Parmi les pistes évoquées dans ce lien :
Ayez un regard aiguisé sur les éditeurs qui jouent le jeu ou non. Boycottez ceux qui vont inonder le marché (c'est la meilleure solution pour mettre une droite à la surproduction), soutenez ceux qui produisent peu et bien. Soutenez les indépendants, les petits
Mais pour moi, la surproduction vient avant tout des petits éditeurs, trop nombreux sur le marché et qui produisent pas bien (pas assez bien pour plaire au plus grand nombre)...
Autre piste, en réaction, par (je suppose) l'auteur mathieu Bablet, avec qui je suis d'accord sur le coup :
Du coup j'ai l'impression que les éditeurs vont répartir tout entre fin mai /début juillet, puis fin aout. Mais vrai question, ça serait pas l'occasion de sortir des titres pendant l'été, vu qu'on sait pas encore à quoi il va ressembler l'été, en terme de départ en vacances ?
La réponse de Bragelonne me semble un peu légère :
C’est la hantise de tous les éditeurs de sortir des titres à l’été (tous respectent la saisonnalité des graphiques, très peu à l’été, quasi rien en décembre etc.), et ça donnerait surtout encore plus l’impression d’une rentrée littéraire avant la rentrée littéraire quoi.
Qu'est-ce qu'on en a a foutre des impressions et de la rentrée littéraire ???
Ce qui compte, c'est de relancer la machinne, occuper le terrain dans une période (confinement, vacances prévisibles dans l'hexagone) plus propice à la lecture, et créer des habitudes de consommation pour les années à venir, non ?
A situation exceptionnelle, réponse exceptionnelle... qui pourrait déboucher sur de nouvelles habitudes de consommation.