yannzeman a écrit:[
Désolé !
J'avais bien compris qu'il y avait une part d'ironie dans vos propos, mais pas forcément que tout était forcé !
au temps pour moi.
Ok mais tu peux me tutoyer hein?

Moi j'utilisais "vous" en m'adressant à tout le monde...

yannzeman a écrit:[
Désolé !
J'avais bien compris qu'il y avait une part d'ironie dans vos propos, mais pas forcément que tout était forcé !
au temps pour moi.
illario a écrit:Le livre doit rester un objet spécifique, presque un produit de luxe (ou apparenté).
illario a écrit:Les vendeurs dans un tel espace sont parfois "dans l'espace", on a l'impression qu'ils ne connaissent pas les objets qu'ils vendent
illario a écrit:il y a des gens "dans le métier" qui eux crèvent la dalle, ont besoin d'un travail, qui comme celui-ci, peut vraiment les aider, leur passion en le domaine donnerai un plus grand plaisir aux visiteurs
illario a écrit:mais si Cultura et les Leclerc pouvaient également penser à embaucher des auteurs dans la dèche, cela aidera ceux-ci dans leurs créations
Pour faire quoi ? Vendre les BDs des autres !!! Tu as croisé beaucoup d'auteurs ?
illario a écrit:Pour faire quoi ? Vendre les BDs des autres !!! Tu as croisé beaucoup d'auteurs ?
Très rarement, mais je connais une jeune auteure de BD dans une librairie spécialisée. Dans les espaces culturels des hypers à mon avis ça risque pas, peut-être des inconnus en train de travailler anonymement (jeunes dessinateurs etc)... Mais un tel coup de pouce ça serai déjà ça pour certains qui veulent quitter le métier juste pour pouvoir vivre au jour le jour, depuis de nombreuses années qu'on dit qu'être auteur ou dessinateur ça ne nourrit pas son homme ( à part les très connus).
tzynn a écrit:illario a écrit:Pour faire quoi ? Vendre les BDs des autres !!! Tu as croisé beaucoup d'auteurs ?
Très rarement, mais je connais une jeune auteure de BD dans une librairie spécialisée. Dans les espaces culturels des hypers à mon avis ça risque pas, peut-être des inconnus en train de travailler anonymement (jeunes dessinateurs etc)... Mais un tel coup de pouce ça serai déjà ça pour certains qui veulent quitter le métier juste pour pouvoir vivre au jour le jour, depuis de nombreuses années qu'on dit qu'être auteur ou dessinateur ça ne nourrit pas son homme ( à part les très connus).
Marion Montaigne est passée par là avant de se lancer en full auteure. Maintenant je ne suis pas sur que ce soit réellement un plus pour les auteurs. Mais comme tout le monde, faut crouter.
Tiens, sinon une bête question un peu provocante mais pas tant que ça. Ca fait quasi 8 ans que ce sujet est ouvert. La situation n'a pas changé d'un pouce, on est toujours exactement dans les mêmes constats qu'à l'époque. De nouveaux auteurs se sont lancés, avec succès ou pas, d'autres sont partis. Le nombre d'éditeur a augmenté, le nombre de publications à l'année est toujours stable.
Dès lors y avait t'il vraiment une crise
Nirm a écrit:La seule question à se poser est de savoir si ton comportement de fan de BD-lecteur assidu-qui revendique soutenir la BD est répandu ou pas.
Par ailleurs, dans ses baromètres réguliers («Hadopi, biens culturels et usages d’Internet : pratiques et perceptions des internautes français»), l’Hadopi identifie cinq populations d’internautes :
Les ‘Numérivores’, un type en progression (22 % des internautes [vs 16% en 2012], soit 29 % des consommateurs de biens culturels dématérialisés) : plus jeunes et plus technophiles que la moyenne, ce sont de gros consommateurs de produits culturels qu’ils peuvent consommer illégalement par la force de l’habitude, tout en se déclarant sensibles aux avantages de l’offre légale.
