ee a écrit:voire même parfois voulait leur proposer une collaboration (lui comme scénariste).
C'était Sente ou le fils d'Hermann?
ee a écrit:voire même parfois voulait leur proposer une collaboration (lui comme scénariste).
xof 24 a écrit:15 euros c'est un mois de baguettes
ee a écrit:
Ca c'est pas faux par contre!
ExtraLarge a écrit:De toute façon, la multiplication des publications fait surtout une chose, c’est élargir le clivage entre les méga succès et les petites ventes : devant l’énorme choix d’albums, le lecteur qui s’y connait sait reconnaître ce qui est bon ou ce qui ne l’est pas et là, comme vous le mentionnez, plus il y a de choix et plus nous sommes gagnants. Le problème c’est pour le lecteur lambda qui, lui, s’y perd. Devant cette surabondance de choix, soit sa propre méconnaissance le décourage et il n’achète rien; soit il se rabat sur les ‘valeurs sûres’, c’est à dire les séries au nom déjà connu ou sur lesquelles les médias se sont attardés. Et là, encore une fois, qui pâtit de la surproduction ? Les petits.
ee a écrit:Le Tapir a écrit:Ah ah ah! Quel univers de rats la bd...
Plutôt celui des collectionneurs. Une fois j'en ai surpris un, tournevis à la main au musée de la BD à Bruxelles, qui essayait de dévisser les cadres de verres pour voler les planches exposées pendant une expo...
xof 24 a écrit:Monsieur EE qui êtes vous donc ??? Réponse en MP acceptée
Jobe27 a écrit:ee a écrit:La BD est devenue un produit trop cher pour ce qu’elle est ?
Franchement, à l’heure actuelle, vu les prix affichés et dans la grande majorité des cas, oui c’est trop cher pour ce que c’est.
Quand tu vois le nombre d’albums qui se lisent vite, qui ne sont pas assez creusés, fouillés, et dont le scénar tient sur un ticket de tram,…Franchement ça ne vaut jamais son prix.
Aussi, quand tu penses qu’il faut parfois claquer 100 à 150 € (minimum) pour connaître la fin d’une histoire, c’est une vraie folie et j’ai l’impression que certains auteurs, éditeurs ne se rendent pas compte qu’ils tirent sur la corde et finissent par fatiguer le lecteur. (..)
Exemple en tête (à l’arrache) : Les stryges (18 tomes à 14,50€) : J’aurais déboursé au final + ou – 261 € pour connaître le fin de mot du bazar.
Pareil pour les Thorgaux et ces mondes : Kriss et Louve sans compter la jeunesse (15 tomes au total à 12 €) = 180 €
J’en passe et des meilleurs…
(..)
Meuh noooon ! Ce qu'on critique, c'est qu'il s'en prenne aux auteurs qui veulent subsister professionnellement, pas la diversité en elle-même.LeJoker a écrit:Vive le totalitarisme.
Interdisons la BD pour protéger...les auteurs.
gill a écrit:Meuh noooon ! Ce qu'on critique, c'est qu'il s'en prenne aux auteurs qui veulent subsister professionnellement, pas la diversité en elle-même.LeJoker a écrit:Vive le totalitarisme.
Interdisons la BD pour protéger...les auteurs.
ExtraLarge a écrit:Devant cette surabondance de choix, soit sa propre méconnaissance le décourage et il n’achète rien; soit il se rabat sur les ‘valeurs sûres’, c’est à dire les séries au nom déjà connu ou sur lesquelles les médias se sont attardés. Et là, encore une fois, qui pâtit de la surproduction ? Les petits.
En sautant trop vite aux conclusions(à TES conclusions), tu dénatures (volontairement ?) le CONSTAT de la commentatrice du blog citée par ExtraLarge :LeJoker a écrit:Pour éviter la surproduction, il faut bien couper dans la production. Et couper dans la production, c'est nécessairement porter atteinte à la liberté des créateurs et des éditeurs de faire ce qu'ils veulent, et détruire volontairement la diversité en interdisant à certains auteurs de tenter leur chance.ExtraLarge a écrit:Devant cette surabondance de choix, soit sa propre méconnaissance le décourage et il n’achète rien; soit il se rabat sur les ‘valeurs sûres’, c’est à dire les séries au nom déjà connu ou sur lesquelles les médias se sont attardés. Et là, encore une fois, qui pâtit de la surproduction ? Les petits.
