Cinéma : Films vus en DVD ou à la télévision -2009-2021

[D H T]

Message précédent :

Et il faut citer Pierrot le Fou aussi.
Là aussi y'a énormément de choses. Sans compter tout ce qu'il a apporté avec film sur les possibilités de narration, etc...

Ce que j'ai fait (lire mes posts page précédente). Il est vrai qu'on peut le compter également parmi les films notables dont Bébel tient le premier rôle.

[Brian Addav]

Pierrot le Fou c'est aussi pourri que n'importe quel Godard, dla bonne grosse daube les Godard, la palme revient à Made in USA, j'ai rien vu de pire que ce truc.

Rha la la... Faut le considérer chronologiquement vis à vis de l'histoire du cinéma.
Il y a peu de type qui ont "inventé" niveau langage cinématographique (un des premiers étant Griffith).
Si Godart est autant considéré, c'est parce qu'il a inventé énormément sur l'usage des images, et surtout du son.
Pierrot le Fou est le premier film où un réalisateur joue sur le hors champ sonore.

(c'est aussi pour ça que son cinéma n'est connu que des étudiants style fémis et pas du grand public hein )



DHT désolé, j'avais pas vu

[Scalp]

Godard il a inventé la branlette, comment faire tenir un film 1h30 alors qu'on pourrait le torcher en 20 minutes, il a aussi appris la technique dite du filmage moche.

[gotlib-fan]

Pour répondre tout de suite à ta dernière question, des films comme "Pravda" ou "Luttes en Italie" sont actuellement difficiles à trouver en DVD mais tu ne rates pas grand chose car cette période, secondaire, a déjà été initiée par "La Chinoise", film plus abouti que ses successeurs dans ce registre politisant.

Donc je peux arrêter de me casser l'cul pour savoir où les avoir. Tanksse.
Cela écrit, j'aimerais bien quand même les voir.

Ses courts-métrages des années 50 ne sont pas inconnus et on peut encore les trouver, eux. Godard y collabore avec Truffaut, avec Rohmer. Il fait ses gammes et introduit déjà une certaine liberté de ton, une manière de jouer avec les mots qu'on retrouvera par la suite. Les films sont parfois drôles et légers, presque anodins (je pense à "Tous les garçons s'appellent Patrick").

Après quelques pitites recherches, y en a quelques uns sur youtube. C'est toujours le plus évident la bonne solution mais c'est pas souvent ce à quoi on pense en premier . Je finis ce comm' et j'y vais.

Tu as le droit de ne pas aimer "A bout de souffle" et "Le mépris". Dans le premier cas tu passes à côté d'un des meilleurs rôles de Belmondo, avec des répliques culte ("Si vous n'aimez pas la mer, si vous n'aimez pas la montagne, si vous n'aimez pas la ville, allez vous faire foutre").

Dans le deuxième cas, Brigitte Bardot y est si belle... Comment ne pas l'aimer? Et puis il y a les paysages méditarrénéens sous un ciel bleu intense (je détruirais toutes les usines du monde, si je pouvais, pour rendre à la Terre ce ciel bleu qu'on a perdu), la mise en abyme du cinéma avec Fritz Lang jouant son propre rôle, la musique de George Delerue, une des plus belles de toute l'histoire du cinéma.

Pour "A B.D.S.", je crache pas sur le jeu de Belmondo, certainement frais et léger, détendu et mettant bien bien en place le personnage dès l'départ (c'est moi ou y s'est 'achement inspiré du gars Bogart ? ), non, c'qu'il y a, c'est l'ensemble, le "après les quinze-vingt premières minutes". A l'époque, ça a sûrement fait fureur (dans le bon comme dans le mauvais sens, selon les avis) mais moi, aujourd'hui, éduqué avec des films où tout se passe en deux-temps trois-mouvements (je parle pas des dessins animés, eux, absolument exceptionnels -The Big O, Samurai Jack, Courage le Chien Froussard, Batman (celui de 1992), Les Zinzins de l'Espace,...-), et ben j'ai du mal quand c'est lent et long. Voilà. J'essaye et des fois j'y arrive, des fois j'y arrive pas, c'est tout.
Pour "L.M.", Bardot n'a jamais été mon grand trip (même si je la préfère aux mannequins d'aujourd'hui et la scène d'intro, superbe !) mais alors avec la perruque brune... Sur la question des paysages, j'aurais préféré les voir "pour de vrai". Eh. Enfin, concernant les coups de la mise en abyme et de la musique, c'est sans doute ce que j'aime le plus de ce film.
Voilà.
Maintenant, je vais me faire c'qu'il y a de courts-métrages [i]made in[i] "fifties Godard" sur Youyou.

