Morti a écrit:1973 : "Défense de savoir" de Nadine Trintignant... 7/10
Idem mais la distribution est imposante...à revoir...
Tu maintiens ta note ?
(C'est bizarre d'ailleurs toutes ces notes pour des films dont tu ne te souviens plus)
Morti a écrit:1973 : "Défense de savoir" de Nadine Trintignant... 7/10
Idem mais la distribution est imposante...à revoir...
jolan a écrit:Morti a écrit:1973 : "Défense de savoir" de Nadine Trintignant... 7/10
Idem mais la distribution est imposante...à revoir...
Tu maintiens ta note ?
(C'est bizarre d'ailleurs toutes ces notes pour des films dont tu ne te souviens plus)
ulys a écrit:Tentais le Samouraï hier, j’ai stoppé au bout de 20 minutes.
Ce film de cape et d’épée n’a rien à voir, malgré son titre, avec le roman d’Alexandre Dumas. Il s’agit d’un scénario original de Christian-Jaque et Henri Jeanson qui brodent un récit d’aventures historiques autour du thème des frères jumeaux et des premiers soubresauts de la Révolution. Les deux hommes empruntent le titre d’un roman de Dumas dans le seul dessein de souligner la parenté avec leur Fanfan la Tulipe (1952). Alain Delon, nouvelle vedette du cinéma européen depuis Plein Soleil, entend rivaliser avec Gérard Philipe et endosse avec beaucoup de panache la double – et même triple – identité des frères Saint-Preux (Le sombre Guillaume et le solaire Julien) et de la Tulipe noire. Ces motifs du dédoublement et du transfert d’identité, que l’on trouvait déjà dans Plein Soleil sur un mode criminel et pathologique, vont traverser la filmographie d’Alain Delon, et trouver leurs points culminants dans Mr. Klein et Nouvelle Vague. Delon, c’est le vertige de Narcisse se noyant dans son reflet, enivré par sa propre beauté, suscitant la haine autant que le désir. La Tulipe noire représente une aubaine pour l’acteur qui s’ébroue avec élégance dans le registre du cinéma d’action populaire, après avoir brillé sous la direction de grands maîtres tels que Visconti et Antonioni. La Tulipe noire offre ses derniers feux à un cinéma de divertissement, joyeux et mouvementé.
Source : https://www.cinematheque.fr/film/47650.html
Après sa rupture avec Nathalie Delon, l'acteur entame une relation avec la comédienne Maddly Bamy. A la même époque, il rencontre sur le tournage de Jeff, Mireille Darc. N'arrivant pas à choisir entre les deux femmes, il leur demande d'accepter qu'ils puissent les aimer toutes les deux. Il confiera alors l'écriture d'un film intitulé Madly à Mireille Darc. Dans le film, Alain Delon et Mireille Darc jouent un couple marié, et Maddly Bamy la maîtresse de l'époux qui vient s'installer chez eux. Ce triangle amoureux aussi vrai dans la vie qu'à l'écran ne prendra fin que lorsque Maddly Bamy entamera une nouvelle relation avec Jacques Brel.
Source : https://www.linternaute.com/cinema/star-cinema/1414146-alain-delon-une-legende-du-cinema-francais/1414322-couple-a-trois-avec-maddly-bamy
« Çakyamuni le Solitaire, dit Sidarta Gautama le Sage, dit le Bouddah se saisit d'un morceau de craie rouge, traça un cercle et dit : Quand des hommes, même s’ils s’ignorent, doivent se retrouver un jour, tout peut arriver à chacun d’entre eux, et ils peuvent suivre des chemins divergents. Au jour dit, inéluctablement, ils seront réunis dans le cercle rouge. — Rama Krishna »
Julien Despreux a écrit:1972 : Le Professeur (La prima notte di quiete) de Valerio Zurlini : Daniele Dominici
- Morti : surprise totale, là je l'ai vraiment trouvé bon...
- Julien : Que Jolan, qui affectionne tout particulièrement ce film, nous concocte une séance de ciné-club dont il a le secret ...
Gribouillix a écrit:Je crois qu'il manque "Doucement les basses" de Deray (1971) avec Paul Meurice, Nathalie Delon et Guiomar, scénario et dialogue de Pascal Jardin.
jolan a écrit:1970 : Doucement les basses de Jacques Deray : Simon Médie
BOBetBOBETTE a écrit:Bizarre, eh effet...
J'ai entendu le décès de Delon et je me suis dit... Que des grands films, de grands réalisateurs, des monuments cinématographiques!
Puis, je suis passé à travers la liste de Jolan et ... quelle surprise, finalement, rien de bien palpitant, un monde s'écroule.
Mis à part quelques films, d'avait '70, après, que des grosses m...
Sur sa filmographie, j'en sauve 4/5, max, le reste des navets bien solides!
jolan a écrit:Julien Despreux a écrit:1972 : Le Professeur (La prima notte di quiete) de Valerio Zurlini : Daniele Dominici
- Morti : surprise totale, là je l'ai vraiment trouvé bon...
- Julien : Que Jolan, qui affectionne tout particulièrement ce film, nous concocte une séance de ciné-club dont il a le secret ...
Ah ah ah, c'est drôle.
Figure-toi que je l'idée est lancée sur le topic didoine, j'attends juste des participants...
