Pomponazzo a écrit:Bande annonce publiée par Netflix, avec des logos Netflix avant, pendant et après... Aucune chance de le voir en salle.
Brian Addav a écrit:Rho p.... rho p...
Kevin is back, et il a ramené Woody...
(j'ai pas compris si ça sortait en salle ou chez nteflix, m'en fous... vive Kevin !)
Croaa a écrit:Et ils ont refusé de sortir en salle Roma malgré le prix à Cannes.
Cooltrane a écrit:
Werk ohne Autor de Florian Henckel von Donnersmarck (celui qui a fait Das Leben Der Andere >> La Vie Des Autres) et j'aime bien le titre anglicisé (Never Look Away), mais en français, cela donnerait +/- Œuvre Sans Auteur
je vous chronique cela ASAP
crepp a écrit:Cooltrane a écrit:
Werk ohne Autor de Florian Henckel von Donnersmarck (celui qui a fait Das Leben Der Andere >> La Vie Des Autres) et j'aime bien le titre anglicisé (Never Look Away), mais en français, cela donnerait +/- Œuvre Sans Auteur
je vous chronique cela ASAP
Déjà que la vie des autres est une belle pépite. Je suis intrigué.
kobaia a écrit:Ralph breaks the internet.
Le début est un peu poussif...
Les princesses Disney... meilleurs passages du film. Cette capacité que Disney a de se moquer de son empire depuis quelques années
Cooltrane a écrit:Double shot de w-e précédant :
Son choix :
Green Book :[/b[b]] Le genre de film qui est calibré pour plaire aux Oscars, un peu comme Three Billboards l’année passée, et où rien que voir la BA est quasi suffisante pour avoir compris et rendre inutile la vision du film proprement dit. Autrement dit, avant de l »avoir vu, mes chroniqueurs savent déjà que le film aura des prix, du coup, on se délecte du spectacle sans trop se poser de question. Basé sur une histoire apparemment vraie, mais plus que probablement fortement romancée et « drôlisée », dans les 50’s, un pianiste black (une « star » fort précieuse et assez capricieuse, habitant au-dessus du mythique Carnegie Hall) se fait conduire par un « rital » de la grosse pomme (qui fraie pas loin de la Cosa Nostra, mais en restant « gentil ») pour une tournée dans le Old South toujours en proie à ses démons racistes. Du coup, on a droit à toutes les situations possibles et inventables, parfois renversées dans l’autre sens (les récolteurs black de coton en Alabama qui voient un white changer la roue crevée de la limousine avec un black à l’intérieur). Bref, tout est fort téléphoné au niveau du scénario et peu de réelle surprise (au singulier, car c’est à ce point-là), y compris le noir trop blanc, au point de ne pas connaitre la Motown, alors que son « blanc » doit le lui expliquer. Le phénomène « bête de foire » (le black pianiste classique qui attire les foules blanches pour zyeuter « le singe savant ») et le fait qu’ils doivent courir au secours de l’autre à tour de rôle, on n’est pas loin d’un politiquement correct heureusement pas trop nauséabond. Reste l’exécution du film qui est du Hollywood typique et assez classique (pourtant le Farrely est un habitué des navets désolants), mais irréprochable que ce soit au niveau visuel, de la narration rythmée et d’un humour parfois assez cocasse. Typiquement le genre de film qui aurait passé presque inaperçu il y a 20 ans, tant ce genre de film normal abondait, mais devenu tellement rare vu leur noyade dans l’océan de superproductions de superslipards casse-couilles en collant moule-burnes avec effet spéciaux et autres Connard le Barbant HF avec dragons virtuels. Bref, le tout venant d’il y a 20 ans devenu la perle d’aujourd’hui, vu sa rareté. A vous de voir si la bande annonce ne vous a pas déjà tout montré. 7/10 tout de même.
Mon choix:
Werk Ohne Autor: je ne me sens pas encore prêt pour chroniquer ce film, donc encore qqes jours
Le Complot a écrit:Tu pouvais pas nous le dire hier...
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