En parlant de Pierrot le Fou :

Rha la la... Faut le considérer chronologiquement vis à vis de l'histoire du cinéma.

Je suis arrivé à le placer comme étant l'un des films favoris sans ça.

[D H T]

Autant j'aime les films de Godard en général, autant je ne trouve pas que ce soit le cinéaste le plus novateur de sa génération. Le problème chez Godard, malgré toutes les qualités que je lui reconnais, c'est d'avoir orienté le cinéma vers une rhétorique discursive, qui n'est pas propre à l'image mais au langage des mots.

D'où un aspect excessif dans le constructivisme, qui se ressent à la projection: souvent d'excellents films, mais des films-gadgets. Les acteurs et actrices y sont posés, comme pris au piège dans un artefact machiavélique. On se dit que soit ils s'amusent, soit les séances de tournage doivent être un supplice pour eux.

Je préfère Antonioni, qui a non seulement été plus créatif (les images qui parlent d'elles-mêmes, dans le cinéma, indépendamment des dialogues, c'est grâce à lui), mais en plus tout semble naturel dans ses films, dans les situations mises en scène. C'est du vrai cinéma qui ressemble pourtant à la vraie vie.

[gotlib-fan]

Le premier paragraphe s'est résumé pour moi en une phrase qui, il me semble est de ma composition :
"A Jihèljé : je ne vais pas au cinéma pour avoir des cours de philosophie ou savoir comment causer. Cours qui se révèlent d'ailleurs -et ce, inévitablement- insuffisants. Merde alors."

Deuxième ehpargarap : Je crois qu'il y a chez Godard une espèce de proporsion à se prendre pour le grand maître, attitude autrefois cachée sous une fausse (?) modestie rondement et classiquement menée, mais à présent plutôt implicite, qu'on devine toutefois plus que facilement dès qu'on entame un bout d'interview ou les déjà fameux "Morceaux de Conversation avec Jean-Luc Godard". Il aime fabriquer. Un peu comme Woody Allen qui fabrique ses femmes dans ses films. Je pense que Julc-Ane (qu'il me permette de "monter" son prénom ) est, en sus d'être excellent monteur et réalisateur, un excellent metteur en scène avant tout.

Edit : un pitit lien où que y a parfois d'assez bonnes critiques des oeuvres de l'ami Dargod (ah ben ça ! ) mais intéressantes toujours : http://shangols.canalblog.com/archives/2006/02/06/7792838.html

Pas edit :
Troisième symphonie (re ): Je connais pas assez Antonioni pour en parler honnêtement, n'ayant vu (et apprécié) que Blow-Up et Zabriskie Point.

Retour au sujet : j'ai vu certains de ses métrages courts mais je les détaillerais demain ou plus tard, peu importe, mais ça arrivera. Sinon j'ai observé (plus qu'autre chose) "Innocence" de la madame au nom imprononçable à Gaspar Noé, cet espèce de Godard extrême (haha).
Pour tout dire, je me suis un peu fait chier. Les enfantes jouent superbement, ça y a pas à dire. J'ai été étonné de voir M. Cotillard dans un film comme ça (autant que M. Bellucci dans Irreversible). L'image est belle. La musique aussi. Les décors, pareils. L'histoire simple. Les métaphores douteuses. Ouais. Et alors ?
5,5/10

[zanzibar]

Pour tout dire, je me suis un peu copieusement fait chier.

