Cinéma : les films en salle - 2009-2021

[Le Complot]

Message précédent :
Comment il peut tourner aussi vite

Ou alors les Papers ont été faits en même temps, c'est très étrange comme cycle.

[jolan]

Oui, je pense que ses tournages durent un mois grand max, après la post-production prend plus ou moins de temps selon les FX ( il doit y en avoir plus dans le dernier que dans les Papers ), mais comme il mène toujours plusieurs projets de front il se peut que comme là ça se rejoigne au niveau des sorties.

Il se peut aussi qu'on perde en qualité en enchainant autant de films...

[Cooltrane]

Double shot en ce w-e pascal:


Son choix:
Collier Rouge: Où le retour de Jean Becker (je n'en avais plus vu depuis Jardinier et Marais), et le moins que l'on puisse dire, c'est qu'il ne change pas beaucoup dans son registre... et ce n'est pas plus mal, car son genre de cabotinage fait encore pas mal de bien et met du baume au cœur. Le casting est fort juste, Cluzet crédible, mais un peu mou en officier-juge, Duveauchelle en rebelle, mais c'est surtout la belle Sophie Verbeek que l'on retiendra, ainsi que le clébard omniprésent. Bon, on est dans un film pour papa et/ou pappy, avec des tonnes de bons sentiments et plein de bucholie campagnarde, malgré qqes scènes de tranchées inévitables pour un scénar se déroulant à cette époque. La France d'il y a 100 ans (et la fin de la Grande Guerre) semble inspirer les cinéaste français, de Becker à Vannier (avec le même Cluzet) en passant par Dupontel, Beauvois, et ce n'est sans doute pas fini. C'est bien foutu, mais probablement un tantinet trop sucré pour votre pré-diabète. 7/10


Mon choix:
Hostiles: Un western Blueberrien (armée, plutôt que shériff) avec des paysages grandioses et plein de fusillades pas toujours nécessaires. Scott Cooper retrouve Christian Bale pour le faire camper un officier de l'armée qui passe surtout son temps à éliminer les indigènes. Chargé (enfin contraint) de reconduire un chef Cheyenne et sa famille prisonnier dans le nord, un petit peloton s'enfonce dans l'immensité des territoires pas encore pacifiés et donc encore hostiles, dans tous les sens du terme. Le film prend le temps d'installer les personnages du bataillon, même si beaucoup ne feront que des apparitions limitées, vu les massacres incessants. On notera notamment un petit rôle de Tim Chalamet, révélé dans Call Me By Your Name et dans le Lady Bird à venir. Les regards entre les protagonistes de l'équipée sont lourds de silence et en disent beaucoup, tout en taisant quasi tout, ceci donnant pas mal de consistance aux personnages; parmi lesquels se trouve une veuve éplorée (Rosa Pike) qui va remonter la pente au cours du film et parviendra à humaniser les relations, malgré les massacres successifs. En dehors de quelques scènes d'action parfois confuses, l’œil est très souvent surtout attiré par les paysages grandioses passant du Nouveau Mexique au Montana. On pense parfois à Danse Avec Les Loups (la présence de Wes Studi dans les deux films aidant), tant le propos pousse à réflexion, sans pour autant révolutionner les mentalités. 7.5/10

[Baltimore]

Baltimore a écrit:
Gros coup de gueule sur la sortie exclusive sur Netflix du film de SF très prometteur Annihilation de Alex Garland avec Natalie Portman.

Vu et revu mille fois. Aucun intérêt.

Me suis rarement autant emmerdé qu' à la lecture du livre. Du coup, j'ai trouvé le film mieux même si trop centrë sur Portman au détriment des autres et que les flash-back trop nombreux et mal écrits éloignent de l' intéressant : l'exploration de la zone x.
Les 20 dernières minutes sont bonnes, visuellement c'est bien mais je suis loin d'être emballé. On s'ennuie quand même pas mal. Et ces couleurs ésotérico-new-age là, beurk !!!!!

