Alix

[septimus75]

Message précédent :
J'ai acheté la version vintage du dernier Alix. Très agréablement surpris, le papier est bien, le dessin est de très bonne facture et le scénario pas mal du tout. A la fin, il y a un dossier sympathique avec différents crayonnés.

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[septimus75]

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[septimus75]

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[arnaze]

A part ça, quelqu'un l'a lu ?

[scubby]

J'ai trouvé ce 42 tome classique et classieux avec une belle précision et des tons plutôt clairs. J'apprécie le travail de Jaillou qui reste pour moi ler repreneur le plus proche de l'auteur d'origine. La plupart des codes (relation avec César, Arbaces, Pompée, Enak,...). Une aventure sous forme de quête en relation une fois de plus à la mythologie. Après les deux plutôt bon tomes Mangin-Millien, je trouve que la série continue sur un très bon trend.

[arnaze]

J'avais été déçu des reprises et j'attendais enfin un bon scénario pour Jailloux, ce qui est le cas d'après ton commentaire, je vais me laisser tenter.

[DimVanJack]

Alix reste une de mes séries fétiches comme je l'ai déjà dit dans d'autres chroniques de la série, ici. J'attendais donc le nouveau tome avec impatiente et je dois dire que ça reste à mes yeux un des meilleurs depuis la reprise du titre. Je pense qu'il faut souligner que l'album est fait pour ceux qui connaissent déjà le titre. En effet, il y a déjà de nombreuses références éléments provenant d'autres albums et notamment les personnages qui nous sont connus depuis plusieurs albums, en dehors de grandes figures de la Rome Antique. L'intrigue, elle aussi, est classique dans son déroulé, faites d’éléments que nous connaissons pour les intrigues de Alix. Bref, l'album est intriguant, avec un récit tournant autour de la Grèce Antique, de son rejet total des romains et ici c'est parfaitement expliqué et géré, notamment avec la mythologie entourant le personnage de Achille.
Il y a de l'action et je dois dire que c'est impressionnant, la bataille navale est titanesque, nous sommes juste avant la bataille de Pharsale en Grèce et tout du long, que ce soit par le personnage de Jules César ou même le nouveau personnage de Oratis montre qu'il y a de la tension, que tout n'est plus si rose dans cet empire. En parlant de Oratis, elle est remarquable, elle dénote des personnages de l'album et elle est vraiment l'idée de cet album. Elle m'impressionne. Arbacès a vraiment changé, je le trouve différent des précédentes apparitions du personnage, il est plus mature et c'est sur ses épaules qu'on voit que repose la décadence de la Grèce face à l'ogre romain. On a presque de la compassion pour lui. Alix reste fidèle à lui-même et là aussi, il tire son épingle du jeu.
En tout cas la quête d'un trésor ancestrales, ça ne peut que m'attirer et le voyage qui nous est proposé est remarquable. Il y a des rivalités, des groupes secrets, de la politique et surtout une ambiance tellement morose, normal pour l'époque ou se déroule le récit, que c'est brillant. L'écriture est impeccable.
Le dessin de Marc Jailloux est incroyable, le travail sur les visages est une merveille, mais les paysages, les scènes mythiques et surtout le soin qu'il apporte à retranscrire l'époque, son environnement, ses costumes, ses décors, c'est impressionnants et surtout très beau. C'est un excellent album et si vous aimez l'Histoire, l'Antiquité, vous devez tenter l'expérience, surtout si vous aimez cette série. C'est un excellent album.

[Cooltrane]

Bon, j'ai perdu mon long post dimanche matin et pas eu le courage de le réécrire.

Content d'avoir a acheté mon premier nouvel Alix depuis Babel, car de tous ceux que j'ai lu depuis la reprise (mort de JM), c'est de loin le meilleur avec le Testament du Vieux Jules.

Jailloux a enfin soigné les décors (et ici, c'est vraiment la différence avec ses précédents) et le scénario de Seiter est vraiment bon, pour un coup d'essai (bon il aurait fait des Lefranc avant, d'après la BEL). Pour finir, le moins bon, c'est la couve (la tête énorme d'Alix) et le titre: j'aurais mis en décor derrière Alix et titré Le Tombeau D'Achille (vu que le bouclier ne joue aucun rôle). Pour une fois, la fin n'est pas bâclée par manque de place (46 pp), et à la rigueur, on en redemanderait.