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Tout Godard, quoi!!
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[gotlib-fan]

Roh, ben mer alors ! Cha, c'est pas d'brol ! Va dime voir un tour du côté dl'a rivette, voir si j'y suis.
Pour mettre tout l'monde d'accord, j'propose d'aller faire un tour à Truffaut.

[gotlib-fan]

Pour tout dire, je me suis un peu copieusement fait chier.

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Tout Godard, quoi!!
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Et puis bon, surtout que le film dont je parle est pas de lui . Influencé par, très certainement, par contre.

[gotlib-fan]

C'est quand même pas ça :

[Olaf Le Bou]

Bon, alors j'ai vu ça :



Le code des huit oublis, de Teruo Ishii .... Un samourai sur le retour s'acoquine avec un clan mafieux qui prospère dans le proxénetisme et est chargé de terroriser la concurrence, tout en devant échapper aux autorités qui ont mis sa tête à prix.

Ben c'est pas bon

Filmé n'importe comment, acteurs en roue libre totale, scénario plus léger que le costume des actrices ( fort jolies, certe, mais bon )...

Et même pas assez drôle pour faire un bon nanar. Bon, certaines scènes sont franchement ridicules, l'acteur principal mauvais comme rarement, les combats sont pathétiques, mais c'est plus barbant qu'autre chose. Pourtant, le (probable) cahier des charges d'une paire de nichons toutes les 3 minutes en moyenne est respecté, mais c'est insuffisant pour faire un film.

[ulys]

Bon j'ai regardé From Paris With Love

Il n' y a pas de scénari mais il y a une Audi !
Bon ça dépote quand même, tout le monde s'éclate !
Johnny en fait trop mais ça le fait bien. L'autre gus est pas mal non plus.
Parcontre il y avait pas trop de budget "gonzesse" cette fois.
J'ai bien aimé.

[ulys]

Et hier j'ai revu Sucker Punch

Alors c'est bizarre quand même.
L'intro elle déchire (surtout la bande son - dans le reste du film aussi d'ailleur)
Ensuite la réalité et le rêve, ke ne suis pas fan du tout. trop glauque.
Parcontre les parties "dansées", j'adore, c'est très esthétique. 100% Action avec des gonzesse en petite tenue et de très gros flingues, sabres... Il y a de bonnes idées pour les "méchants" et les univers.
Dérangeant pour les parties que je n'aime pas. Mais les autres
Sensation bizarre.

[Scalp]

Perdita Durango Alex de la Iglesia - 1997



Au vue de la réputation du film je m'attendais à quelques chose de plus noir et violent, j'ai vu le dvd FR qui n'est pas uncut donc ptet que ça censure un peu de violence mais en l'état niveau violence ( et même sexe ) j'ai trouvé ça super gentillet, bon alors oui c'est plutôt politiquement incorrect ( ça viole des pauvres victimes, on utilise des foetus pour faire des produits cosmétiques ) mais au contraire d'un Devil's Reject film auquel j'ai pensé pendant la vision du film, le couple même si complétement cinglé et psychopathe est rendu finalement assez sympathique ( et la fin toute douce donne un coté nostalgique assez surprenant ) et ça va pas aussi loin que prévu ( genre y a pas un seul innocent de tuer surtout que le personnage de Perdita annonce que ses 2 seules plaisirs sont baiser et tuer et qu'au final elle baise un peu et tue très très peu ).
Ca n'empêche bien entendu pas le film d'être très sympathique et suivre le duo Perdita/Romeo est assez plaisant, la relation qui se noue entre les prédateurs et leur proie ( 2 teenages wasp ) s'avère bien foutu, bon y a des petits soucis de rythme ici où là mais dans l'ensemble les 2 heures passent bien et c'est du bon petite road movie dans la plus pur tradition et certaines scènes sortent du lot notamment cette séance de vaudou qui tourne au carnage ou bien encore ce final Vera Cruz.
Les scènes de flashback sont bien marrante notamment le braquage de banque ou un braqueur profite enfin de son flingue pour faire quelques choses de cool :
De La Iglesia une fois de plus livre un putain de film ou sa réalisation est encore très référentielle, putain l'hommage à Vera Cruz c'est juste la classe, sinon moins classe y a aussi Urudokodji ( bon j'ai surement fait une faute dans le nom mais j'ai la flemme de chercher ), à plusieurs moment on se dit putain comment y maitrise cet enculé : la rencontre entre Perdita et Romeo notamment, ou une scène de dialogue filmé comme un film noir avec la lumière juste sur les yeux de Romeo. Il emballe aussi une sympathique petite scène d'action et un gunfight rigolo avec un flic gogol qui court s'empaler sur les balles et bien entendu un somptueux climax final.