Je ne dois pas être assez dépressif ou avoir une maladie mentale pour suffisamment voir le 2nd niveau de lecture qui fait crier au génie certains

2 à 2.5/6

Vu hier sans avoir rien lu dessus avant ça, à peine le souvenir que toi et un autre en avaient un peu parlé ici.
J'ai pensé à Abbyss évidemment. Le film est quand même pas mal je trouve. Portman est comme toujours parfaitement dans le truc. Effectivement ça manque de quelque chose. D'angoisse ? Finalement on a peu peur pour les protagonistes ? En le voyant je me disais qu'un Miazaki en aurait fait quelque chose d'exceptionnel. :/

J'ai adoré ce film, que ça soit l'ambiance, la photographie, les différents niveaux de lecture, Portman, la bande sonore, le fait qu'il sorte clairement du lot des productions actuelles souvent merdiques.

Comme annoncé, je suis vraiment déçu de ne pas avoir pu le voir sur grand écran.

Et je reste sur mon avis, cette non-diffusion au ciné par manque de couilles de la Paramount reste symptomatique de la dégradation du niveau et des attentes du public.

[Baltimore]

Hostiles
Très bon western, les décors sont somptueux, Bale est monstrueux dans son jeux d'acteur, Rosamund Pike très bien comme d'habitude.
Une sorte de survival a travers les paysages sauvages. Personne n'est blanc ou noir.
Une histoire de remord, de rédemption, de pardon.
Une intro sublime qui dicte directement le ton. Quelques longueurs ou passage pas forcément utile, mais un grand film.

[Thierry_2]

darkest hour
clairement, le pitch du film est "Gary Oldman va avoir un oscar, et si possible un autre pour les maquillages". Contrat rempli !
La performance d'Oldman est étonnante et les postiches incroyables de réalisme.
Joe Wright reste un cinéaste pétri d'influences théatrales, mais dans le bon sens du terme. Il compose ses scènes avec minutie, aussi à l'aise dans les plans complexes (les effets de verticalité sont bien utilisés) que les compositions fermées (beaucoup de scènes ou il occulte la majorité de l'écran pour n'utiliser qu'une portion délimitée par une porte, un ascenseur...).
La reconstitution est au cordeau. Les images sont léchées. Les acteurs sont impeccables, même si leur fonction première reste de servir la soupe à un Oldman qui a parfois du mal à éviter le cabotinage.
Il n'y a donc qu'un show de Gary Oldman, qui s'agite dans un véhicule à oscar, irréprochable dans la forme, mais qui oublie d'être pertinent ou passionnant. On en oublie parfois les enjeux, tant toutes les caméras sont braquées sur un acteur qui réalise une performance incroyable au lieu de filmer un homme qui fait l'histoire.



Tout le monde debout
oui, j'avoue, j'ai été voir le Franck Dubosq. A ma décharge, quand les enfants ne sont pas là, papa et maman et précipitent au cinéma et voient ce qu'ils peuvent.
Honnêtement, c'est loin d'être catastrophique. Dubosq joue le rôle qu'il a toujours joué. Ni mieux, ni moins bien. Il fait une comédie romantique avec tous les passages obligés et les rôles qui vont avec. Gérard Darmon est Gérard Darmon dans le rôle du meilleur pote, et c'est toujours agréable. Elsa Zilberstein est pour une fois bonne dans un rôle caricaturale mais qu'elle défend bien et Alexandra Lamy... bah, elle sourit toujours aussi bien, prend bien la lumière et fait ce qu'on attend d'elle. Quelques caméos réussis et un sujet un peu casse-gueule mais, étonnamment, Dubosq le traite avec bienveillance et sans lourdeur excessive. Son film est gentil et amusant, complètement dénué de méchanceté et s'il est parfois maladroit, cela le rend presque plus sincère. On sent la volonté de bien faire et la conscience du côté beauf de Dubosq qui ne s'épargne pas (la scène où il se retrouve avec des athlètes handisport m'a vraiment fait rire, j'avoue). Bonne surprise, mais il ne faut pas s'attendre à trop.


