jolan a écrit:Un moment "immortel - Ad Vitam" pour Le Complot, donc
Le Complot a écrit:Plus que pas mal, ce classement :
https://lantreducinephile.fr/2021/11/26/brad-pitt-le-top-10-de-ses-interpretations/
On regrettera l'absence de l'armée des 12 singes, quand même, qui en jette.
silverfab a écrit:Le Complot a écrit:Plus que pas mal, ce classement :
https://lantreducinephile.fr/2021/11/26/brad-pitt-le-top-10-de-ses-interpretations/
On regrettera l'absence de l'armée des 12 singes, quand même, qui en jette.
Ah ouais tu le trouves "pas mal"?
Franchement en effet oublier 12 Monkeys où il est très bon et aller mettre Troie où il est particulièrement mauvais déjà ça met le doute.
Il est guère meilleur dans Fury et dans Benjamin Button, à part faire du Redford (comme dans Et au milieu coule..., légendes d'automne ou encore le pitoyable rencontre avec Joe Black) on est loin de Fight Club ou même du Hollywood où son personnage est l'un des seuls éléments vraiment réussi du (trop) long métrage.
silverfab a écrit:Le Complot a écrit:Plus que pas mal, ce classement :
https://lantreducinephile.fr/2021/11/26/brad-pitt-le-top-10-de-ses-interpretations/
On regrettera l'absence de l'armée des 12 singes, quand même, qui en jette.
Ah ouais tu le trouves "pas mal"?
Franchement en effet oublier 12 Monkeys où il est très bon et aller mettre Troie où il est particulièrement mauvais déjà ça met le doute.
Il est guère meilleur dans Fury et dans Benjamin Button, à part faire du Redford (comme dans Et au milieu coule..., légendes d'automne ou encore le pitoyable rencontre avec Joe Black) on est loin de Fight Club ou même du Hollywood où son personnage est l'un des seuls éléments vraiment réussi du (trop) long métrage.
pabelbaba a écrit:Ou le nombre de fois où il bouffe un truc en pointant quelqu'un du doigt?
Brian Addav a écrit:zut, Benjamin Button je l'ai vu au ciné, et je ne me souviens de rien du film
Le Complot a écrit:Brian Addav a écrit:zut, Benjamin Button je l'ai vu au ciné, et je ne me souviens de rien du film
Tu vieillis...
À ce stade de l’entretien, nous aurions pu prendre acte du constat d’échec que Jean-Luc Godard était en train de dresser, et partir. « On ne peut pas parler », énoncé deux fois, le message est clair. Mais par un mélange d’obstination, de curiosité, d’admiration pour son œuvre et de fascination pour l’étrange situation qui était en train de se mettre en place, nous sommes restés. À partir de cet instant, le questionnaire précis que nous avions préparé et ordonné devient caduc. Nous sommes donc soulagés quand le cinéaste prend l’initiative de parler de ses chiens.
et certainement pas meilleur que son prédécesseur
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