Thierry_2 a écrit:hasard des sorties et reprises, à mopins que ce ne soit une blague pour initié de la part du distributeur
19 septembre:
la nonne de Corin Hardy
la religieuse de Jacques Rivette
faudra pas se tromper de titre
Avec
La Prière et
l'Apparition et un autre truc de secte (souviens plus du nom), on assiste à un retour forcéné du christianisme sur les grands écrans, je tropuve
Bon double shot le w-e dernier avec la légitime
Son choix:
Katie Says Goodbye: Dans un bled paumé du S-O étatsunien (un Nouveau Mexique peu ou pas spectaculaire), une jeune serveuse (dans une sorte de Baghdad Café moins lugubre mais plus triste), cherche à s'enfuir du bled paumé (direction Frisco) en couchant avec ceux de son choix en échange de compensations financières. Pécule qu'elle met de coté en vue son futur départ, mais aussi pour payer le loyer de sa mère défaillante à tout point de vue. Faut dire que cette mère dépravée, alcolo et dépendante de sa fille ne lui a pas donné que de bons exemples, mais lorsqu'elle tombe amoureuse du nouveau venu mécano ex-taulard, elle arrête son petit commerce, au grand dam de certains de ses clients et avec de bons souhaits des autres. Restent ceux qui ne l'ont jamais touchée et la frustration engendrée quand le nouvel arrivant remporte le gros lot.
Retour sur les écran d'un film passé inaperçu en 2016 mais qui a révélé Olivia Cooke et préfigure l'arrivée du 2è film du cineaste Britiche Wayne Roberts qui s'appellera Richard Says Goodbye. Un endroit glauque avec un environement sordide et seulement trois personnages correct (la patrone du resto-route et un camionneur - Belushi). on est loin de "l'American Dream", car tout est pourri dans le coin. Tout, vraiment tout?? Oui, sauf la tendre et innocente serveuse avec son insupportable (pour ne pas dire ecoeurante) naïveté, mais tous les autres ont la tête de leur emploi sinistre. Et franchement, on pourrait s'attendre à qqes scènes intéressantes, mais on s'ennuie beaucoup, comme tout le monde dans ce coin paumé de la planète 6/10
mon choix
Photo de Famille: le partiarche d'une famille explosée (dixit le pitch, mais j'ai pas trouvé) meurt, laissant sa douce de toujours dans les vilaines mains d'Al Zheimer. Au retour du cimetière parisien, celle-ci sera soignée au petits oignons par tout le clan (mais surtout ses petits enfants), alors que cette doyenne ne rêve que d'une chose: retrouver leur propriété à St Julien (pas spécifié lequel, mais pas celui du Bordelais). La galerie de portraits familiaux inclu un fils (Bacri) libertaire, remarié, mais toujours occupé à courrir les jupons, son ex (Lauby) devenue infirmière de sa belle-doche et psy et qui ferait bien de consuluter un collègue., les trois enfants de Bacri: dont Vanessa en tant qu'instable de carrière et mère célibataire possessive, Cottin en tant qu'assistante sociale pour la jeunesse mais incapable d'être mère, et un fiston immature et suicidaire (because maladroit avec les femmes), mais doué pour les jeux videos mais pas pour la vie. Un seul arrière petit-fils (déjà ado) mais la rumeur d'un autre enfle....
Une gentille comédie avec plein d'humour et de clichés parfois tapés justes et un casting impressionnant (jouant souvent juste), mais c'est clair que les deux grands nom (Bacro et Paradis) en font un tantinet de trop. Deuxième film de la cineaste, qui reste dans le familial, on se demande à quel point le scénario original est respecté, tant il semble que les envies des acteur(rice)s furent comblées, mais l'épilogue est assez nul et inutile. Assez plaisant (plutôt un feel-good movie), mais rien qui vaille la peine de signaller à tout le monde.
7/10
Mieux vaut tapis Persan volé que tapis volant percé (Uderzo.... et oui, pas Goscinny)