Battle of sexes
l'histoire vraie de la confrontation entre Bobby Riggs et Billie Jean King dans lesa nnées 70. Billie Jean King, un des meilleures joueuses de tennis de l'époque, se rebelle contre les conditions qui sont imposées aux joueuses (entre autres, des primes 8 fois inférieures à celles des hommes), fonde la WTA et crée un circuit parallèle. Bobby Riggs, une ancienne gloire des années 40, y voit l'opportunité d'un coup publicitaire et la défie pour un match d'exhibition pour démontrer la supériorité des hommes sur les femmes. Riggs est un clown qui multiplie les facéties et les déclarations tapageuses, se définissant comme porc chauvin pour qui la place des femme est à la cuisine et la chambre à coucher. Billie Jean King a tout à perdre, mais a-t-elle vraiment le choix ?
La reconstitution est parfaite. Lorsqu'on compare les scènes du film avec les images d'époque, c'est incroyable. Steve Carrell est quasi mimétique, tout comme Emma Stone. Malheureusement le film se perd un peu en passant trop de temps à exposer les problèmes personnels des personnages et manque de mise en contexte et des conséquences de cette exhibition. Difficile aussi de ne pas voir une forme de mépris absolu pour les joueuses que de les forcer à jouer contre un has been dans une ambiance de cirque pour espérer gagner un minimum de respect. La question n'est pas de savir si une femme est meilleure qu'un homme. C'est une question de reconnaissance et de respect. C'est comme si Simona Halep devait effectuer un match contre Leconte ou Mansour Barami pour démontrer que le tennis féminin existe. Ironiquement, Martina Navratilova a dernièrement critiqué la BBC parce que son contrat de consultante était beaucoup moins avantageux que celui de McEnroe (un facteur 10, il me semble) et tout le barouf autour du 20ème titre du grand chlem de Federer fait oublier que Margaret Court (aussi présente dans ce film), Steffi Graf et Serena Williams on remportées respectivement 24 (dont 11 en ère open), 22 et 23 grand chlem. Steffi Graf est aussi la seule à avoir remporté les 4 tournois la même année caendrier dans l'ère open ainsi que la médaille olympique (en 1988). Billie Jean King pensait que si elle perdait son match, la cause des athlètes reculerait de 50 ans. En tout cas, sa victoire n'a pas vraiment assuré la juste reconnaissance du tennis féminin.

[maxproducts]

Pas beaucoup de Posts sur "Ready Player One" sur ce topic! Je l'ai pas vu et j'hésite vraiment à dépenser 9 euros pour ce film. Par contre, tradition oblige je vais aller voir "Gaston Lagaffe" au cinéma, je m'attends pas à une merveille mais ce Guss de Franquin m'as toujours bien inspiré pour ma vie quotidienne.

[crepp]

deux bonnes soirées ciné cette semaine :

-"Hostiles" de Scott Cooper
Western d'une beauté et d'une grande dureté, avec un Christian Bale époustouflant dans son rôle de capitaine cherchant la rédemption. A chaque petit moment où tu reprends un peu d'air, le réalisateur te replonge la tête dans l'eau, j'en suis sorti bien remué.
beau film

-"Lady Bird" de Greta Gerwig
cette description d'une jeune fille devenant la jeune femme en s'attardant sur la dernière année du lycée a déjà été faite de nombreuses fois, mais pas toujours de cette si belle manière.
Bon l'actrice principale Saoirse Ronan y joue pour beaucoup, ainsi qu'une grande partie de l'équipe d'ailleurs.
C'est frais, vivant, drôle, triste , là aussi une belle réussite.

[Le Complot]

De très bons échos j'ai eu sur Hostiles...

[Matthaeus]

De très bons échos j'ai eu sur Hostiles...

Je l'ai vu hier soir : superbe Un western dramatique !

