consensus. »
- Carnival row : dans une cité-état victorienne, la république de Burgue, les créature féeriques réfugiées sont mal acceptés par les humaines. Dans ce contexte, un jeune inspecteur de police (Orlando Bloom) doit enquêter sur des crimes sauvages, aidé par une jeune fée qu' il a connu, tandis que dans une famille fauchée de la haute-société, une jeune femme tente de se rapprocher d' un être féérique, pour sauver la fortune familiale.
Un mélange assez réussi de Steam Punk et d' Heroïc Fantasy.
- Girl Boss : inspirée des débuts de la vraie femme d' affaire Sophia Amoruso. Sophia Marlowe (Britt Robertson), une jeune femme un peu " marginale " de San Fransisco, se lance dans le commerce en ligne de vêtements de mode usagés. Les deux premiers épisodes sont un peu ennuyeux à regarder puis on se laisse prendre par l' intrigue et ses rebondissements. Attention, ç' est cru et parfois vulgaire comme propos et le personnage principale est parfois plus près d' une anti-héroïne que d' une héroïne.
- Pennyworth : dans une Grande-Bretagne alternative, dans les années '50/' 60, le jeune Afred Pennyworth ex membre des commandos britanniques décide de former une petite troupe de mercenaire. Tout ceci au milieu d' une semi guerre civile entre deux groupes armés, les Corbeaux (extrême-droite) et la No Name League (extrême-gauche). Il va bientôt croiser la route de deux agents américains de la No Name League, Thomas et Martha Wayne. Une série thriller-politique avec une intrigue assez prenante. A noter l' apparition de personnages connus [SPOILER]la reine d' 1Angleterre et... l' occultiste Aleister Crowley.[/SPOILER]
- Stumptown :
toine74 a écrit:
Attiré par le fait que c'est adapté du comics du même nom (signé Greg Rucka), j'ai maté le premier épisode de Stumptown. Bon, c'est du ABC, donc ultra-formaté et propre sur soi (malgré la volonté badassienne). Pas de surprise, tant tout est téléphoné, mais c'est sympathique, il y a du ryhtme et une Cobie Smulders en pleine forme. Un truc grand-public, voire presque familial, qui ne va pas chercher midi à quatorze heure et qui se laisse regarder d'un oeil pendant que la soupe est sur le feu.
+ 1 avec toine74 .
De nos jours à Portland dans l' Orégon, une jeune femme ancienne militaire tente de s' installer comme détective. Elle doit bien entendu gérer une vie personnelle un peu compliquée avec ses amoureux et son jeune frère déficient mental, sans parler du danger inhérent à son travail. Sympathique, ça se laisse voir.
- The mandalorian saison 2 : la suite des aventures galactiques de notre " bébé-Yoda " préféré dans la réalité de Star Wars . Le héros (un chasseur de prime mandalorien) continue sa quête afin de trouver un nouveau foyer à son petit protégé. Toujours aussi prenant : toutes sortes d' obstacles se dressent sur sa route et plusieurs vilains tentent de s' emparer du petit. On attend avec impatience la suite des aventures du duo.
- The queen gambit :
C' est une série sur un thème inattendu : l' univers des joueurs d' échecs. Dans l' Amérique des années ' 50/' 60, une jeune orpheline prodige des échecs va tenter de se faire un chemin dans l' univers fermé des joueurs d' échecs de haut niveau malgré plusieurs obstacles (sa condition d' orpheline, son sexe, etc), jusque au championnat du monde où elle affrontera les meilleurs.
On est surpris par la qualité de la série, l' intrigue comme le jeu des acteurs ou la reconstitution des décors. La progression de l' héroïne est bien rendue.
Dernière édition par Batman888 le 31/01/2021 15:59, édité 4 fois.
Batman888 a écrit:Voici les séries que j' ai regardé récemment :
- Carnival raw : dans une cité-état victorienne, la république de Burgue, les créature féeriques réfugiés sont mal acceptés par les humaines. Dans ce contexte, un jeune inspecteur de police (Orlando Bloom) doit enquêter sur des crimes sauvages, aidé par une jeune fée qu' il a connu, tandis que dans une famille fauchée de la haute-société, une jeune femme tente de se rapprocher d' un être féérique, pour sauver la fortune familiale.
Un mélange assez réussi de Steam Punk et d' Heroïc Fantasy.
j ai bien aimé Carnival Raw, la romance a une part un peu trop importance mais sinon l univers est sympa en effet. avec un peu de chance la saison 2 sortira en 2021 mais avec le covid c'est pas sûr.