corbulon a écrit:ubr84 a écrit::shock:
Ils sont complètement fou au gouvernement !
Comment justifier que la défense de la liberté d'expression, de nos valeurs, se fassent via un texte caviardé sur ce qui dérange le pouvoir
Non ils ne sont pas fous, c’est juste le déploiement de leur agenda visant à museler la liberté d’expression dans l’éducation, à tous les niveaux
Philemon a écrit:Faut se détendre...
Ce n'est qu'une lettre.
Seul un passage permettait d'illustrer le sujet.
Ce n'était pas un discours politique.
C'est destiné à des enfants dont la capacité de concentration se limite à 30s.
Alors avant d'enfourcher vos grands chevaux sur la liberté d'expression baillonnée par notre dictateur en chef, prenez un peu de recul...
ubr84 a écrit:Philemon a écrit:Faut se détendre...
Ce n'est qu'une lettre.
Seul un passage permettait d'illustrer le sujet.
Ce n'était pas un discours politique.
C'est destiné à des enfants dont la capacité de concentration se limite à 30s.
Alors avant d'enfourcher vos grands chevaux sur la liberté d'expression baillonnée par notre dictateur en chef, prenez un peu de recul...
La lettre est lue complète sauf deux phrases. Et lue à des lycéens aussi, à 16-17-18 ans tu n'es plus un enfant.
Donc non ce que tu dis n'est pas en lien avec la réalité...
Tu dois confondre la version courte destinée aux enfants allégée et c'est normal et la version longue pour les grands qui elle n'a été amputée que de ces quelques mots sans explication raisonnable à mon sens et sans explication donnée à ma connaissance.
L’Education nationale expérimente dans dix départements son propre manuel de lecture. Des chercheurs et éditeurs craignent une atteinte à la liberté pédagogique et s’alarment de l’interventionnisme de Jean-Michel Blanquer.
De son côté, Philippe Champy rappelle que « traditionnellement, la liberté pédagogique encadre la liberté d’édition. En France, jamais il n’y a eu d’édition d’État dans le sens d’un manuel publié et prescrit par les autorités, même du temps de Jules Ferry ou de Pétain ».
Frannck a écrit:Si tu ralais sur le nombre d'options je comprendrais mais je ne trouve pas cela gênant, surtout dans un lycée agricole.
Croaa, le graph des salaires sur le fil tweeter que tu as posté montre bien l'impact des 35 heures (cadres non enseignants vs profs), même si c'est loin d'être l'origine du problème.
Philemon a écrit:Une anecdote qui m'a vraiment scotché:
L'année dernière, ma belle-soeur étudiait pour passer le concours d'instit; elle l'a raté.
Depuis, elle a pris un job, mais continue d'étudier pour voir si elle arrive à repasser (et réussir) le concours. C'est plus pour la forme d'aller au bout, car sa motivation...
Et ce soir, elle reçoit un email pour lui proposer de prendre un poste dans une classe de CM2 !
Démarrage... demain matin !
Dans une école qu'elle ne connait pas... (je la connais un peu, c'est assez rock&roll comme environnement...)
Avec des contraintes sanitaires qu'elle ne connait pas...
On en est là, en France ???
Olaf Le Bou a écrit:Philemon a écrit:Une anecdote qui m'a vraiment scotché:
L'année dernière, ma belle-soeur étudiait pour passer le concours d'instit; elle l'a raté.
Depuis, elle a pris un job, mais continue d'étudier pour voir si elle arrive à repasser (et réussir) le concours. C'est plus pour la forme d'aller au bout, car sa motivation...
Et ce soir, elle reçoit un email pour lui proposer de prendre un poste dans une classe de CM2 !
Démarrage... demain matin !
Dans une école qu'elle ne connait pas... (je la connais un peu, c'est assez rock&roll comme environnement...)
Avec des contraintes sanitaires qu'elle ne connait pas...
On en est là, en France ???
ma mère a commencé sa carrière d'instit en 60, juste après son bac, sans formation ni rien (c'était le babyboom, pas le temps de former des enseignants), balancée à 19 ans devant 45 élèves de 6 à 14 ans, à 600 bornes de chez elle, dans la Picardie profonde, sans moyen de déplacement, sans savoir où dormir le soir de son arrivée, sans collègue pour l'aiguiller, c'est pas d'aujourd'hui que c'est rock'n'roll l'éducation nationale.
Philemon a écrit:Une anecdote qui m'a vraiment scotché:
L'année dernière, ma belle-soeur étudiait pour passer le concours d'instit; elle l'a raté.
Depuis, elle a pris un job, mais continue d'étudier pour voir si elle arrive à repasser (et réussir) le concours. C'est plus pour la forme d'aller au bout, car sa motivation...
Et ce soir, elle reçoit un email pour lui proposer de prendre un poste dans une classe de CM2 !
Démarrage... demain matin !
Dans une école qu'elle ne connait pas... (je la connais un peu, c'est assez rock&roll comme environnement...)
Avec des contraintes sanitaires qu'elle ne connait pas...
On en est là, en France ???
nanoroc a écrit:Scoop : dans le privé c'est encore plus fréquent que les enseignant n'aient aucun concours.
fanche a écrit:nanoroc a écrit:Scoop : dans le privé c'est encore plus fréquent que les enseignant n'aient aucun concours.
En même temps ils sont encore plus mal payés
nanoroc a écrit:Scoop : dans le privé c'est encore plus fréquent que les enseignant n'aient aucun concours.
Philemon a écrit:fanche a écrit:nanoroc a écrit:Scoop : dans le privé c'est encore plus fréquent que les enseignant n'aient aucun concours.
En même temps ils sont encore plus mal payés
???
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