[Pomponazzo]

Pas beaucoup de Posts sur "Ready Player One" sur ce topic! Je l'ai pas vu et j'hésite vraiment à dépenser 9 euros pour ce film. Par contre, tradition oblige je vais aller voir "Gaston Lagaffe" au cinéma, je m'attends pas à une merveille mais ce Guss de Franquin m'as toujours bien inspiré pour ma vie quotidienne.

La plupart des gens qui l'ont vu ont l'air de se pâmer d'après ce que je lis.

Pas moi, c'est une énième déception pour un Spielberg, un réalisateur pour qui j'ai pourtant une grande tendresse depuis très longtemps. J'ai trouvé ça laid, frénétique, puéril voire idiot, et l'avalanche de références qui semble résumer la culture populaire à une liste de citations et de gimmicks dénuée de sens m'a laissé de marbre.

En revanche j'ai trop de respect et d'admiration pour Franquin pour aller voir ce Gaston, la bande-annonce me suffit et parle d'elle-même.

[crepp]

Sinon le Timothée Chalamet, il est partout là, rôle secondaire dans "Hostiles", dans "Lady Bird", et je dois le voir la semaine prochaine dans "Call me by your name" (bon rôle principal là).

En fait j'ai vu en VO Hostiles et lady bird, il donne à Chalamet toujours une origine française, donc des mots en français dans la VO, ça donne quoi en VF ?

[Cooltrane]

Content que vous aimiez Hostiles... On est pas trop loin du niveau Danse Avec Les Loups, ,j'ai trouvé

Sinon le Timothée Chalamet, il est partout là, rôle secondaire dans "Hostiles", dans "Lady Bird", et je dois le voir la semaine prochaine dans "Call me by your name" (bon rôle principal là).

En fait j'ai vu en VO Hostiles et lady bird, il donne à Chalamet toujours une origine française, donc des mots en français dans la VO, ça donne quoi en VF ?

En fait, j'ai vu Call Me By Your Name déjà il y 10/12 semaines , mais je n'avais pas souvenir que quand il parlait angliche, il le faisait avec un accent frenchie ou le contraire... Je pencherais plutôt pour le parfait bilinguisme sans accent trahissant un camp ou l'autre (un peu comme moi, quoi). Par contre je suis moins sur quand il parlait l'Italien dans ce même film.

[Baltimore]

Par contre, tradition oblige je vais aller voir "Gaston Lagaffe" au cinéma, je m'attends pas à une merveille mais ce Guss de Franquin m'as toujours bien inspiré pour ma vie quotidienne.

La BA est assez ignoble !
La fille de Franquin a bien défoncé le film, je la comprends

[Thierry_2]

Pas beaucoup de Posts sur "Ready Player One" sur ce topic! Je l'ai pas vu et j'hésite vraiment à dépenser 9 euros pour ce film.

perso j'ai dépensé 7 EUR pour le voir. Les cinémas de quartier ont du bon
C'est loin d'être le meilleur Spielberg, soyons clair. Au départ, il y a un roman qui semble se poser comme un hommage à la pop culture des années 80-90, dont Spielberg est une des figures centrales. L'adaptation de Spielberg tourne fatalement à l'auto-citation permanente, presque à l'auto-célébration auto-satisfaite du bonhomme. On sent qu'il s'est fait plaisir et s'amuse comme un petit fou.
Son film est plaisant. On en prend plein les yeux, à condition de laisser son cerveau au vestiaire. Parce que c'est con. C'est très con. Et la cible du film est très bizarre. L'histoire rappelle un peu celle des Goonies: des gamins, une chasse au trésor, des méchants très méchants mais pas trop effrayants quand même, du spectaculaire bon enfant... et puis une longue scène dans

[Révéler] Spoiler:

l'hotel Overlook de Shining

et on se dit que les gamins, ils vont flipper. Puis, quand on connaît le film,

[Révéler] Spoiler:

les jumelles au fond du couloir, elles foutent franchement les jetons parce qu'on entend "viens jouer avec nous... pour toujours".