gill a écrit:En sautant trop vite aux conclusions(à TES conclusions), tu dénatures (volontairement ?) le CONSTAT de la commentatrice du blog citée par ExtraLarge :LeJoker a écrit:Pour éviter la surproduction, il faut bien couper dans la production. Et couper dans la production, c'est nécessairement porter atteinte à la liberté des créateurs et des éditeurs de faire ce qu'ils veulent, et détruire volontairement la diversité en interdisant à certains auteurs de tenter leur chance.ExtraLarge a écrit:Devant cette surabondance de choix, soit sa propre méconnaissance le décourage et il n’achète rien; soit il se rabat sur les ‘valeurs sûres’, c’est à dire les séries au nom déjà connu ou sur lesquelles les médias se sont attardés. Et là, encore une fois, qui pâtit de la surproduction ? Les petits.
- Elle dit : "les FAITS sont là : la surabondance nuit aux auteurs PROFESSIONNELS pour telles et telles raisons objectives, statistiques, naturelles, qui poussent les acheteurs à réagir de telle façon, ce qui aggrave le problème, situation qu'il faut bien admettre"
- Tu dis : "Elle demande à INTERDIRE les petits auteurs de publier et cherche à nuire à la DIVERSITÉ"
Où parle t-elle de mesures de rétorsion et de régulation autocratique ?
xof 24 a écrit:Le pouvoir d'achat
Le prix d'un album BD
La quantité/choix
L'évolution du lectorat
Bon le pouvoir d'achat, désolé mais faut bien se dire que les 50 000 personnes qui il y a dix ans s'offraient des BDs neuves sans trop de soucis ne sont pas compensés par les 50 000 personnes qui sont arrivées depuis...
Le "petit génie" te disait justement que tu ne commentais qu'un CONSTAT. Personne, dans cette partie de la discussion, n'avait de proposition à formuler.LeJoker a écrit:Explique nous, petit génie, comment on met fin à la surabondance sans toucher à la surproduction, donc sans toucher au nombre d'oeuvres publiées, donc sans fatalement interdire à certains auteurs plutôt qu'à d'autres de pouvoir publier ?
...dit-il en se drapant dans sa dignité de dénonciateur révolutionnaire outragéLeJoker a écrit:Bon je vous laisse entre vous construire des canards à trois pattes.
tzynn a écrit: Ici ce n'est pas le cas, il y a moyen de trouver d'autres éditeurs, voire de produire sans être édité.
tzynn a écrit:Faut il subsidier tous les auteurs dès que ceux-ci se déclarent auteurs? Pas nécessairement. Cela veut il dire qu'on tue la démocratie? Pas que je sache. Par contre cela veut dire qu'il faut être imaginatif pour trouver d'autres sources de financement. Où comme bcp de grands peintres, produire, finir fauché et laisser ses ayant-droits se déchirer le pactole une fois la reconnaissance post mortem obtenue
LeJoker a écrit:
Le fait est que la surproduction est l'argument de tous les dessinateurs qui n'arrivent pas à percer et qui y voient l'argument commode pour expliquer leur manque de réussite. Ce n'est pas pour rien que ceux qui en parlent le plus sont aussi les moins bons et les moins connus. .
tzynn a écrit:LeJoker a écrit:
Le fait est que la surproduction est l'argument de tous les dessinateurs qui n'arrivent pas à percer et qui y voient l'argument commode pour expliquer leur manque de réussite. Ce n'est pas pour rien que ceux qui en parlent le plus sont aussi les moins bons et les moins connus. .
Les moins bons? Sur quelles bases les classes tu de meilleurs à moins bons? Selon ta propre échelle de goûts qui doit être universelle? Fachiste
ee a écrit:D’autres qui se sentent touchés mais ne croient pas à la version « officielle « du « tout va mal » parce que par écho d’autres confrères, ils ont des infos qui leur permettent de savoir, que l’éditeur n’est pas en situation de difficultés aussi intense qu’on veut nous le faire croire, que certains albums ne se vendent pas si mal que ça, etc…Que le fric qu’ils n’ont soit disant pas pour eux, ils l’ont pour un autre, etc…
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