Olaf Le Bou a écrit:
sinon on pourrait également partir en croisade contre les romans policiers en arguant qu'ils incitent à trucider nos prochains, c'est la même logique de raisonnement.
Dans les romans policiers, les personnages des actes illégaux (tuer), comme dans la décharge mentale (pédophilie et maltraitance, la mère encourageant ses filles à coucher avec des adultes devant elle).
La GROSSE différence, c'est que dans les romans policiers, on a un contrepoint moral et légal : le crime est clairement présenté comme mal, illégal et répréhensible. Dans quasi tous les romans policiers, le criminel est arrêté à la fin et incarcéré.
Dans la "Décharge Mentale", les parents (surtout la mère) encourage ses filles, mineures (dont une très jeune) à sucer ou se laisser pénétrer par des adultes, pas pour leur plaisir, mais pour faire plaisir à ses adultes.
Il n'y a strictement aucun contrepoint. Le père laisse faire, il n'est jamais dit qu'il trouve çà immoral, il est juste fatigué.
Il laisse sa femme inciter ses filles à s'offrir aux adultes.
Même l'ami du mari qui au départ est mal à l'aise, se laisse aller et finit même par dire qu'il n'y a aucune mal tant que tout le monde est
consentant.
Et là : aucun contrepoint.
Vivès pose une base non-seulement immorale mais illégale : pédophilie, maltraitance enfantine et j'en passe.
Un enfant est-il "
consentant" ?
Ilk existe des tas d'histoire de parents ignobles qui ont élevés leurs enfants dans le culte de la pornographie et les ont forcés à avoir des relations avec des adultes (voir les sectes US).
L'absence totale de contrepoint n'a rien à voir avec les romans policiers.
Un génie ? Posez-vous les bonnes questions. Charlie a bon dos !