J'ai plus l'impression de voir un cosplay de Freddy mercury qu'un acteur l'incarnant
Je plussoie
Et les nouvelles photos donnent encore moins envie
J'ai plus l'impression de voir un cosplay de Freddy mercury qu'un acteur l'incarnant
Morti a écrit:arcarum a écrit:Morti a écrit:Dites, z'avez vu la bande annonce de Seven sisters ???
Ca m'a l'air velu...un petit côté Orphan Black...avec Noomi Rapace dans les 7 rôles, Glenn Close et Willem Dafoe.
Et il paraît que la fin est surprenante...
J'ai vu Seven Sisters et j'ai vraiment été agréablement surpris.
Noomi Rapace (désolé si je l'écris mal) porte vraiment le film, chacune de ses interprétations est construite mène à réellement croire qu'elles sont nombreuses. j'ai beaucoup aimé la réa et surtout j'ai trouvé l'histoire pas mal construite.
Je suis assez fan des dystopie et le dernier film dans ce genre m'ayant fait me poser des question est "Le Fils de L'homme".
Vu ce soir et effectivement excellent film de sci-fi, entre les Fils de l'homme et Soleil vert...
Noomi Rapace est exceptionnelle et le montage du film a dû être un enfer...
Mais ça fait un peu froid dans le dos quand même...la fin...
edgarmint a écrit:
Le film s’ouvre sur une succession de paysages neigeux aussi beaux que lugubres. Mais, en regardant bien, derrière la nature et les branchages, il est donné à distinguer quelques immeubles qui ne sont pas sans faire penser à ceux des Dix commandements de Kieslowski.
Ukraine, sortie d’école, bruyante, joyeuse, un enfant parmi d’autres traverse ces terres neigeuses et décharnées pour rentrer chez lui, dans un immeuble post-soviétique. L’appartement est à vendre, les parents se séparent, aucun des deux ne veut garder l’enfant. Scène d’engueulade, les vannes de la haine sont ouvertes en grand, hurlements puis silence. L’enfant n’a rien loupé, la caméra s’attarde sur son visage qui exprime une douleur indicible, atroce.
Les deux parents ont commencé à refaire leur vie, chacun de son côté. La mère, directrice d’un institut de beauté, sort avec un CSP+, le père, lui, a déjà déposé une petite graine en train de germer dans un jeune ventre. Un matin, alors que les deux parents ont découché, l’enfant laissé en jachère n’est plus là. Fugue, accident, enlèvement ?
Faute d’amour est un film d’une profonde tristesse, désespérant, sur une société repliée sur elle-même, déshumanisée. Les protagonistes peuvent paraitre abjects, égoïstes, et il m’a pourtant semblé impossible de les haïr, de leur jeter la première pierre, ce qui aurait été quelque part confortable. Mais le cinéaste, A. Zvyagintsev, se garde bien de tout manichéisme, il donne à toucher du doigt ce qui anime chacun d’entre eux, rendant ainsi à chacun une part d’humanité. Celle qui vaut de s’attacher à une sorte d’enfer, le temps d’une vie.
bru a écrit:Vu : Le sens de la fête
Passé un excellent moment, bien rit avec toute la salle (mention spéciale à la scène du ballon d'hélium).
Bacri reste fidèle à lui-même, râleur mais humain et attachant.
J'ai bien aimé le scenario, en gros une bande de bras cassés en charge de l'organisation d'un mariage et tout part à vau l'eau. Mais toute la subtilité du film tient dans le fait que ça ne dégénère jamais façon Baby sitting ou Very bad trip. Tout reste plausible, réaliste, aucune grande catastrophe mais plein de petits malheurs, loupés sans grave conséquences. Les dialogues sont particulièrement bien fins et bien travaillés.
Bref, pas un grand film d'humour qui va casser toute la baraque mais plutôt un film humain, drôle et sympathique qui vous fait passer un excellent moment.
LeJoker a écrit:C'est quand même bizarre ce besoin de faire un film sur la tristesse et le drame. Le réalisateur est russe, il lui suffisait de faire un documentaire au bas de chez lui.
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Du coup, pourquoi aller se taper en plus de la Misère fictive ? Sans doute parce que même fictive, elle reste à distance du spectateur bourgeois qui veut se trouver une bonne âme sans que cela soit trop inconfortable.
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