Les ‘Pragmatiques’ (21 % des internautes [22% en 2012], soit 29 % des consommateurs) : Ils utilisent internet pour des occupations assez basiques. Ils y consomment plus de logiciels que la moyenne et épisodiquement de la musique et des séries. Internautes les moins dépensiers de l’échantillon, ils cherchent avant tout à combler leurs faibles besoins de la manière la plus économe possible et sont prêts à avoir recours à de l’illégal.
Les ‘Passionnés attentifs’ (20 % des internautes [vs 22% en 2012], soit 29 % des consommateurs) : un peu plus jeunes que la moyenne, gros consommateurs de produits culturels créatifs et ludiques, ils consomment plus que la moyenne de manière légale mais n’excluent pas de recourir à l’illégal afin d’avoir accès à des produits conformes à leurs attentes (transgression pas vraiment perceptible en 2012).
Les ‘Culturels légaux’ (8 % des internautes [7% en 2012], soit 11 % des consommateurs) : plus âgés mais néanmoins plus fréquemment connectés, ils sont presque exclusivement consommateurs de livres sur Internet, dans la légalité plus souvent que la moyenne.
Les non consommateurs (29 % des internautes [vs 33% en 2012]) : rarement connectés, ils n’ont pas consommé de produits culturels lors des 12 derniers mois. N’étant pas consommateurs, ils ne se sentent pas concernés par le débat légal / illégal.
On le voit, si la question du prix de l’offre légale revient souvent comme justificatif pour se tourner vers une consommation illégale, bien d’autres raisons sont évoquées : l’habitude par rapport à une sphère Internet où la gratuité a longtemps été la norme, une plus grande facilité d’utilisation des ressources illégales (lecteurs, standards de facto, non recours au streaming*), une meilleure adéquation des produits aux attentes, une offre plus riche, ou encore le simple fait que la possibilité s’offre à eux.
Ce n’est qu’en reconnaissant l’existence de ces autres raisons que l’on pourra mettre en place des solutions pour le développement de l’offre légale qui permettront, à défaut d’éradiquer le piratage (chose utopique), de trouver du moins une alternative plus bénéfique à l’ensemble des intervenants. Ainsi, l’étude EbookZ 3 n’hésitait pas à souligner que «l’indisponibilité de l’offre légale semble constituer, dans une certaine mesure, un encouragement au piratage.»
Nirm a écrit:Ben si on se fie à ton expérience, tu sais très bien que cela impacte forcément les ventes.
Comme tu l'as expliqué (ici ou ailleurs), dans ton cas, ça te permet de lire au moins autant en achetant nettement moins de BD (tout en justifiant ça par un "les éditeurs m'y contraignent..." au passage, mais on y reviendra plus loin).
Plutôt que de faire le candide, tu l'as ta réponse : tu télécharges pour payer/dépenser moins donc forcément, donner moins aux éditeurs (et donc aux auteurs).
La seule question à se poser est de savoir si ton comportement de fan de BD-lecteur assidu-qui revendique soutenir la BD est répandu ou pas.
Tout à fait d'accord.
Mon cas personnel importe peu, et il n'y a que vous pour l'évoquer.
Mais le téléchargement pirate existe, et il a une influence. La bonne question est donc de savoir quelle est cette influence.
Positive ou négative ?
Je pose la question, car une étude, commandée par l'UE, et non révélée - j'en ai fait l'écho dans un autre post - donnait des résultats contrastés et pas forcément favorable à une politique de sanction à tout prix.
Pour être clair, si certains divertissements étaient impactés négativement par le piratage, d'autres, curieusement, en profitaient.
Mais les articles que j'ai lu ne parlaient pas spécifiquement de la BD, d'ou ma question.
Tiens on peut aussi y ajouter une autre lecture : les téléchargements illégaux entraînent une baisse de revenus pour les éditeurs, que ces derniers compensent en multipliant les titres.
Les pirates responsables en partie de la surproduction qu'ils fustigent et utilisent pour se donner bonne conscience.![]()
Je le répète, est-on sur que cela entraine une baisse de revenus ?
Et n'est-ce pas plutôt la surproduction qui entraineraient une augmentation du piratage ?
