j'avoue éprouver une certaine peine à comprendre ce que tu exprimes, désolé.
Tu affirmes que la dédicace se justifie depuis que la bd est mieux considérée (c'est ce que j'ai compris) : je réponds que c'est inexact parce que la dédicace existe depuis bien plus longtemps.
Maintenant, tu parles de "professionnalisation" et de payer son accès aux stands lors des festivals.
Je veux bien mais je ne vois pas le rapport
Pour le reste, j'ai souvenir de photos de séances de dédicaces d'auteurs Dupuis dans les années 60 où il y a de véritables cohues de gamins. Je me demande si affirmer qu'on ne se bousculait pas à l'époque n'est pas une légende urbaine.
Au début de l'histoire des salons et festivals, oui, il arrivait qu'un auteur non encore célèbre soit esseulé mais ça arrive encore et c'est une quasi lapalissade. Par contre, du temps des dédicaces dans les centres commerciaux, je ne suis pas certain que la bande Morris-Hubinon-Peyo-Franquin ne causait pas de bousculade. Quant aux auteurs inconnus, à cette époque, eh bien ils ne dédicaçaient pas.