de Cooltrane » 16/03/2018 11:10
double shot ce w-e dernier avec la compagne
Mon choix:
Radiance (Vers La Lumière) : Japon. Une superbe jeune audiodescriptrice pre,ds des cours de perfectionnement pour pouvoir mieux répondre aux attentes de vision des malvoyants et finit par rencontrer un célèbre photographe maussade et bougon en train de perdre la vue. Le 4è film de Naomi Kawase est une fiction, mais qui se fait attendre, car le premier quart de film est loin d'être passionnant, à moins de maitriser le nipôn parl. en effet, on fries ler documùe,ntaire de la profession, mais au fur et à mesure, la superbe et fort émouvante Ayame Misaki s'extirpe des bureaux et apprends à connaitre ce bougon de service pour rentrer dans son quotidian et parallèlement s'occuper de sa mère. La poésie parlée et visuelle grandissent et qqes scenes frisent presque le sublime, fortement aidé par la musique de Ibrahim Maalouf (surtout du piano), pour donner un dernier tiers de film assez bouleversant; ce qui nous remercie d'avoir tenu le coup pendant ses débuts difficiles et peu attrayants. Comme quoi, parfois, cela paie de s'accrocher un peu. 7/10
Son choix:
Mrs Mills: de, par et avec la belle Spohie, mais quell putain de navet... Entre une Claviererie et une Boonerie et avec un Pierre Richard nous ressortant certaines pitreries datant des 70's (du slapstick). Un non-scénar pas drôle (du tout), de l' H2O de rose à tout va, un casting à coté de la plaque, et j'en passe, il faudra chercher tr§s fort pour trouver plus mauvais cette année (encore que Boone et Clavier ne manqueront pas de revendiquer ce titre). C'est d'ailleurs à se demander si les excitées féministes ont vu cette cornichonerie, car sinon, elle auraient déclaré une fatwah contre Pierre Richard et son impersonnation tellement délirante (on approche la Mme Doubtfire de Robin Williams, mais sans le moindre génie) qu'il devient dénigrant, pour ne pas dire limite insultant.
Bref, pour son troisième ou 4è film (pas que ses precedents soient des chef-doeuvres), elle s'est bien plantée, mais plus que la réalisatrice, c'est surtout l'auteure duscénario qu'il faut fauter. Et en plus elle ne vous a même pas montré un bout de nichon (ou plus comme) d'habitude dans ses comédies modernes... Bref on oublie au plus vite. 3/10
Mieux vaut tapis Persan volé que tapis volant percé (Uderzo.... et oui, pas Goscinny)