Karzak a écrit:alambix a écrit:1/ le client réel est fidèle, pas le client virtuel
Tu peux très bien rester fidèle à un commercant en ligne, même sur un market place type amazon, lorsque tu es content des envois et de ce qui est proposé, non ?
Bah, sur un site marchand classique, à la limite oui.
Par contre, le principe des marketplaces c'est de mettre en concurrence tous les vendeurs indépendants. Une fiche unique avec les prix de chacun.
Le plus souvent, le client choisit le moins cher en se fichant de savoir qui est le vendeur.
Karzak a écrit:alambix a écrit: C'est extrêmement vicieux et je comprend bien que celui qui est étranger à ce système peut avoir du mal à comprendre comment on peut à la fois en faire partie, et le critiquer.
Mais est-ce qu'il n'y a pas d'autres solutions aussi pour lutter ? Type varier ce que tu proposes, jouer sur les tarifs des occasions, choses comme ça ? Je dis ça comme ça hein, j'en sais trop rien mais je me pose la question.
Dans ma partie, on s'est effectivement diversifié au maximum en proposant aujourd'hui des articles qui ne font à la base pas partie de l'univers de notre magasin. On est systématiquement ouvert les jours fériés. Ma femme ouvre même régulièrement le dimanche. On fait beaucoup de promos, des concours etc ...
La vente en ligne sur un mois calme c'est 1500 €. Sur décembre dernier, j'ai dû faire 10.000 €.
Çà peut paraître énorme, mais çà ne fait que compenser ce que nous ferions en magasin si le commerce en ligne n'existait pas.
Aujourd'hui tu es quasiment obligé de vendre en ligne pour faire le même chiffre qu'il y a 30 ans. Donc, tu dépenses + de temps et d'énergie pour un résultat identique (voire inférieur).
On croit faire du profit, mais tu ne fais que t'adapter.
En décembre j'ai du reverser 1500 € de commissions à amazon. Juste pour utiliser leur plate-forme. Elle est pas belle la vie ?