Le casting déchire quel surprise de voir Screaming jay Hawkins au casting, sur le coup on se demande si c'est bien lui et oui c'est bien lui, le couple principal crève l'écran Rosie Perez n'a jamais été aussi convaincante ( et elle est même bandante ce qui est un bel exploit quand on voit sa tronche quoi, le premier plan du film est d'ailleurs vraiment beau : ) et Javier Bardem nous sort une compo dont il a le secret ( putain mais ce look de fou, les santiags avec une tête de crotale c'est la grande classe ) : et lors des séances de vaudou il est habité : , et puis petit bonus final on a James Gandolfini en flic obstiné ( à ce stade c'est même plus que ça vu tout ce qui va lui arriver comme merde : y passe sous une voiture, tombe d'un camion, se fait malmené par un hitman ) lancé aux trousses du duo qui comme à son habitude est super bon : , et on retrouve bien entendu un des acteurs fétiche de de la Iglesia : Santiago Segura collègue braqueur de banque malheureux.
La BO est correct et le soundtrack est excellent : Johnny Cash et Screaming jay Hawkins ça le fait toujours.
Pas le meilleur film de l'espagnol ( qui reste 800 balles ) mais c'est bien sympa dans l'ensemble et puis c'est carrément d'un autre niveau que le film pourri de Lynch, dommage cependant que le film n'aille pas plus loin.

7/10

[Brian Addav]

c'est lequel de Lynch que tu cites en référence là ??

[jolan]

"Sailor et Lula" je suppose

[Brian Addav]

"Sailor et Lula" je suppose

ah... ok... euh...pourquoi pas

[Scalp]

He Got Game Spike Lee - 1998



Le record de Ray Allen m'a donné envie de me regarder ce petit Spike Lee, pour ceux qui connaissent rien en sport, Ray Allen c'est un joueur NBA qui vient de battre le record NBA de panier à 3 pts ( et pour le petit clin d'oeil dans le film Reggie Miller dit du bien de lui et Reggie Miller c'était justement le détenteur du record précédent ) et c'est accessoirement l'un des 5 meilleurs shooteurs de l'histoire.
Sur un bon script de Spike Lee ( chose rare ) on suit le parcours de Denzel Washington qui sort de zonzon pendant 1 semaine pour convaincre son fils ( Ray Allen ) de signer dans l'université de Big State et si il signe il aura une remise de peine mais il essayera avant tout de se faire pardonner par son fils ( un truc qu'on nous dévoile après une heure de film ) bien entendu tout ça se passe à NY et ici plus précisément à Coney Island.
Alors le choix universitaire et les bourses sportives c'est un sujet typiquement ricain un peu inconnu pour le spectateur lambda ( la plèbe quoi ) avec tout les universités et les agents sportifs prêt à tout pour attirer les jeunes joueurs déjà star qu'il veule et ici tout le monde sort le grand jeux entre argent facile et bitch blanche ( détail important dans le film ) gratuite c'est la fête du slip , le passage avec Rick Fox ( autre joueur NBA et désormais acteur qu'on a notamment vue dans Oz ) et Turturo est hilarant, Spike Lee ne nous apprend donc rien et n'hésite pas a pousser jusqu'à la caricature ( tout le monde mais vraiment tout le monde veut sa part du gâteau : oncle, entraineur, copine, agent... ) mais bon faut pas se leurrer tout les gros joueurs High School y choisissent pas gratuitement leur université.

