illario a écrit:Les livres doivent se vendre en priorité dans les librairies, mais dans le monde dans lequel on vit cela ne suffit plus, chacun veut sa part de gâteau, c'est ainsi que les grandes surfaces ce sont mises à la vente de livres. Je ne sais pas quelle répercussion au final aura cette "déstabilisation" du circuit traditionnel,
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Tu sais,non.Mais gamin , j'allais direct au rayon BD du supermarché pour lire/découvrir des BDs au lieu de suivre ma mère pendant les courses.
Et plus grand ceux sont mes gamines qui étaient dans ce fameux rayons BDs à lire découvrir des BDs
Tout le monde n'a pas accès a une librairie spécialisée ou non.Et le rayon en grande surface, punaise c'est un sacré panneau publicitaire
illario a écrit:. Le prix du livre est certainement trop cher, les arbres pour le fabriquer de plus en plus menacés
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Faut arrêter avec ce faux procès sur le fait que des forêts sont détruites pour produire des livres. Au contraire ces forêts vivent du fait qu'elles sont, au final, utiles et donc que les propriétaires en tirent un profit et donc peuvent les entretenir et les faire perdurer
Et j'ai aussi bien aimé ton calcul sur le fait qu'il suffit de multiplier le prix d'une BD pour rembourser son coût...
Je te laisse retrouver où vont chaque cts d'une BD.
Et pour le stockage je répète que désormais produire coûte moins que stocker. Donc les éditeurs préfèrent tirer un nombre moindre (celui qu'ils pensent qui sera commandé par l'ensemble des vendeurs) quitte a devoir ensuite refaire un tirage dans le mois suivant.
Faut cesser de voir le marché d'aujourd'hui comme celui d'il y a dix ans ou vingt ans.
Les éditeurs essayent de faire en sorte que leur production soit le plus viable possible
Avant le fond permettait de faire vivre en partie le petit monde de l'édition
Désormais c'est du flux tendu et le fond est difficile a écouler...