quand on parle de remise, de centrale d'achat....et d'extra territorialité et donc d'extra-cadre légal.
tiré de :
http://www.actualitte.com/librairies/si ... C3%A9re%29"
extrait.
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"Si le libraire disparaît, la mort de l'éditeur suivra."
Et que restera-t-il ? L'écrivain et le lecteur ? Pas certain.
Les librairies Initiales viennent de diffuser un intéressant communiqué, pour évoquer la question des remises commerciales, consenties par les éditeurs et diffuseurs, à destination des libraires. Dans un précédent article, paru dans ActuaLitté, le 25 février, les éditions Pourpenser faisaient d'ailleurs état de remises, dans le cas d'Amazon, allant jusqu'à 50 %.
Or, les représentants des éditeurs et diffuseurs assurent « la main sur le coeur », que ces pourcentages sont faux, « qu'au grand jamais cela ne sera et que ce grand marchand de livres en entrepôt bénéficie des mêmes conditions commerciales que les librairies indépendantes », explique Stéphane Emond, président de l'association des librairies Initiales.
En acceptant de croire que les déclarations d'intentions sont réelles, et vraies, il souligne par ailleurs que la librairie française représente « plus qu'Amazon pour la vente de livres », et qu'à ce titre, elle « devrait bénéficier, dans sa grande disparité, de conditions commerciales bien plus favorables ».
Cela est fort bien. Mais ce qui est intéressant, c'est de noter que le président du SNE, Vincent Montagne, avait fait remarquer, à l'occasion d'une conférence de presse portant sur le Salon du livre de Paris, que l'absence dudit Amazon était dommageable. Et d'autant plus que cet acteur « n'est pas simplement un opérateur dans le monde numérique, mais c'est surtout un libraire », ainsi que l'avait relevé ActuaLitté."