yannzeman a écrit:... donc autant rester dans les éléments objectifs.
...
Je préfère...
Comme à l'habitude, tu n'envisages une situation que sous le prisme restreint et orienté de tes goûts personnels.
yannzeman a écrit:... donc autant rester dans les éléments objectifs.
...
Je préfère...
toine74 a écrit:Sauf que les fonds du CNL viennent d'une "cotisation" des professionels du métier (les taux ont été cité quelque part dans le sujet). Il ne s'agit donc pas d'argent public (au sens que financé par les impôts).
Pour le chômage partiel, c'est une mesure qui s'adresse à toutes les entreprises, ce n'est pas spécialement pour les libraires et les Anglais ont également mis en place un système similaire pour aider leur économie.
Le don d'Amazon est juste une tentative de greenwashing d'un titan qui veut redorer son image pour trois francs six sous.
yannzeman a écrit:Sortir un album dont on sait pertinemment qu'il ne sera éditée qu'à 500 exemplaires, parce que, au mieux l'éditeur espère en vendre 400, c'est pour moi de la surproduction.
yannzeman a écrit:Je préfère les BD qui visent un public plus large ; quitte à se planter, parce que la recette du succès, contrairement à ce qu'affirment certains ici, n'est pas si facile que ça à appliquer.
yannzeman a écrit:Et encore une fois, je le répète pour éviter la caricature, j'ai tenu à réagir face à l'affirmation d'un éditeur qui disait dans ses tweet que la surproduction n'était pas la faute des petits éditeurs, mais uniquement des gros.
Affirmation que je trouve un peu légère, pour les raisons évoquées.
yannzeman a écrit:...
Il n'y a pas différentes définitions de l'argent public.
Est argent public toute somme qui est versé par l'Etat ou tout organisme public ; et ces fonds sont contrôlés par la Cour des comptes.
La façon de le récolter n'entre pas en ligne de compte.
Renseignez-vous, si vous ne me croyez pas.
yannzeman a écrit:J'ai bien compris le "cadeau" empoisonné d'amazonie, mais si en France, cette société ne bouge pas pour aider les libraires, c'est aussi parce que les libraires sont déjà aidés par des fonds publics, ce qui n'est certainement pas le cas en UK.
Karzak a écrit:yannzeman a écrit:La surproduction, c'est avant tout dans les rayons qu'elle se voit.
Pour déterminer si une BD est digne d'intérêt, c'est plus subjectif, donc autant rester dans les éléments objectifs.
Sortir un album dont on sait pertinemment qu'il ne sera éditée qu'à 500 exemplaires, parce que, au mieux l'éditeur espère en vendre 400, c'est pour moi de la surproduction.
Je t'ai posé la question mais tu n'as pas réagi, je renouvelle donc : quelle est ta solution face à ce "constat" ? On interdit les petits éditeur ? On crée une police de l'art chargée de limiter la créativité des auteurs ?
Je vois pas bien où nous mène ton constat.
toine74 a écrit:
Tu penses donc qu'Amazon a comparé les mesures d'aide anglaises et françaises pour adresser son don au pays qui en a le plus besoin ? As-tu des sources ou c'est encore une histoire de ressenti ?
toine74 a écrit:yannzeman a écrit:...
Il n'y a pas différentes définitions de l'argent public.
Est argent public toute somme qui est versé par l'Etat ou tout organisme public ; et ces fonds sont contrôlés par la Cour des comptes.
La façon de le récolter n'entre pas en ligne de compte.
Renseignez-vous, si vous ne me croyez pas.
C'est bon je te crois, tu as l'air de t'y connaître en sémantique administrative.yannzeman a écrit:J'ai bien compris le "cadeau" empoisonné d'amazonie, mais si en France, cette société ne bouge pas pour aider les libraires, c'est aussi parce que les libraires sont déjà aidés par des fonds publics, ce qui n'est certainement pas le cas en UK.
Tu penses donc qu'Amazon a comparé les mesures d'aide anglaises et françaises pour adresser son don au pays qui en a le plus besoin ? As-tu des sources ou c'est encore une histoire de ressenti ?
yannzeman a écrit:
La plus évidente des solutions, c'est de limiter l'avalanche des sorties chez chacun des éditeurs (et pas seulement les gros).
Karzak a écrit:toine74 a écrit:
Tu penses donc qu'Amazon a comparé les mesures d'aide anglaises et françaises pour adresser son don au pays qui en a le plus besoin ? As-tu des sources ou c'est encore une histoire de ressenti ?
J'imagine les gars de chez Amazon faire leur petit benchmark international des aides publiques our savoir qui aider ...
Karzak a écrit:yannzeman a écrit:
La plus évidente des solutions, c'est de limiter l'avalanche des sorties chez chacun des éditeurs (et pas seulement les gros).
Ca veut dire quoi ? Je ne comprends pas, très honnêtement.
toine74 a écrit:Karzak a écrit:toine74 a écrit:
Tu penses donc qu'Amazon a comparé les mesures d'aide anglaises et françaises pour adresser son don au pays qui en a le plus besoin ? As-tu des sources ou c'est encore une histoire de ressenti ?
J'imagine les gars de chez Amazon faire leur petit benchmark international des aides publiques our savoir qui aider ...
Tu te marres, mais je suis certain qu'il existe des matrices analytiques qui calculent l'efficacité des sommes versées sous forme de subvention ou dépensées en lobbying et cela pour chaque pays ou centre de décision.
yannzeman a écrit:Karzak a écrit:yannzeman a écrit:
La plus évidente des solutions, c'est de limiter l'avalanche des sorties chez chacun des éditeurs (et pas seulement les gros).
Ca veut dire quoi ? Je ne comprends pas, très honnêtement.
Là, je ne peux rien pour vous...
Karzak a écrit:Du coup c'est quoi la solution concrètement ?
Des quotas ? On fait comment pour fixer le nombre ? On fait comment pour les répartir entre éditeurs ? On donne de plus gros quotas aux gros et de plus petits aux petits comme ça les gros sont de plus en plus gros et les petits restent petits ?
choregraphe a écrit:Je pense que tout existe aujourd'hui pour produire aussi la BD par IA
marone222 a écrit:Karzak a écrit:Du coup c'est quoi la solution concrètement ?
Des quotas ? On fait comment pour fixer le nombre ? On fait comment pour les répartir entre éditeurs ? On donne de plus gros quotas aux gros et de plus petits aux petits comme ça les gros sont de plus en plus gros et les petits restent petits ?
Rien, on ne va pas apprendre aux éditeurs à faire leur métier...
Depuis mon inscription sur Bdgest (il y a 16 ans... ), on a ce débat...Et on a toujours une offre foisonnante, du blockbuster super commercial à la BD improbable, pour tous les gouts
Karzak a écrit:Du coup c'est quoi la solution concrètement ?
Pouffy a écrit:Karzak a écrit:Du coup c'est quoi la solution concrètement ?
Taxer voire interdire le pilon.
JEANLIN a écrit:Et concrètement pour les auteurs , il fait quoi Riester ???
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