[Révéler] Spoiler:

Une incohérence scénaristique non-négligeable, tdm: Tullus chasse Alix (depuis Nauplie), le croise sur la route d'Epidaure et ne le fait pas arrêter, parce qu'il ne le reconnaitrait pas? Puis à Epidaure, il le reconnait? Vous allez me dire qu'il n'était pas en mesure de le faire car trop peu nombreux (trois en tout), mais quand ils font prisonnier les "fuyards" (alors seulement trois) , ils seraient une petite dizaine.

Cette scène sur la route est de trop, àmha.

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Ce qui est aussi fort intéressant, c'est que l'on situe clairement ce tome, et donc, une partie de la saga complète: de retour d'Alexandrie (Sarapis), on y rencontre des soldats Romains croisé lors de Saturne (deux ans auparavant) et Helvêtes, donc ces deux tomes sont avant Sarapis et vu que Saturne tendrait à se passer dans la foulées des Légions Perdues... on avance déjà pas mal, dans une tentative d'ordre chronologique.
Comme il y est aussi question d'Adrea (sa sœur Oratis) et on nomme Horatius (pas vraiment visible) dans le camp de César, le T6 (Spartiate) est aussi pas trop loin.

Ce qui me ramène au pas-si décevant Conjuration de Baal, où ils sont de retour de Cyrénaique, la Griffe Noire et Dieu Sauvage, ainsi que Tombeau Étrusque sont forcément liés. Sceptre de Carthage arrivera plus tard àmha.

Bref, tous les tomes mentionnés ci-dessus auraient lieu en -50 et -49, alors que des trucs comme Styx en Conquête seraient plutôt de -46.

Je suis curieux de voir comment les nouveaux scénaristes parviendront à tisser des liens avec Iorix (mon préféré avec Légions) et dans une moindre mesure Spartacu(lu)s.

[rayman2]

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Ce qui est aussi fort intéressant, c'est que l'on situe clairement ce tome,

Ce tome est très précisément situé dans le temps puisque la bataille de Pharsale entre César et Pompée a eu lieu le 9 août 48 avant JC (calendrier pré Julien) et les deux armées se faisaient face depuis le 31 juillet. L'exactitude de ses dates est parfois controversée en raison des différences dans les calendriers de l'époque mais on est sûr de la période de l'été.

[rayman2]

Je viens aussi de le terminer, c'est un excellent cru et la version vintage est effectivement de grande qualité.

[Cooltrane]

Ce qui est aussi fort intéressant, c'est que l'on situe clairement ce tome,

Ce tome est très précisément situé dans le temps puisque la bataille de Pharsale entre César et Pompée a eu lieu le 9 août 48 avant JC (calendrier pré Julien) et les deux armées se faisaient face depuis le 31 juillet. L'exactitude de ses dates est parfois controversée en raison des différences dans les calendriers de l'époque mais on est sûr de la période de l'été.

Merci, cette dimension historique m'échappait un peu dans l'optique de la chronologie de la série, mais cela confirmerait le retour de Gaule des Légions Perdues et Or de Saturne.

Certains tomes seraient +/- estampillé -46.

[arnaze]

J'ai beaucoup aimé cet épisode, à mes yeux le meilleur depuis le Testament de César. Jailloux a enfin eu droit à un excellent scénario et son dessin est magnifique.
Les dialogues sont abondants et tout a fait dans le style de Martin.
On peut juste regretter qu'Alix soit réduit au rôle de spectateur, c'est en effet la sœur d'Adréa qui dirige les opérations. Un personnage féminin fort comme aimait les représenter Martin. Il est a noter toutefois que cette passivité d'Alix remonte déjà aux derniers albums de Martin.
Quant à Enak, il est invisible et c'est très bien ainsi. Son seul fait d'arme consiste à

[Révéler] Spoiler:

se faire enlever

.
Les couleurs sont parfaites.
Une belle réussite pour le tandem Seiter/Jailloux, le meilleur duo de repreneurs de Martin à mon sens !

[Cooltrane]

Quant à Enak, il est invisible et c'est très bien ainsi. Son seul fait d'arme consiste à

[Révéler] Spoiler:

se faire enlever

.
Les couleurs sont parfaites.
Une belle réussite pour le tandem Seiter/Jailloux, le meilleur duo de repreneurs de Martin à mon sens !

Enak semble enfin s'intéresser à une nana.
Et s'il s'est fait enlever (une fois de plus ), c'est à cause de l'imprudence de la nana.

