francois d a écrit:http://archives.lesoir.be/droit-de-reponse-isabelle-franquin-nous-ecrit-a_t-20120119-01RP62.html?query=franquin&firstHit=0&by=10&sort=datedesc&when=-1&queryor=franquin&pos=0&all=725&nav=1
Merci pour le lien. Elle très bien Mme Franquin dans sa lettre, posée, elle explique ce qui s'est passé, ce qu'elle attend.
Shambles a écrit:"Le Soir" a publié, hier, les extraits d'une lettre d'Isabelle Franquin, je trouve encore bien plus dure que la position des Gillain. Dans celle-ci, elle déclare fondamentalement la même chose : pas consultée, personnages dénaturés, absolument opposés à leur réalité. Elle dit aussi qu'elle l'a vu pour la première fois le 8 décembre 2011, s'interroge sur les méthodes du scénariste et exige la publication d'un cahier supplémentaire.
Ca va coûter un porte-avions à Dupuis. A la limite, je me demande s'il ne vaut mieux pas pilonner les exemplaires déjà imprimé et refaire un tirage avec le nouveau cahier. Ca leur reviendrait moins cher même si ce n'est pas écologiquement correct.
Qu'entends tu par "pas consultée", elle explique bien qu'elle a vu Yann et qu'il lui a raconté ce qu'il savait.
Après, qu'elle n'y retrouve pas l'image de son père. Ok. Elle a le droit.
Sinon Nexus a raison:
nexus4 a écrit:Et si on parlait de la BD ?
Parce qu’a part l'affaire avec les héritiers et la filiation de Schwartz avec Chaland, on a peu parlé de la BD.
Elle ne me semble pas exempte de défauts. Par exemple, sur la preview, je trouve les gags pas très lisibles. Typiquement le gag des trous pour la ventilation. J'ai du m'y reprendre à deux fois pour comprendre. Certes le "Screw" en onomatopée est un indice mais cela aurait été bien plus clair si Jijé revenait vers la voiture avec une chignole à la main plutôt qu'un sac. De même pour la mise en couleur, le trous ressemblent à des gouttes d'eau. Bref, c'est pas très limpide.
Pourtant, dans la planche 12, il demande bien "ouane bazar for making trou euh holes", il fait un dessin, le vendeur percute, je le vois mal repartir avec un mixer à fruit
(sans compter qu'on voit la petite fille jouait avec l'outil, des fois qu'on comprendrait pas)