Xavier Guilbert a écrit:Nirm a écrit:La seule question à se poser est de savoir si ton comportement de fan de BD-lecteur assidu-qui revendique soutenir la BD est répandu ou pas.
La Hadopi fait régulièrement des études sur les modes de consommation (y compris illégaux) de l'entertainment.
J'avais écrit ceci dans la dernière numérologie:Par ailleurs, dans ses baromètres réguliers («Hadopi, biens culturels et usages d’Internet : pratiques et perceptions des internautes français»), l’Hadopi identifie cinq populations d’internautes :
Les ‘Numérivores’, un type en progression (22 % des internautes [vs 16% en 2012], soit 29 % des consommateurs de biens culturels dématérialisés) : plus jeunes et plus technophiles que la moyenne, ce sont de gros consommateurs de produits culturels qu’ils peuvent consommer illégalement par la force de l’habitude, tout en se déclarant sensibles aux avantages de l’offre légale.
Les ‘Pragmatiques’ (21 % des internautes [22% en 2012], soit 29 % des consommateurs) : Ils utilisent internet pour des occupations assez basiques. Ils y consomment plus de logiciels que la moyenne et épisodiquement de la musique et des séries. Internautes les moins dépensiers de l’échantillon, ils cherchent avant tout à combler leurs faibles besoins de la manière la plus économe possible et sont prêts à avoir recours à de l’illégal.
Les ‘Passionnés attentifs’ (20 % des internautes [vs 22% en 2012], soit 29 % des consommateurs) : un peu plus jeunes que la moyenne, gros consommateurs de produits culturels créatifs et ludiques, ils consomment plus que la moyenne de manière légale mais n’excluent pas de recourir à l’illégal afin d’avoir accès à des produits conformes à leurs attentes (transgression pas vraiment perceptible en 2012).
Les ‘Culturels légaux’ (8 % des internautes [7% en 2012], soit 11 % des consommateurs) : plus âgés mais néanmoins plus fréquemment connectés, ils sont presque exclusivement consommateurs de livres sur Internet, dans la légalité plus souvent que la moyenne.
Les non consommateurs (29 % des internautes [vs 33% en 2012]) : rarement connectés, ils n’ont pas consommé de produits culturels lors des 12 derniers mois. N’étant pas consommateurs, ils ne se sentent pas concernés par le débat légal / illégal.
On le voit, si la question du prix de l’offre légale revient souvent comme justificatif pour se tourner vers une consommation illégale, bien d’autres raisons sont évoquées : l’habitude par rapport à une sphère Internet où la gratuité a longtemps été la norme, une plus grande facilité d’utilisation des ressources illégales (lecteurs, standards de facto, non recours au streaming*), une meilleure adéquation des produits aux attentes, une offre plus riche, ou encore le simple fait que la possibilité s’offre à eux.
Ce n’est qu’en reconnaissant l’existence de ces autres raisons que l’on pourra mettre en place des solutions pour le développement de l’offre légale qui permettront, à défaut d’éradiquer le piratage (chose utopique), de trouver du moins une alternative plus bénéfique à l’ensemble des intervenants. Ainsi, l’étude EbookZ 3 n’hésitait pas à souligner que «l’indisponibilité de l’offre légale semble constituer, dans une certaine mesure, un encouragement au piratage.»
Mais s'il peut lire la BD d'abord en téléchargement, ça peut le rassurer, et à produire des actes d'achat, au final. Et dans ce cas, c'est bon pour le chiffre d'affaire des éditeurs, au final.
Nirm a écrit:Ben comme les études ne te satisfont pas,
Cette étude ne me pose aucun problème. Elle ne répond pas à ma question, c'est tout.
et qu'en général tu préfères t'appuyer sur les "autour de moi" et compagnie,
?????
Je parle, comme tout le monde sur le forum, de mon vécu.
Je ne l'érige jamais en statistique. Il faut bien partir de quelque chose, pour expliquer un point de vue.
cela aurait été intéressant d'avoir l'avis de quelqu'un qui a fait de ce moyen de lecture son mode de lecture privilégié.
