Le Complot a écrit:Quelque chose me gêne encore et toujours dans la série, peut-être son côté sériel, justement. Je ne peux même plus invoquer des raisons de budget ou de longueur, car elles ont rattrapé le cinéma.
Il y a aussi les transfuges, les bons acteurs font les deux, maintenant.
Mais quand je vois des gens se taper 100 séries par an, le même temps consacré à la lecture et nous serions entourés de génies. C'est peut-être ça.
Croaa a écrit:Le Complot a écrit:Quelque chose me gêne encore et toujours dans la série, peut-être son côté sériel, justement. Je ne peux même plus invoquer des raisons de budget ou de longueur, car elles ont rattrapé le cinéma.
Il y a aussi les transfuges, les bons acteurs font les deux, maintenant.
Mais quand je vois des gens se taper 100 séries par an, le même temps consacré à la lecture et nous serions entourés de génies. C'est peut-être ça.
S'il suffisait de lire pour être un génie, cela se saurait.
BOBetBOBETTE a écrit:Voilà, j'ai fini GOTHAM.
Petite saison 5 (en terme d'épisodes: seulement 12!). J'ai vraiment bien aimé cette série (je la placerai sûrement dans mon TOP10!). Amusante, sombre, déjantée, tous de bons ingrédients pour une série réussie.
Le Complot a écrit:Mais quand je vois des gens se taper 100 séries par an, le même temps consacré à la lecture et nous serions entourés de génies. C'est peut-être ça.
RosbOOm a écrit:Le top 2020 du Guardian (on y trouve souvent des séries UK méconnues)
https://www.theguardian.com/tv-and-radi ... ws-of-2020
Thierry_2 a écrit: Ce mélange de races était d'autant plus audacieux que, très vite, on s'en fout parce que l'histoire fonctionne comme telle et les personnages, dans leur ensemble, ne font aucun cas de leur race. Alors, pourquoi cela poserait problème au spectateur ? Ce n'est pas une fiction qui vise la véracité historique, c'est un divertissement.
Sexe, scandales et clichés: «La Chronique des Bridgerton» de Netflix ne convainc pas
Marie Telling — 1 janvier 2021 à 10h58
Entre érotisme à l'eau de rose et intrigue un peu creuse au XIXe siècle, la nouvelle série de Netflix se heurte à une superficialité et certains clichés.
C'est une vérité universellement reconnue que toute histoire d'amour entre deux Anglais en costumes d'époque doit être comparée à un roman de Jane Austen. La Chronique des Bridgerton, nouvelle série Netflix dont l'action se déroule dans la haute société londonienne du XIXe siècle mais qui met en avant un casting divers, une esthétique pop et beaucoup de scènes de sexe, n'échappe pas à la règle et a été décrite comme une interprétation moderne des classiques de l'écrivaine britannique.
Comme dans les romans de Jane Austen, La Chronique des Bridgerton situe son action à l'ère de la Régence anglaise (en 1813, plus précisément, l'année de la publication d'Orgueil et préjugés). Comme dans les romans de Jane Austen, la série raconte une histoire d'amour ponctuée de bals, de conventions sociales, de robes à taille Empire et de malentendus.
Mais avec ses rebondissements délicieusement ridicules, ses intrigues vides de sens, et ses scènes de sexe filmées à la bougie, la série rappelle plus la collection Harlequin et les histoires d'amour de Barbara Cartland ou Danielle Steel, passées à la sauce Netflix, que les peintures sociales mordantes et subtiles de Jane Austen. (Je précise ici que j'ai quand même dévoré la série en moins de 24 heures, et que je ne regrette rien.)
etc...
RosbOOm a écrit:Le top 2020 du Guardian (on y trouve souvent des séries UK méconnues)
https://www.theguardian.com/tv-and-radi ... ws-of-2020
Croaa a écrit:la chronique de Slate donne vachement envie.
http://www.slate.fr/story/198736/netfli ... op-clichesSexe, scandales et clichés: «La Chronique des Bridgerton» de Netflix ne convainc pas
Marie Telling — 1 janvier 2021 à 10h58
Entre érotisme à l'eau de rose et intrigue un peu creuse au XIXe siècle, la nouvelle série de Netflix se heurte à une superficialité et certains clichés.
C'est une vérité universellement reconnue que toute histoire d'amour entre deux Anglais en costumes d'époque doit être comparée à un roman de Jane Austen. La Chronique des Bridgerton, nouvelle série Netflix dont l'action se déroule dans la haute société londonienne du XIXe siècle mais qui met en avant un casting divers, une esthétique pop et beaucoup de scènes de sexe, n'échappe pas à la règle et a été décrite comme une interprétation moderne des classiques de l'écrivaine britannique.
Comme dans les romans de Jane Austen, La Chronique des Bridgerton situe son action à l'ère de la Régence anglaise (en 1813, plus précisément, l'année de la publication d'Orgueil et préjugés). Comme dans les romans de Jane Austen, la série raconte une histoire d'amour ponctuée de bals, de conventions sociales, de robes à taille Empire et de malentendus.
Mais avec ses rebondissements délicieusement ridicules, ses intrigues vides de sens, et ses scènes de sexe filmées à la bougie, la série rappelle plus la collection Harlequin et les histoires d'amour de Barbara Cartland ou Danielle Steel, passées à la sauce Netflix, que les peintures sociales mordantes et subtiles de Jane Austen. (Je précise ici que j'ai quand même dévoré la série en moins de 24 heures, et que je ne regrette rien.)
etc...
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