Quand on ne connaît pas film, pas sûr que ça fasse le même effet.
C'est vrai que le film joue avec cette perception avec le personnage de Aesch.
Quant à la multitude de références geeks, elles restent très marquées par les années 80-90. Tout va tellement vite qu'on se dit qu'il faut revoir le film 10 fois pour tout saisir. En même temps, tu ne sors pas du film en te disant "faut que j'y retourne, c'est trop génial". Le frisson de voir la

[Révéler] Spoiler:

Delorean de B2F

n'a sans doute pas la même saveur pour ceux qui n'ont pas été biberonné à la pop culture des années 80. C'est très générationnel. Il y a comme une dichotomie d'un film qui hésite entre être un film de son temps tout en étant fondamentalement un film de vieux. La laïus moralisateur de la fin sone comme les bons conseils de l'oncle Steven qui nous explique que la réalité c'est réel, ça fait un peu vieux con. Je me dis que c'est un film qui vise les adulescents de 40 ans et plus. Pas les plus jeunes qui maîtrisent les codes des jeux vidéos et de la réalité virtuelle. Eux doivent le trouver à côté de la plaque.
Par contre, on retrouve la sainte grenade d'Antioche. Et ça c'est bien.

[The Maze Echo]

Et la formule magique de Merlin dans Excalibur ! (même si elle est mal prononcée)
Et des thèmes de la BO de Retour vers le Futur. Au début, je me suis posé la question sur les droits, mais en fait, c'est le même compositeur, Alan Silvestri, donc...
C'est ce genre de film de Spielberg qui me plaît : du pur divertissement (1941, Indiana Jones, Hook, Minority Report), pas de la prise de tête (La couleur pourpre, La liste de Schindler, AI)

[wamuu]

Et la formule magique de Merlin dans Excalibur ! (même si elle est mal prononcée)
Et des thèmes de la BO de Retour vers le Futur. Au début, je me suis posé la question sur les droits, mais en fait, c'est le même compositeur, Alan Silvestri, donc...
C'est ce genre de film de Spielberg qui me plaît : du pur divertissement (1941, Indiana Jones, Hook, Minority Report), pas de la prise de tête (La couleur pourpre, La liste de Schindler, AI)

Tu compares à des films divertissants mais un peu plus intelligents que ce film là !
C'est bien beau de mettre des références de partout, mais y'a pas de fond : les personnages, on n'y croit pas une seconde avec leur charisme d'huître (y'en a pas un pour rattraper l'autre), des bons sentiments qui dégoulinent, de l'humour qui tombe souvent à plat...

[crepp]

perso j'ai dépensé 7 EUR pour le voir. Les cinémas de quartier ont du bon

le cinéma associatif c'est encore mieux, c'est 3.80 euros la place pour moi

[Le Complot]

Quand on adapte K Dick de fort belle manière, ça n'a rien d'un pur divertissement...

[Olaf Le Bou]

Je me dis que c'est un film qui vise les adulescents de 40 ans et plus. Pas les plus jeunes qui maîtrisent les codes des jeux vidéos et de la réalité virtuelle. Eux doivent le trouver à côté de la plaque.

pas certain du tout, mes deux ados sont des purs produits de la geekerie du net actuel, nourris de chaines YouTube, de japonaiseries et de jeux vidéos, et ils connaissent parfaitement toutes les références geeks des 80's, mon ainé était absolument ravi de débusquer tous ces clins d'œil dans le film.

[Le Complot]

Je me dis que c'est un film qui vise les adulescents de 40 ans et plus. Pas les plus jeunes qui maîtrisent les codes des jeux vidéos et de la réalité virtuelle. Eux doivent le trouver à côté de la plaque.

pas certain du tout, mes deux ados sont des purs produits de la geekerie du net actuel, nourris de chaines YouTube, de japonaiseries et de jeux vidéos, pourtant ils connaissent parfaitement toutes les références geeks des 80's, mon ainé était absolument ravi de débusquer tous ces clins d'œil dans le film.

Je me suis permis de remplacer un mot.