Et comme tu posais la question, donner ton avis aurait été parfait, plutôt que jouer les naïfs...
Est-on sur d'une baisse de revenus ?
Non, mais ça donnait une autre hypothèse à la "version positive du piratage" :Mais s'il peut lire la BD d'abord en téléchargement, ça peut le rassurer, et à produire des actes d'achat, au final. Et dans ce cas, c'est bon pour le chiffre d'affaire des éditeurs, au final.
Bientôt, après le "je suis forcé par les éditeurs" tu vas nous dire que c'est bénéfique à la BD.
Encore une fois, je pose la question de l'influence du piratage sur le revenu des éditeurs.
Je n'affirme rien.
Et, pour illustrer l'éventuel (je dis bien EVENTUE) effet positif du piratage, je donne une exemple de comportement, et je rappelle une étude de l'UE sur le sujet, qui révélait que le piratage n'est pas toujours négatif pour les éditeurs de contenu, (avec des différences importantes selon le media : musique, film, serie tv, roman et BD).
yannzeman a écrit:Les études c'est bien.
mais les chiffres de ventes ?
Est-ce que les maisons d'éditions perdent de l'argent, ou en gagnent toujours autant, depuis le développement du piratage ?
(tout compris, ventes papier et numérique)
yannzeman a écrit:tzynn a écrit:illario a écrit:Pour faire quoi ? Vendre les BDs des autres !!! Tu as croisé beaucoup d'auteurs ?
Très rarement, mais je connais une jeune auteure de BD dans une librairie spécialisée. Dans les espaces culturels des hypers à mon avis ça risque pas, peut-être des inconnus en train de travailler anonymement (jeunes dessinateurs etc)... Mais un tel coup de pouce ça serai déjà ça pour certains qui veulent quitter le métier juste pour pouvoir vivre au jour le jour, depuis de nombreuses années qu'on dit qu'être auteur ou dessinateur ça ne nourrit pas son homme ( à part les très connus).
Marion Montaigne est passée par là avant de se lancer en full auteure. Maintenant je ne suis pas sur que ce soit réellement un plus pour les auteurs. Mais comme tout le monde, faut crouter.
Tiens, sinon une bête question un peu provocante mais pas tant que ça. Ca fait quasi 8 ans que ce sujet est ouvert. La situation n'a pas changé d'un pouce, on est toujours exactement dans les mêmes constats qu'à l'époque. De nouveaux auteurs se sont lancés, avec succès ou pas, d'autres sont partis. Le nombre d'éditeur a augmenté, le nombre de publications à l'année est toujours stable.
Dès lors y avait t'il vraiment une crise
Je pense quand même que, ce qui a changé depuis l'ouverture du sujet ( et cela a été évoqué dans ce topic) c'est le téléchargement pirate.
Si cela fait baisser mécaniquement la facture des lecteurs, cela a forcément impacté le chiffre d'affaire des éditeurs, non ?
Ou alors, est-ce que cela a, au contraire, aidé les lecteurs à acheter "mieux", en lisant d'abord, et en achetant ensuite ?
(en imaginant que, pour certains titres vers lesquels ils ne seraient pas allés directement vers un achat, le lecteur a d'abord lu la BD en téléchargement pirate, avant d'acheter)
Par exemple, le lecteur refroidi par une mauvaise expérience d'un achat malheureux, dans un genre qui ne lui était pas familier, ne va pas se lancer dans d'autres achats du même genre.
Mais s'il peut lire la BD d'abord en téléchargement, ça peut le rassurer, et à produire des actes d'achat, au final. Et dans ce cas, c'est bon pour le chiffre d'affaire des éditeurs, au final.
Ca, c'est pour la vision positive du téléchargement pirate.
Mais bien sur, il se peut aussi que cela incite les lecteurs, surtout ceux qui sont né avec la dématérialisation, à s'en tenir à la version pirate téléchargée, et à ne jamais franchir le pas de l'achat de la BD papier.
