icecool a écrit:En clair une version au format "à l'italienne" :
clic pour mieux comprendre :
http://www.dargaud.com/bd-en-ligne/blak ... me-21,5684
Ehm... format "a l'italienne" mais pour la france, non pour l'italie !
icecool a écrit:En clair une version au format "à l'italienne" :
clic pour mieux comprendre :
http://www.dargaud.com/bd-en-ligne/blak ... me-21,5684
pierryves a écrit:Quant à la couverture, elle est fade et insipide pour la simple et bonne raison que tous les personnages sont de dos. Ce qui est vachement engageant ! (cela dit, ça correspond assez au contenu pour l'instant).
HOCHET Gabriel a écrit:Et en plus, t'en as oublié plein...
Oncle Hermes a écrit:HOCHET Gabriel a écrit:Et en plus, t'en as oublié plein...
Cela dit, moi non plus je ne la trouve pas géniale cette couverture du Serment des cinq lords, mais je n'irais pas chercher l'argument des personnages de dos.
zourbi le grec a écrit:
Sinon, c'est bien Olrik que l'on voit à droite ?
sebsebseb a écrit:zourbi le grec a écrit:
Sinon, c'est bien Olrik que l'on voit à droite ?
Il ne s'agit pas d'Olrik.
Il faudrait que je consulte à nouveau la prépublication, il me semble qu'il s'agit d'un enquêteur (à confirmer).
zourbi le grec a écrit:Une autre chose qui me gêne dans le B&M de Julliard, c'est que beaucoup de personnages se ressemblent et je les mélangent souvent. C'est assez flagrant sur la couverture à l'italienne où par exemple, le capitaine et deux autres personnages ont presque la même tête.
Je ne sais pas si c'est de la flemme ou un manque d'attention du dessinateur, mais cela rend les planches assez monotones.
Sinon, c'est bien Olrik que l'on voit à droite ?
icecool a écrit:Dans cette couverture, la nuit s'oppose à la neige, la dualité des héros à celle de l'intriguant masqué et les colonnades architecturales (passé/histoire) au temps présent, semblant donc inconsciemment peser sur l'intrigue (l'épée de Damoclès du titre est déjà toute entière dans le mot de "serment").
LeJoker a écrit:icecool a écrit:Dans cette couverture, la nuit s'oppose à la neige, la dualité des héros à celle de l'intriguant masqué et les colonnades architecturales (passé/histoire) au temps présent, semblant donc inconsciemment peser sur l'intrigue (l'épée de Damoclès du titre est déjà toute entière dans le mot de "serment").
Je me rallie à Icecool.
N'oublions pas les fenêtres. Du côté de Blake et Mortimer, 2 fenêtres distinctes, de style classique, éclairées et accessibles. Du côté de Séverine, tout le contraire: une fenêtre haut-perchée, noyée dans les ténèbres, avec petites voûtes en ogive, comme si la modernité de nos deux héros allait devoir affronter un mystère venu du fond des âges.
Par ailleurs, les fenêtres éclairées se trouvent au rez-de-chaussée, quand l'autre se trouve à l'étage. Comment mieux suggérer que le mystère nécessite de "monter l'escalier" du mystère ? Et la mystérieuse fenêtre est à .... 3 baies... allusion à peine voilée à la Sainte Trinité, manière de montrer que le mystère, religieux, s'oppose au binaire rationnel et cartésien de nos deux héros.
Faut pas oublier les colonnes! Elles qui symbolisent l'histoire et le passé lointains (actuellement, on ne fait plus de colonnes, cf les palais en Belgique, qui datent tous de l'antiquité grecque), ne symbolisent-elles pas aussi nos deux héros? 2 colonnes, 2 héros! leur socle disparaît insensiblement sous la neige: cette neige blanche comme la tenue de Séverine, qui vient peu à peu engloutir ces bases, n'est ce pas évoquer le danger qui vient insensiblement entourer nos deux héros et qui menace de les engloutir ?
danielsansespace a écrit:Moi ce qui me déplaît c'est que depuis leur visite de l'expo à BXL, nos deux touristes semblent s'emmerder ferme dans tous ces musées et monuments. Là, en plus visiblement, le musée est fermé, c'est la nuit. Heureusement que la copine en blanc va leur lancer une boule de neige.
Dans la version en strip, le musée était ouvert, et tout le monde à l'intérieur s'emmerde, bras ballants ou bras croisés, se cherchant vainement une consistance. S'ils savent vraiment pas quoi faire, ils peuvent fumer la pipe, ça fait genre, aussi.
"- Sinon on pourrait aller au club.
- Ah ouais, ...mais non c'est fermé à cette heure là.
- ...
Et merde.
(...)
- Sinon on peut faire un bonhomme..
- ah ouais, un bonhomme de neige, tout blanc, on le mettrait derrière la colonne et on dirait que c'est le méchant.
- coool..."
icecool a écrit:Point d'Olrik dans ce récit qui se veut - selon ses auteurs - comme un polar à l'anglaise, sans super-méchant ni science-fiction ni fantastique. Tout ceci dans le but de rendre Olrik de nouveau crédible et sa réapparition moins systématique... Ce qui devrait donc permettre la création d'autres antagonistes.
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