Sinon, je n'avais pas trouvé que Breda déméritait pas comme scénariste... De ses quatre essais, à part le catastrophique Britannia, sont qd mm ce qui ce fait de mieux avec ceux de Venanzi (qui fut, par ailleurs son meilleur propre scénariste), mais nettement mieux que Ranouil (Conquête). Ceci dit, en relisant Gladiateur, j'ai trouvé que c'est un album sans la moindre portée politique et impossible à classer, mais qui se passe encore dans les arènes (après la galère au Circus dans Saturne et la course de char dans Amazone).
Cela devient un peu lassant, à la longue.

[rayman2]

Quant à Enak, il est invisible et c'est très bien ainsi. Son seul fait d'arme consiste à

[Révéler] Spoiler:

se faire enlever

.

C'est un peu l'Isabelle de Thierry la fronde.

[Cyril91]

Un très bon artbook consacré à l'oeuvre principal de Jacques Marin - avec en plus un chapitre sur Lefranc, mais rien sur ses autres BDs, probablement parce qu'il en était le scénariste plus que le dessinateur.
Cet ouvrage est très intéressant : d'abord par ce qu'ils nous apprend sur le parcours et les objectifs de l'auteur. On voit ainsi les difficultés qu'il rencontre à ses débuts : ses difficultés à se faire éditer, les conseils qu'il reçoit (et qu'il néglige parfois, comme lorsque le rédacteur en chef lui demande de mettre moins de texte dans ses cases ; je me demande si Jacobs a eu droit à la même remarque ) ou son conflit avec Jacobs qui lui reprochait (pas à tort) de pomper ses dessins pour Lefranc.
Ensuite parce qu'il met en avant, à grand renfort de planches (sans texte, en français ou en flamand), la nature et l'évolution du style de l'auteur, qui reste toujours assez statique mais se permet, au fil des décennies, plus de nudité pour les personnages. Le grand format du livre constitue une vraie plus-value pour profiter des dessins très détaillés de l'auteur, et les commentaires présents sous ou à côté de chacun d'entre eux sont très instructifs.

L'artbook met aussi en avant les sources d'inspiration de Jacques Martin, davantage des oeuvres d'art ou des romans classiques (notamment le Salammbô de Flaubert) que les films, même si ceux-ci peuvent aussi l'inspirer : il en découle des représentations qui, si elles semblent réalistes, ne sont pas toujours exactes, ce qui ne nuit cependant pas à l'immersion du lecteur.
L'artbook met aussi en avant la vision que l'auteur a de l'empire romain (Alix, esclave gaulois adopté par un romain et qui voyage dans tout l'empire) ainsi que de son héros, plus faillible (et de plus en plus au fil des albums) que ne l'étaient les héros classiques de la BD franco-belge, le tout en rapport avec les évolutions de la société pendant les décennies durant lesquelles les albums sont sortis, notamment en lien avec la décolonisation. Tout n'est pas abordé (la fameuse relation Alix-Enak est traitée de façon très rapide) ; mais Il aide à mieux comprendre la profondeur de la série et a réussi à me donner envie de relire les albums.

Un regret quand même : l'absence de la planche de Tintin qu'il a faite avec De Moor. Je suppose que Moulinsart veillait... Mais elle se trouve facilement sur internet.

[Erik Arnoux]

Je l'ai. On le trouve encore mais ce sera pas éternel.
https://www.bdangouleme.shop/les-catalo ... artin.html

[Cyril91]

Je l'avais acheté d'occasion (un peu moins de 24 €). Il est disponible pour encore moins cher sur Rakuten, si ça en intéresse certains.

[Cyril91]

Je commence à relire la série. Et le premier album a été assez pénible à lire, malgré quelques bons moments.



Certains défauts étaient attendus, comme les dessins statiques ou l'abus de textes narratifs qui disent ce qui se passe au lieu de le montrer (Tell, don't show, en quelques sorte). D'autres un peu moins : je ne me rappelais pas qu'Alix était aussi passif au début. il se contente de fuir les différents dangers qu'il rencontre pendant le début du volume (soldats romains, incendies, soldats parthes, crocodiles) et ne commence à agir que lorsqu'il décide de se confronter à Suréna. Ce sera d'ailleurs encore le cas à plusieurs reprises dans l'album.
Il y a aussi d'assez grosses facilités scénaristiques peu crédibles à plusieurs reprises : Honorus Galla qui adopte Alix parce qu'il a mal agi avec son vrai père : comment sait-il qu'il est bien le fils de celui-ci, et pas un autre Alix ? L'acharnement de Pompée contre le jeune homme est aussi un peu excessif, compte tenu de ce qu'Alix a fait jusque là.