J'ignore ce que disent les chiffres de vente, au final.
illario a écrit:On va dire que ce sont des étudiants fauchés et des jeunes désargentés qui font dans le piratage, de quoi économiser un peu d'argent (qui leur manque pour acheter un livre bien réel).
yannzeman a écrit:J'ai également réduit la voilure.
Avant, je dépensais en moyenne 75 € par semaine en BD FB (soit 300 € par mois), probablement une centaine d'euros en comics par mois, et quelques mangas (pas plus de 25 € en moyenne par mois).
Maintenant, je dépense moins en FB (75 euros par mois), plus rien en manga (l'offre ne m'intéresse plus) et encore 35 € par mois en comics (et je vais encore réduire, pour arriver progressivement à 0 € d'ici quelques mois).
La raison est double :
-une certaine déception face à ce qui est proposé ; je trouve que la BD a perdu de sa force, en entrant dans une dimension plus adulte, et les séries TV / romans m'attirent plus aujourd'hui.
-le téléchargement illégal, qui permet de tout lire sans rien dépenser... sinon le forfait internet (30 €/mois), l'achat de l'ordinateur (1 200 € tous les 5 ans, soit 240 € par an ou 20€/mois) et des disques durs 1 par an, à 130 €, soit un peu plus de 10€/mois) pour stocker tout ça. Et l'électricité pour faire fonctionner tout ça.
Au final, mon budget BD n'a pas diminué, c'est la répartition des "bénéficiaires" de mes achats qui a évolué. En plus des achats physiques (albums) en librairie, je dépense aussi en internet-ordinateur-disque dur et électricité...
Pas très réjouissant, mais c'est le monde qu'on nous impose aujourd'hui.
(et bien sur, précision utile, ma bibliothèque a explosé, avec le téléchargement ; je n'aurais pas assez de temps, dans ce qui me reste à vivre pour lire tout ça)
Blackfrag a écrit:... pour de la BD on est plus du tout sur le support réel ou devrait s'apprécier l'œuvre donc déficit ou pas des auteurs ou des éditeurs , bien avant ça, la démarche est complètement antinomique au plaisir que peut procurer une belle BD et cela bien avant le quelconque désir de posséder l'objet en tant que tel ...
Blackfrag a écrit:Un film Téléchargé aura un rendu et une façon d'apprécier l’œuvre identique à l'achat d'un CD ,DVD ou Blu-ray mais pour de la BD on est plus du tout sur le support réel ou devrait s'apprécier l'œuvre donc déficit ou pas des auteurs ou des éditeurs , bien avant ça, la démarche est complètement antinomique au plaisir que peut procurer une belle BD et cela bien avant le quelconque désir de posséder l'objet en tant que tel ...
silverfab a écrit: sur le fil facebook de B.O BD
Nirm a écrit:Visiblement, ce n'est pas le cas de ton interlocuteur
Blackfrag a écrit:Le problème c'est pas ceux qui les téléchargent, c'est amha ceux qui doivent flinguer la reliure de leur version papier pour la numériser et la rendre publique ... HA les sadiques !![]()
Blackfrag a écrit:LA BD téléchargée et lue sur écran ça reste de la culture "fast food" et aucunement de la passion en même temps.
Blackfrag a écrit:Un film Téléchargé aura un rendu et une façon d'apprécier l’œuvre identique à l'achat d'un CD ,DVD ou Blu-ray mais pour de la BD on est plus du tout sur le support réel ou devrait s'apprécier l'œuvre donc déficit ou pas des auteurs ou des éditeurs , bien avant ça, la démarche est complètement antinomique au plaisir que peut procurer une belle BD et cela bien avant le quelconque désir de posséder l'objet en tant que tel ... (je parle pas des gogos hein !) ceux qui arrivent à se contenter d'une version numérique ne sont pas ceux qui achèterons l'album une fois lu j'ai du mal à y croire à ça.
Blackfrag a écrit:Peut être, moi j'en serai incapable en tout casou alors dernier cas de figure , le mec n'a plus de place chez lui et après s'être fait un lit et son mobilier en BD il ne lui reste plus que des HDD pour assouvir sa passion mais là c'est un autre problème, faut se soigner
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