Croaa a écrit:Mais j'ai la chance de ne pas avoir recours à des soins de façon intensive, voire surement en dessous de la moyenne (A part les visite de contrôle et un petit bobo de temps en temps. Du coup je cotise plus que je ne dépense. Et c'est très bien. Si on veut retirer l'aspect solidarité, chacun cotise pour soi et basta et les fumeurs cancéreux (ou autres malades d'importance en terme de gravité) n'auront plus les moyens de se soigner. C'est beau la recherche de l'efficacité économique.
Tu ne peux pas mettre sur le même plan le fait d'avoir des enfants, qui est un choix, et le fait de tomber malade, qui n'en est pas un... (idem pour le chômage et la vieillesse)
Croaa a écrit:Le financement des enfants, qui génèrent du travail et donc de l'argent (que ce soit en couche, vêtement, nourriture, etc...) ce sont des emplois qui permettent peut être à ton frère (cet un exemple ne me rétorque pas qu'il travaille dans la recherche nucléaire ou autre...) à avoir un boulot. Du coup, qu'il finance les enfants des autres, bin oui, ce n'est pas déconnant.
C'est là le cercle vicieux... On fait des enfants pour soutenir une croissance... qui fait que plus tard on devra faire des enfants pour soutenir la croissance... qui fait que... etc...
Rem: mon frère est fonctionnaire au Ministère des Affaires Etrangères... Le nombre d'enfants n'a aucune influence sur son travail