chinetok a écrit:Certes, c'est un peu triste de devoir s'expatrier pour vivre de son boulot mais pour les plus aventureux, pourquoi pas?
cedd79 a écrit:J'avais lu (faut que je retrouve où) qu'en 2017 36% des auteurs de BD vivent en-dessous du seuil de pauvreté ; ça pour moi c'est une vraie crise. Ce chiffre est énorme. 36% !!!
cedd79 a écrit:désolé mais le SNAC BD ne me semble pas hyper efficace)
toine74 a écrit:Ou, alors, ce que tu penses savoir du monde de la BD n'est pas suffisant pour avoir un aperçu réaliste de la situation économique du mileu de la BD.
chinetok a écrit:c'est fou de ne gagner que "20 000 euros" par an lorsqu'on fonctionne pas trop mal.
On peut en effet le voir sous cet angle. Mais justement tout est relatif. Certains estimeront que c'est déjà bien vu le contexte, et d'autres se diront que c'est misère.
Jeff70 a écrit:Il me semble qu'il y a un élément rarement évoqué, qui a pourtant son importance quand on s'intéresse au revenu des auteurs: beaucoup d'auteurs, qu'il s'agisse de littérature, de non fiction, mais aussi sans doute de BD, ont d'autres revenus que leurs droits d'auteur.
chinetok a écrit:Oui, mais je pense que les études qui sont effectuées portent exclusivement sur ceux qui en font leur unique activité
Jeff70 a écrit:Du coup, les discours "misérabilistes" sur le sort des pauvres auteurs perd quand même de sa signification et de sa portée: pour beaucoup, il ne s'agit que d'un job d'appoint...
Jeff70 a écrit:Excuse moi, mais c'est toi qui dis n'importe quoi...
Beaucoup de gens qui publient et qui touchent des droits d'auteur ont par ailleurs de bons jobs, y compris dans la BD.
Je connais de nombreux auteurs qui ont des revenus confortables en dehors de leurs droits d'auteur.
Dans la BD, Marc-Antoine Mathieu, par exemple, a créé sa propre structure dans la scénographie ( conception d'expositions), et il y a bien d'autres exemples...
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