Cinéma : Films vus en DVD ou à la télévision

[fanche]

Message précédent :
Le village reste mon préféré. Un côté bricolage avec pas grand chose et un fond (light mais un fond). Le 6 eme sens ça pique sa seule bonne idée au tour d'écrou sans l'atmosphère, sympa mais voilà. incassable est un clin d'oeil sympa aux super slips quand on aime les sous vêtements résistants

[HOCHET Gabriel]

Les films de ce mec en général m’emmerdent un peu…

Par contre, je viens de voir sur Canal Les rois de la piste, de Thierry Klifa, et ça m’a bien plu.

[Geb]

Je vous trouve un peu durs avec Shyamalan :
Tout n'est pas super mais le 6ème Sens est excellent et se revoit très bien.
J'aime également The Village, Incassable, Split, Glass et Old.

[ulys]

Old ?

Jamais entendu parlé de ce film.

[euh... si vous le dites]

Old ?

Jamais entendu parlé de ce film.

C'est l'adaptation de ça :

[Geb]

Old ?

Jamais entendu parlé de ce film.

C'est l'adaptation de ça :

J'adore la BD mais j'ai également passé un super moment devant l'adaptation qui s'écarte sensiblement du livre (si mes souvenirs sont bons car ma lecture remonte à quelques temps ...).

Mon top de sa filmo, c'est 6ème Sens, The Village et Incassable.

[HOCHET Gabriel]

Vu finalement sur Canal Émilia Perez…. Putain de film, quelle claque…..


Les Passantes (Antoine Pol)

Je veux dédier ce poème, À toutes les femmes qu’on aime, Pendant quelques instants secrets, À celles qu’on connaît à peine, Qu’un destin différent entraîne, Et qu’on ne retrouve jamais.
À celle qu’on voit apparaître, Une seconde à sa fenêtre, Et qui, preste s’évanouit, Mais dont la svelte silhouette, Est si gracieuse et fluette, Qu’on en demeure épanoui.
À la compagne de voyage, Dont les yeux, charmant paysage, Font paraître court le chemin, Qu’on est seul peut-être à comprendre, Et qu’on laisse pourtant descendre, Sans avoir effleuré sa main.
À celles qui sont déjà prises, Et qui, vivant des heures grises, Près d’un être trop différent, Vous ont, inutile folie, Laissé voir la mélancolie, D’un avenir désespérant.
Chères images aperçues, Espérances d’un jour déçues, Vous serez dans l’oubli demain. Pour peu que le bonheur survienne, Il est rare qu’on se souvienne, Des épisodes du chemin.
Mais si l’on a manqué sa vie, On songe, avec un peu d’envie, À tous ces bonheurs entrevus, Aux baisers qu’on n’osa pas prendre, Aux cœurs qui doivent vous attendre, Aux yeux qu’on n’a jamais revus.
Alors aux soirs de lassitude, Tout en peuplant sa solitude, Des fantômes du souvenir, On pleure les lèvres absentes, De toutes ces belles passantes, Que l’on n’a pas su retenir.

[kantessekonmange]

J'ai revu :

Ted2.jpg (8.93 Kio) Vu 297 fois

C'est aussi drôle que le premier, irrévérencieux à souhait !

J'adore !

[Julien Despreux]

Vu finalement sur Canal Émilia Perez…. Putain de film, quelle claque…..


Les Passantes (Antoine Pol)

Je veux dédier ce poème, À toutes les femmes qu’on aime, Pendant quelques instants secrets, À celles qu’on connaît à peine, Qu’un destin différent entraîne, Et qu’on ne retrouve jamais.
À celle qu’on voit apparaître, Une seconde à sa fenêtre, Et qui, preste s’évanouit, Mais dont la svelte silhouette, Est si gracieuse et fluette, Qu’on en demeure épanoui.
À la compagne de voyage, Dont les yeux, charmant paysage, Font paraître court le chemin, Qu’on est seul peut-être à comprendre, Et qu’on laisse pourtant descendre, Sans avoir effleuré sa main.
À celles qui sont déjà prises, Et qui, vivant des heures grises, Près d’un être trop différent, Vous ont, inutile folie, Laissé voir la mélancolie, D’un avenir désespérant.
Chères images aperçues, Espérances d’un jour déçues, Vous serez dans l’oubli demain. Pour peu que le bonheur survienne, Il est rare qu’on se souvienne, Des épisodes du chemin.
Mais si l’on a manqué sa vie, On songe, avec un peu d’envie, À tous ces bonheurs entrevus, Aux baisers qu’on n’osa pas prendre, Aux cœurs qui doivent vous attendre, Aux yeux qu’on n’a jamais revus.
Alors aux soirs de lassitude, Tout en peuplant sa solitude, Des fantômes du souvenir, On pleure les lèvres absentes, De toutes ces belles passantes, Que l’on n’a pas su retenir.

Je ne connaissais pas cette sensibilité plus feutrée et certes moins pétaradante de ta personnalité.

[nexus4]

Mais alors vraiment parceque vous insistez.

[HOCHET Gabriel]

C’est dans un tout autre registre, mais ça me fait le même genre d’effet que cette chanson révolutionnaire brésilienne….

[Julien Despreux]

C'est aussi la force des langues latines avec la puissance du message alliant l'évocation musicale : espagnol, portugais, italien, ...

[HOCHET Gabriel]

Et surtout….

[Julien Despreux]

Avec la choré en plus, c'est quand même autre chose que la version de Nathalie Cardone que j'ai failli mettre !

[Olaf Le Bou]

C’est dans un tout autre registre, mais ça me fait le même genre d’effet que cette chanson révolutionnaire brésilienne….

alors oui, mais la version ao vivo no maracanãzinho est encore plus prenante.

[HOCHET Gabriel]

C’est dans un tout autre registre, mais ça me fait le même genre d’effet que cette chanson révolutionnaire brésilienne….

alors oui, mais la version ao vivo no maracanãzinho est encore plus prenante.

Exact…

[Olaf Le Bou]

en même temps, c'est toi qui m'a fait découvrir

[HOCHET Gabriel]

Une preuve supplémentaire de ce que tu as un extrême bon goût….

[HOCHET Gabriel]

Et comme j’avais le sentiment qu’il manquait encore quelque chose….

[HOCHET Gabriel]

Et comme j’ai encore faim, je ne peux résister à ceci, avec le secret espoir de le faire découvrir à quelqu’un…..

Je ne connaît rien de plus génial….

[Olaf Le Bou]

J'ai découvert récemment que le poème original est plus long et que Brassens n'en a adapté qu'une partie.

Pour le découvrir en chansons, allez voir le duo "De Brassens sinon rien", deux musiciens de l'opéra de Limoges qui font un chouette spectacle autour de reprises du maître, dont ces couplets inédits des passantes.