ironben a écrit:
Mais personne ne t'empêche de t'énerver contre les américains, hein....
Pas envie de m'énerver ... ça ne vaut pas la peine
ironben a écrit:
Mais personne ne t'empêche de t'énerver contre les américains, hein....
arcarum a écrit:eBry a écrit:
Alors effectivement, quand tous les métiers traditionnels des PME sont graduellement repris par les grosses sociétés, il ne reste aux PME que l'innovation. Sachant que l'innovation peut coûter très cher, on n'est pas sorti de l'auberge.
mais les très gros ne s'occupent pas des marchés des PME. Les grosse s'occupe des gros contrats. Des trucs ultra juteux. Tu fais pas venir bouygues pour changer tes tuilles.... Ils font du volume. Certes cela représente la majorité du commerce. Mais toi, à ton niveau, tu es un marché de niche. seuls les petits peuvent faire de la niche. Y'a beaucoup, mais c'est cher car il faut de la main d'oeuvre.
Après, quand un marché de niche commence à se développer et représenter une certaine ampleur, elles achètent.
eBry a écrit:La formation est un point essentiel, tant à l'école qu'à l'entreprise.dod a écrit:Tutafait ... je trouve ton analyse très pertinente mais je pense que tu ne soulève pas le problème de la formation
J'explique: les grosse sociétés sont les seules qui peuvent s'autoriser à soit assurer la formation des salarié (alors qu'un pme a besoin de quelqu'un d'"utile" tout de suite) soit sont présentes dans les secteurs pourvoyeurs de main d'oeuvre peu ou pas qualifiée ( logistique , commerce , ...)
Hors pour conserver des emplois qui sont facilement délocalisables on a besoin d'un système fiscal pas trop contraignant non eu égard aux coûts salariaux ?
Je pense que la formation sans être la panacée bien sûr est une des voies à suivre.
Chez nous en Gelbique il y a des pénuries dans des secteurs où on cherche pas seulement des ingénieurs trilingues avec 10 ans d'expérience : mécanique auto , électricité , électronique, infirmier , informaticien, ...
quand tu pense que dans certaines régions 70% des jeunes demandeurs d'emploi n'ont pas de diplôme d'enseignemnt secondaire ça fait peur
Je crois qu'il faudrait favoriser le flux d'employés des grosses entreprises vers les PME. Ces employés ont une valeur ajoutée en matière d'organisation pour accompagner et favoriser la croissance des PME...
Frannck a écrit:Il y a aussi un frein sur les possibilités offertes par les grosses boites. J'ai quitté sans trop de regrets mon poste, mais adieu le 13ème mois, le véhicule, la mutuelle d'entreprise payée au 2/3 par la boîte, les repas à pas chers etc.
Une petite PME n'offrira que rarement ces avantages. Et il y a la peur du grand méchant loup : le chômage.
J'ai une expérience similaire. La barre des cent employés est fatale dans la majorité des cas. Sans capacité à déléguer la boîte retombe à 20-30 employés...math78 a écrit:eBry a écrit:La formation est un point essentiel, tant à l'école qu'à l'entreprise.dod a écrit:Tutafait ... je trouve ton analyse très pertinente mais je pense que tu ne soulève pas le problème de la formation
J'explique: les grosse sociétés sont les seules qui peuvent s'autoriser à soit assurer la formation des salarié (alors qu'un pme a besoin de quelqu'un d'"utile" tout de suite) soit sont présentes dans les secteurs pourvoyeurs de main d'oeuvre peu ou pas qualifiée ( logistique , commerce , ...)
Hors pour conserver des emplois qui sont facilement délocalisables on a besoin d'un système fiscal pas trop contraignant non eu égard aux coûts salariaux ?
Je pense que la formation sans être la panacée bien sûr est une des voies à suivre.
Chez nous en Gelbique il y a des pénuries dans des secteurs où on cherche pas seulement des ingénieurs trilingues avec 10 ans d'expérience : mécanique auto , électricité , électronique, infirmier , informaticien, ...
quand tu pense que dans certaines régions 70% des jeunes demandeurs d'emploi n'ont pas de diplôme d'enseignemnt secondaire ça fait peur
Je crois qu'il faudrait favoriser le flux d'employés des grosses entreprises vers les PME. Ces employés ont une valeur ajoutée en matière d'organisation pour accompagner et favoriser la croissance des PME...
Ceci est on ne peut plus vrai. Malheureusement ce n'est souvent pas si évident.
Souvent (il y a bien entendu pas mal d'exceptions) les entrepreneurs sont très sur d'eux et foncent (c'est d'ailleurs un principe de base pour oser se lancer).
