Karzak a écrit:yannzeman a écrit:La surproduction, c'est avant tout dans les rayons qu'elle se voit.
Pour déterminer si une BD est digne d'intérêt, c'est plus subjectif, donc autant rester dans les éléments objectifs.
Sortir un album dont on sait pertinemment qu'il ne sera éditée qu'à 500 exemplaires, parce que, au mieux l'éditeur espère en vendre 400, c'est pour moi de la surproduction.
Je t'ai posé la question mais tu n'as pas réagi, je renouvelle donc : quelle est ta solution face à ce "constat" ? On interdit les petits éditeur ? On crée une police de l'art chargée de limiter la créativité des auteurs ?
Je vois pas bien où nous mène ton constat.
Je vais encore me répéter (pas de souci) :
Je réagis à l'affirmation d'un petit éditeur, qui s'exonère un peu vite (à mon gout) de sa responsabilité dans la surproduction, et exonère par la même occasion ses collègues petits éditeurs.
A mon sens, ce n'est pas vrai, et j'ai expliqué pourquoi.
Après, le problème de la surproduction, il a été évoqué à maintes reprises, avec des solutions de bon sens, acceptées par les uns et critiquées par les autres.
La plus évidente des solutions, c'est de limiter l'avalanche des sorties chez chacun des éditeurs (et pas seulement les gros).
Et la preuve que c'est une réflexion qui a du sens, c'est que c'est aussi clamé par certains éditeurs (il y en a un qui a communiqué sur ce fait, non ? à propos du déconfinement, en appelant à la responsabilité de chaque éditeur ; désolé si je reste évasif, ma mémoire est ce qu'elle est)