La réalisation de Spike Lee comme à son habitude c'est du bon taf, une nouvelle fois gros boulot sur le montage ( ça part même dans tout les sens mais c'est jamais chiant à suivre et le monologue de Big Time rappelle celui de Norton dans 25th Hour ) et c'est toujours blindé de mouvement de caméra élégant, par contre dans celui là on a pas le gimmick travelling à la Spike ( enfin y en a un dans le générique finale ), et puis on a les matchs de basket qui mieux que Spike Lee pouvait mettre en scène du basket et Denzel surprend vraiment sur quelques move ( bon pas besoin de parler de Ray Allen ) et le 1vs1 en guise de climax final c'est l'équivalent des films de fight ou l'élève défie le maitre ( sauf qu'ici c'est l'inverse ) et j'aime bein l'issue du match, l'espace d'un instant on se dit oue ça va être serré mais voilà 20 ans d'écart bein ça joue.
Denzel comme souvent chez Lee bein il est bon et il livre ici une perf de premier ordre ( très convaincant dans le registre "méchant" de son perso, excellent le passage ou pète la tronche du gars puis marche comme un gros lascar ), Ray Allen c'est une bonne surprise bon par moment il est limite mais dans l'ensemble il s'en sort bien, Rosario bein c'est Rosario donc elle est bien ( en plus y a du topless ), y a ce bon vieux Jim Brown en vieux flic, tout le reste du cast c'est des gueules habituelles de Lee et sinon y a Milla Jovovich et comme toujours elle joue comme une quiche et elle est joue une pute qui sert un peu à rien dans l'histoire ( ça c'est la Spike Lee Touch au script toujours foutre des trucs qui servent à rien ).
La BO elle rappelle par moment 25th Hour mais je trouve qu'elle colle rarement avec ce qui se passe à l'écran, ça fait trop dans le sentencieux sans raison, heureusement y a un bon soundtrack ( Public Ennemy dans la place ).
Je pense que être fan de basket pour ce film c'est quand même un réel plus pour apprécier le film, sinon on y verra juste une histoire avec un père à la recherche du pardon de son fils alors que c'est aussi une grosse déclaration d'amour au basket même si il est pas si présent que ça dans le film.
Le film a droit au super Bonus Dieu ( Michael Jordan quoi ) de 1 point et donc c'est du 8/10 ( en vrai c'est donc plus du 7 ).

8/10

[ulys]

Alice aux pays des merveilles (Tim Burton)

Visuellement c'est quand même excellent
Des bons personnages, on croirait presque qu'ils sont réels. Les personnages humains sont pas terrible du tout par contre. Le chapelier fou ça passe encore. Mais la dame de coeur et à chier. Et on a envie de baffer la Bonham-Carter (pas envie de chercher l'ortographe) dès qu'elle ouvra la bouche.
L'histoire en elle même n'est pas trop originale (sic). Même si au début on est surpris par rapport au moment ou commence l'histoire.

[gotlib-fan]

Visuellement, d'accord.
Bon.
Mais APRES ?!
Personellement, j'ai aussi envie de baffer le type qu'a eu l'idée de faire la scène finale du combat comme de la danse et pis la reine blanche jouée par une actrice dont j'ignore jusqu'au nom.
On devrait estampillé ce film "Disney", pas "Burton". Sauf certains décors et la scène où qu'a tombe dans ce fameux pays.
Visuellement, oui. Très beau. Ca, y a pas d'problèmes.
Mais après ?

[ulys]

la reine blanche jouée par une actrice dont j'ignore jusqu'au nom.

En générale elle est plutôt jolie Anne Hathaway

http://www.allocine.fr/personne/fichepe ... 65719.html