corbulon a écrit:tzynn a écrit:guiaum a écrit:LeJoker a écrit:
La vie subventionnée ça ne donne rien, on le voit avec le cinéma.
Sans subvention, le cinéma français n'existerait plus...
Si, mais il serait différent. Et il y aura peut-être moins de films auto centrés inexportables
C’est toujours rigolo de voir les gens utiliser la novlangue des publicitaires et autres communicants. Ici on utilise différent pour tenter de faire passer une standardisation par le bas pour de l’éclectisme.
Oui, quelle prétention que ce cinéma qui ose sortir des sentiers battus du pur film de distraction qui nous vend le modèle et l"idéologie du dominant.
Pour un peu on voudrait nous faire réfléchir, quel culot !
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fancomvous a écrit:zourbi le grec a écrit:Être productif et rapide c'est bien mais cela ne permet pas forcément de développer un style personnel et d'oser des choses.
Au final, ce qui compte c'est quand même la qualité de la bd que nous avons entre les mains, non ?
Alors, ça n'engage que moi, j'aime quand ça "ose". Quand on tente des trucs, tout ça.
J'essaie de temps en temps moi-même. Parfois ça marche, je suis tout fier et j'en tire des bénéfices.
Parfois ça ne fonctionne pas.
Et c'est pour ma pomme...
Oser, c'est "risquer". Le terme convient moins si l'on s'appuie sur un parachute ou un matelas gonflable pour amortir sa chute.
J'imagine que c'est comme ça qu'un artiste progresse (je ne suis qu'un simple lecteur) ?