Morti a écrit:Brian Addav a écrit:Morti a écrit:En fait je ne veux pas parler d'un film mais d'une recherche de film.
J'ai une idée de l'histoire et surtout de la fin mais je ne le retrouve plus.
Je pense qu'il s'agit d'un film avec Mel Gibson (mais je peux me tromper !!!), une histoire de vol, de hold-up enfin d'argent.
La seule chose dont je me rappelle est qu'à la fin, le héros part en Amérique du Sud avec sa compagne à qui il dit qu'il a envoyé l'argent là-bas.
Mais en fait, en voix off, il avoue qu'il a envoyé l'argent ailleurs en Amérique du Sud...il en avait assez bavé pour prendre le risque de se faire encore avoir.
Voilà, si ça vous dit quelque chose, je vous serais reconnaissant de m'aiguiller...
faut nous en dire plus. Il part comment en amsud à la fin ?
Dans mes souvenirs, il récupère l'argent (à lui ou volé, je ne sais plus) et propose à sa copine de partir en Amérique du Sud en avion. Il lui dit qu'il a envoyé l'argent là-bas mais en voix off, il dit qu'en fait il l'a envoyé dans une autre banque pour éviter de se faire encore arnaquer...le film se termine là...
Je pencherais pour un film des années 90 mais là aussi sans certitude. Au départ je pensais aussi à Payback mais on l'a revu récemment et ce n'est pas ça.
Mais j'insiste, je ne suis pas certain de Gibson ni même de l'origine du film...c'est la fin qui me reste en tête...
Brian Addav a écrit:Mel Delon, Alain Gibson
Thierry_2 a écrit:flemme du soir, malade, crevé.
Thierry_2 a écrit:
flemme du soir, malade, crevé.
le point de départ est bancal. Pour mettre fin aux guerres, il faut mettre fin à la jalousie, et donc, il faut que tout le monde soit beau. Donc, dystopie ultra basique. Jusque 16 ans, vous êtes un "ugly" avant de pouvoir subir une opération qui vous rend "pretty" et vous ouvrent les portes d'une vie dans un décor constamment instagramable.
En fait, vous copiez-coller des pans entiers de "divergentes", vous prenez des acteurs uglies qui ressemblent à des gravures de mode (genre, dans les comédie ado, la "moche" qui devient anon après un shampoing et l'ablation des lunettes). Quand ils sont "pretty", vous les maquillez comme un filtre tik-tok. Les effets spéciaux sont cheap, le scénario est subtil comme une série quotidienne de TF1. McG pompe à peu près tout ce qu'il peut, jusqu'à matrix. Et, à la fin, vous réalisez que c'est adapté d'une trilogie (en 4 tomes) et que, vu la qualité du bidule, peu de chances qu'un deuxième film soit tourné (et que je perde mon temps devant).
l'auteur des romans, Scott Westerfeld, dit s'être inspiré du texte de Ted Chiang "aimer ce que nous sommes". C'est fascinant à que point il n'a rien compris.
roboris 45 a écrit:"Vampires en toute intimité" (What we do in the shadows)
jolan a écrit:Avec Rachel McAdams tu veux dire (absolument parfaite dans ce rôle qui lui va comme un gant)
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