corbulon a écrit:Donc on en est à moins de 10% de Grand Prix remportés par les meufs, mais les mecs, ils sont en train de parler des dérives de la discrimination positive.
Tu peux l’appeler ou la qualifier comme tu veux, mais une discrimination reste une discrimination. point-barre.
Si manœuvre il y a eu pour favoriser qq'un ou un genre, c'est merdeux (mais bon, c'est Anglouglou).
Les "meufs" étaient 2% des auteur(e)s jusque dans les 90's (Liliane Funcken, Francine Graton et les 5 Mousquettairettes des 70's), et quoique t'essaie de nous faire croire, ce n'était pas la faute des mecs (et/ou de la profession), mais la faute à ces "meufs". à moins que leur père leur en aie empêché, seules les "meufs" sont responsables de cette "inégalité".
c'est de nouveau toi qui a ta perspective biaisée (comme d'hab') et ton manque de culture générale est tjs aussi époustouflant.
Je n'ai pas souvenir d'une chaine télé qui s’appelait Figaro TV, ce phénomène est assez récent, pas historique.
Vous parlez de paroles libérées, et droite décomplexée, mais c'est la gauche qui a tenu le crachoir et les clés des studios télé depuis 68. Ce qui se passe ajd avec des Zemmour et Hanouna est un (malheureux) retour de balancier.
Non pendant des décennies, il y a un tel "fachisme" anti-droite dans les médias traditionnels et que si tu voulais pouvoir faire ta promo, tu devais taire tes avis de droite (et qqe part, c'est tant mieux)... seuls des Sardou et qqes consorts pouvaient se le permettre, mais au prix de se faire démolir par une certaine gauche.
Aux US, c'était moins le cas, mais même en country (milieu infesté par les réacs, s'il en est), il valait mieux taire sa "droite" pour pouvoir tourner son manège.
Mieux vaut tapis Persan volé que tapis volant percé (Uderzo.... et oui, pas Goscinny)