Par contre, tu cites les avis de Morti et tu mets tes phrases en réponse/parallèle, mais à part deux ou trois "chef d'oeuvre absolu" et deux scènes marquantes on n'a que du casting, de la trame, et de l'anecdote - ce qui en soit n'est pas inintéressant - mais tu ne donnes jamais ton avis sur le film en fait. Du coup on ne sait pas ce que tu penses des choses dont tu parles (d'où les avis avec notes, qui servent à situer et hiérarchiser)
(Ce qui n'est pas étonnant quand on connait ta façon de donner ton avis sur les BD pas encore sorties ou sorties : c'est toujours du )
Allez, on va mettre ça sur le dos de mon incapacité à admettre les avis des autres, ça me fait plaisir...
.
Morti a écrit:Alain Delon
1960 : Plein Soleil de René Clément : Tom Ripley / Philippe Greenleaf excellent classique...
1960 : Rocco et ses frères (Rocco e i suoi fratelli) de Luchino Visconti : Rocco Parondi idem...
1963 : Mélodie en sous-sol d'Henri Verneuil : Francis Verlot ben oui, évidemment...
1967 : Les Aventuriers de Robert Enrico : Manu Borelli mon film de chevet pendant des années...
1967 : Le Samouraï de Jean-Pierre Melville : Jef Costello rien à dire ni à jeter...
1968 : La Piscine de Jacques Deray : Jean-Paul Leroy le retour de Romy...classique aussi...
1969 : Jeff de Jean Herman : Laurent j'aime bien l'atmosphère du film...
1969 : Le Clan des Siciliens d'Henri Verneuil : Roger Sartet un autre classique...
1970 : Borsalino de Jacques Deray : Roch Siffredi la vraie rencontre avec Bebel...
1970 : Le Cercle rouge de Jean-Pierre Melville : Corey encore un chef d'oeuvre...
1971 : La Veuve Couderc de Pierre Granier-Deferre : Jean Lavigne un rôle différent et puis Simone...
1972 : Le Professeur (La prima notte di quiete) de Valerio Zurlini : Daniele Dominici surprise totale, là je l'ai vraiment trouvé bon...
1972 : Traitement de choc d'Alain Jessua : le Dr Devilers film d'horreur avec Girardot...bonus, on le voit tout nu...
1973 : Deux Hommes dans la ville de José Giovanni : Gino Strabliggi 2e surprise, la fin m'a ému...
1975 : Flic Story de Jacques Deray : Roger Borniche polar classique mais Trintignant l'enfume...
1976 : Monsieur Klein de Joseph Losey : Robert Klein j'ai honte, jamais vu...
1977 : L'Homme pressé d'Édouard Molinaro : Pierre Niox j'aimais bien l'idée et puis Mireille...
1977 : Mort d'un pourri de Georges Lautner : Xavier Maréchal, dit « Xav » bon ben un de mes films préférés...mais y'a Kinski...
1984 : Notre histoire de Bertrand Blier : Robert Avranches OVNI dans sa carrière...
1998 : Une chance sur deux de Patrice Leconte : Julien Vignal amusant, la dernière rencontre ciné avec Bebel, beaucoup de dérision...
2000 : Les Acteurs de Bertrand Blier : lui-même ah oui j'ai bien aimé le film, lui et les autres...
2008 : Astérix aux Jeux olympiques de Frédéric Forestier et Thomas Langmann : Jules César pour la parodie...
jolan a écrit:
Bon :
1958 : Christine de Pierre Gaspard-Huit : Aucun souvenir, ce devait être un peu trop guimauve pour moi.
(Pas assez de souvenir pour noter)
1963 : Le Guépard de Luchino Visconti :
(Pas assez de souvenir pour noter)
1964 : La Tulipe noire de Christian-Jaque :
(Pas assez de souvenir pour noter)
1968 : La Piscine de Jacques Deray :
(Pas assez de souvenir pour noter)
1970 : Borsalino de Jacques Deray :
(Pas assez de souvenir pour noter)
1971 : L'Assassinat de Trotsky de Joseph Losey :
(Pas assez de souvenir pour noter)
1971 : La Veuve Couderc de Pierre Granier-Deferre :
Aucun souvenir.
1973 : Scorpio de Michael Winner :
(Pas assez de souvenir pour noter)
1973 : Les Granges brûlées de Jean Chapot :
(Pas assez de souvenir pour noter)
1976 : Armaguedon d'Alain Jessua :
(Pas assez de souvenir pour noter)
1977 : Le Gang de Jacques Deray :
(Pas assez de souvenir pour noter)
1977 : Mort d'un pourri de Georges Lautner :
Aucun souvenir.
1980 : Trois Hommes à abattre de Jacques Deray :
Aucun souvenir.
1981 : Pour la peau d'un flic de Delon :
Aucun souvenir.
1982 : Le Choc de Robin Davis :
Aucun souvenir.
1983 : Le Battant de Delon :
(Pas assez de souvenir pour noter)
1984 : Notre histoire de Bertrand Blier :
(Pas assez de souvenir pour noter)
1985 : Parole de flic de José Pinheiro :
Aucun souvenir.
1986 : Le Passage de René Manzor :
(Pas assez de souvenir pour noter)
1988 : Ne réveillez pas un flic qui dort de José Pinheiro :
Aucun souvenir.
1990 : Dancing Machine de Gilles Béhat :
(Pas assez de souvenir pour noter)
Une filmographie guère convaincante ...
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