L'inconvénient, c'est qu'il y a souvent peu de remise en question. J'ai déjà plusieurs fois l'expérience d'entrepreneurs qui ont grandi avec succès de 1 à 20 employés (ou ouvriers), et qui ont cru qu'ils pouvaient le faire de la même manière pour passer de 20 à 50. Càd avec agressivité commerciale et bcp de flexibilité, mais également sans délégation, contrôle omni-présent et manque d'organisations et procédures (surtout pour eux-mêmes)
eBry a écrit:Arcarum, tu as l'air fasciné par le mot innovation, comme tous les politiciens ces temps-ci. Tu ne travaillerais pas dans le marketing? ;0)
Donne-moi des exemples concrets d'innovation venant des PME, générateurs d'emplois nets pour le marché global (= qui crée plus d'emplois de son côté qu'il n'en détruit chez les concurrents), qui ne consistent pas essentiellement à simplifier ou changer des processus (comme l'est par exemple Kiala pour la livraison de commandes en ligne)...
eBry a écrit:90% des Français n'ont rien à fiche d'innover si ça supprime leur job. Innover pour créer de la valeur et créer de nouveaux marchés qui permettent d'exporter, ça c'est positif. Mais ça c'est très difficile et très rare.
Si un génie français réussit à fabriquer des voitures qui ne nécessitent plus de main d'œuvre du tout et qui cassent toute la concurrence étrangère, qu'est-ce que ça rapporte à la consommation française vu les centaines de milliers de chômeurs que cela engendrerait?
bdmaniak a écrit:Réduction du nombre de régions, ouille...
eBry a écrit:Arcarum, tu as l'air fasciné par le mot innovation, comme tous les politiciens ces temps-ci. Tu ne travaillerais pas dans le marketing? ;0)
Donne-moi des exemples concrets d'innovation venant des PME, générateurs d'emplois nets pour le marché global (= qui crée plus d'emplois de son côté qu'il n'en détruit chez les concurrents), qui ne consistent pas essentiellement à simplifier ou changer des processus (comme l'est par exemple Kiala pour la livraison de commandes en ligne)...
chienvert a écrit:bdmaniak a écrit:Réduction du nombre de régions, ouille...
Hollande avec son changement de régions... Il me nique ma collection complète de magnet frigo!
3 ans à bouffer des cordons bleus de merde pour rien !!!
De leur rencontre il y a deux ans à leurs rendez-vous secrets dans un deuxième appartement de l’ouest parisien, Closer – en kiosque demain – vous fait le récit d’une idylle qui agite la presse internationale... Ces deux-là n’étaient pas faits pour s’aimer. Et pourtant. De leur rencontre en 2011 à leurs escapades dans l’appartement de la rue du Cirque, Closer vous raconte l’idylle mouvementée d’un couple atypique.
Tout commence en 2011. Soutien de Ségolène Royal, "la plus sympathique" des artistes de gauche rejoint le clan de François Hollande et s’engage dans la bataille. De leur rencontre, informelle, dans un restaurant près de la maison de la radio, l’actrice garde le souvenir d’un "homme humble", à l’écoute. Ensemble ils parlent cinéma. "Il l’impressionne". Jamais très loin du candidat, elle est assise à quelques rangs de lui lors de l’investiture socialiste. Des étoiles plein les yeux. En avril 2012, on la voit, au meeting de Vincennes, en pleine conversation avec Thomas Hollande dont elle s’est rapprochée grâce à Joyce Jonathan.
Pourtant c’est avec Valérie que le président fraîchement élu célèbrera sa victoire à Tulle, au son de La vie en rose au soir du 6 mai 2012. Malgré les difficultés dans son couple et le tweetgate quelques semaines après ces réjouissances, Valérie s’accroche, bien décidée à reconquérir son homme. Elle remporte la première manche : François et Julie font un break. Cet été-là, le couple Trierweiler/Hollande passe ses vacances en amoureux, à Brégançon. Ce seront les dernières. L’été suivant, Valérie prend l’avion pour la Grèce, seule. Le nez rivé sur son téléphone, elle espère que François la rejoindra… Il s’est réfugié à Tulle, où il assiste à un concert d’Olivia Ruiz, une amie de Julie Gayet. Le lendemain, le "couple" fait son marché, à la vue de tous. De retour à Paris, François semble lointain comme lors de la campagne de 2007 lorsqu’il se réfugiait devant Stade 2. Mais il y aura d’autres escapades…
La suite, on la connaît : l’isolement de la première dame dans l’aile madame du Château, les rendez-vous secrets du président qui finissent de miner le moral de la compagne officielle du président…. Et ces rendez-vous nocturnes, quand le président, dans le plus grand secret, rejoint à scooter sa dulcinée… Des allées et venues qui ne trompent personne au Château. Le président a une nouvelle dame… de cœur. Valérie quant à elle, pensait, avant sa grande discussion avec le président "qu’ils étaient encore un couple".
Brian Addav a écrit:Ah oui, le scoop du siècle là, personne savait, y'a jamais eu de rumeurs...
Philemon a écrit:Brian Addav a écrit:Ah oui, le scoop du siècle là, personne savait, y'a jamais eu de rumeurs...
Désolé, mais moi j'ignorais que François regardait Stade 2...
Le lendemain, le "couple" fait son marché, à la vue de tous.
bdmaniak a écrit:La deuxième bombe de Closer
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