Giuliano a écrit:Glénât rachète 12 bis.
Oui je balance ca comme ca dans une conversation qui n'a rien à voir
Gurvan a écrit:C'est bien ce que je soulignais ci-dessus... Dès que... Et c'est loin d'être le cas pour tout le monde ! Faut arrêter de réduire la France aux centres urbains de plus de 100.000 personnes (Mettez la limite ou vous voulez... ). La France, ce n'est pas que cela !
Croaa a écrit:Gurvan a écrit:C'est bien ce que je soulignais ci-dessus... Dès que... Et c'est loin d'être le cas pour tout le monde ! Faut arrêter de réduire la France aux centres urbains de plus de 100.000 personnes (Mettez la limite ou vous voulez... ). La France, ce n'est pas que cela !
Sauf qu'il n'y a pas de tramway dans des agglomérations de moins de 100.000 habitants en France. Il me semble que c'est Tours qui est la plus petite agglo et qui vient de mettre en sercice son tram et qu'il y environ 140000 habitants. Du coup, si on cause Tramway, on peut réduire la France aux agglos de plus de 100.000 habitants.
Et je poursuis d'une manière tout aussi futile et hors-propos :Giuliano a écrit:Glénât rachète 12 bis.
Oui je balance ca comme ca dans une conversation qui n'a rien à voir
gill a écrit:Peut-on réellement accuser "la crise" pour tous les dépôts de bilan de ces derniers temps ?
Brian Addav a écrit:gill a écrit:Peut-on réellement accuser "la crise" pour tous les dépôts de bilan de ces derniers temps ?
quand même, non ?
On ne peut que constater qu'il y a une dégradation du marché.
On parle de crise par qu'il y a une évolution négative du marché. Et ce mot de Crise est employé à bon escient.
Tout le monde n'est pas d'accord, mais on ne peut que constater une baisse des ventes en termes de volumes. Par titre auparavant, et maintenant en globalité. On ne peut que constater les difficultés rencontrés par certaines catégories du métier (auteurs, libraires, etc...).
On est bien dans une crise par rapport à la situation exceptionnel des années 2000.
Alors on peut appeler ça un retour à une certaine normalité, mais avec les dégâts que ça provoque, on se doit d'employer le terme de crise, non ?
Thierry_2 a écrit:en fait, en étant très cynique, l'idée qu'il n'y ait pas de crise n'est pas si stupide
Thierry_2 a écrit:le marché évolue, le réseau de vente change (concurrence d'enseignes comme la Fanc et internet en tête), modifiant la position du libraire, qui doivent soit s'adapter, soit disparaîre Car si des librairies ferment, d'autres survivent et se développent. Libraire n'est sans doute pas le métier qui permettra de faire fortune, mais il semble être possible de survivre.
Jaunes s'est diversifié en devant plus généraliste
Brusel a ouvert un deuxième point de vente, aussi généraliste
Et il y a une nouvelle librairie à Liège...
Thierry_2 a écrit:Ce qui nous amène à la question de la crise créative. Mais c'est au autre débat. Il n'y a aucun problème à voir une succession de séries sur des vignobles hantés par des nazis zombies qui pourchassent une bombasse à gros seins. Jean Rollin est devenu culte avec ce genre d'histoires.
nexus4 a écrit:je l'ai déjà dit sous forme de boutade, le seul de moyen de sortir de la crise, c'est de bien payer les auteurs.
Double avantage :
Les gros éditeurs n'auront plus les moyens de sortir autant de daubes.
Les auteurs auront les moyens de ne pas faire de la daube.
C'est serait un cercle vertueux. Mais personne n'y croit.
nexus4 a écrit:je l'ai déjà dit sous forme de boutade, le seul de moyen de sortir de la crise, c'est de bien payer les auteurs.
Double avantage :
Les gros éditeurs n'auront plus les moyens de sortir autant de daubes.
Les auteurs auront les moyens de ne pas faire de la daube.
C'est serait un cercle vertueux. Mais personne n'y croit.
De toute façon, les auteurs, on les paie moitié moins pour faire un album qu'avant. Du coup, ils sont obligés d'en faire deux dans l'année pour vivre pour toucher pareil.
Payons les deux fois plus, ou comme avant, et pour ne faire qu'un album! Du coup, ça changent rien pour eux, mais comme on produit deux fois de bouquins, ça se vendra deux fois plus! hips!
Anianka a écrit:crise, crise ...
du point de vue des gros éditeurs, ils s'en fichent de la crise : ces gros éditeur misent sur la quantité, et 2-3 blockbuster, et noient les petits éditeurs sous le nombre des publications. Ils ne font peut être pas des bénéfices mirobolant (quoi que), mais au final, ce qui compte c'est qu'ils étouffent la concurrence.
les gros éditeurs n'ont donc pas d'intérêt à changer leur stratégie.
Thierry_2 a écrit:en fait, en étant très cynique, l'idée qu'il n'y ait pas de crise n'est pas si stupide
le marché évolue, le réseau de vente change (concurrence d'enseignes comme la Fnac et internet en tête), modifiant la position du libraire, qui doivent soit s'adapter, soit disparaîre Car si des librairies ferment, d'autres survivent et se développent. Libraire n'est sans doute pas le métier qui permettra de faire fortune, mais il semble être possible de survivre.
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