Mais il y a aussi de bonnes choses, à commencer par la Némésis du héros, Arbacès qui se montre aussi tenace que perfide. C'est un bon méchant pour ce début de série (les deux soldats romains sont davantage des brutes sans intérêt). La relation d'Alix avec Toraya est bien développée, même si elle démarrait de façon un peu facile, et celle avec César est prometteuse. Enfin, les scènes du cirque (que ce soit pour la course de chars ou pour le combat de gladiateurs) offrent des moments prenants. Même s'il y a plus de négatif que de positif, ce premier tome montre que la série a du potentiel.

[Cooltrane]

continue, STP, à nous donner ton avis sur les premiers tomes, cela m'intéresse

[Cyril91]

Merci.



Un deuxième tome nettement meilleur que le premier. Pas sans défaut cependant : je ne vais pas revenir sur les dessins statiques ou la narration trop pesante, vu que ce sera toujours comme ça. L'album est scindé en 2 parties différentes mais la première (qui fait 13 pages) semble surtout être là pour conclure ce qui était annoncé au volume précédent avant que l'album ne passe à son vrai sujet. Ce n'était pas d'ailleurs une mauvaise idée et cette partie était nécessaire à plusieurs égards. Mais on sent que ça va trop vite : César et Alix arrivaient en Gaule à la fin d'Alix l'intrépide et le Sphinx d'or commence directement à Alésia. Il aurait été aussi intéressant de voir un peu plus Alix dans son village natal et en conflit avec les deux antagonistes. Il y avait de la matière pour un album entier.

Mais cette partie n'était pas dénuée d'intérêt pour autant, notamment au niveau de la relation César-Alix. Même si les deux personnages ont des motivations et des valeurs qui diffèrent, on sent qu'il y a du respect, et même une certaine forme d'affection - dans les deux sens d'ailleurs. Et c'est quelque chose que j'ai apprécié. Cette relation donne de l'humanité et de la complexité aux deux personnages.

A la 17ème page, César envoie Alix en mission en Egypte. Et c'est donc l'occasion de la rencontre avec Enak, qui jouera le rôle plus passif qu'Alix avait dans le premier album alors que notre héros se montre cette fois-ci beaucoup plus actif dans l'intrigue, enquêtant et participant à plusieurs combats et poursuites, cherchant à identifier son adversaire - qui, pour avoir cette apparence, a dû bien bronzer depuis le tome précédent. - bronzage qu'il perd d'ailleurs d'une page à l'autre lorsqu'il est démasqué (p. 62-63). Je me suis aussi interrogé pendant une bonne partie de l'album sur les raisons de son attitude : la fin d'Alix l'intrépide en faisait un envoyé de Pompée mais l'album montre un espion de celui-ci qui enquête. La dernière page de l'album donne l'explication, qui est d'ailleurs crédible mais qui aurait pu arriver un peu plus tôt...

[Cyril91]

Le niveau baisse cette fois-ci, dans ce premier opus en lien avec Carthage. Il y a des soucis de fonds et de forme : sur le fonds, l’arrivée d’Enak plusieurs pages après le début du volume ne sert pas à grand-chose, vu qu’il va se cacher une fois et sera enlevé deux fois. Mais c’est la forme qui est la plus problématique, avec des pages qui sont en général partagées en 5 bandes, avec parfois une partie de deux de ces bandes coupée en 2, comme dans l’exemple ci-dessous :



et comme il y a du texte dans ces cases, celui-ci est souvent écrit en très petits caractères, ce qui le rend pénible à lire.

Sur l’histoire, elle souffre de traîner en longueur et surtout de demander trop de suspension d’incrédulité : les ennemis d’Alix, menés encore une fois par Arbacès (qui meurt bien à la fin du volume cette fois-ci : on voit son corps flotter au milieu de la mer et le narrateur parle de son « cadavre »), utilisent des inventions modernes. Non seulement la poudre (déjà vue dans le tome précédent, mais il y avait l’excuse de savants chinois), mais aussi les miroirs réfléchissants inspirés d’Archimède (qui ne les a en réalité probablement jamais inventés) en plus puissants, des flèches explosives et… la machine à vapeur. Ca fait quand même un peu beaucoup pour que l’on puisse croire à l’histoire racontée.
Ceci dit, l'album finit quand même sur une bonne note, avec la destruction de l'île qui suite une scène de sacrifice humain (enfin, de tentative) avec des personnages complètement déchaînées. La statue de Moloch est vraiment marquante.





Voici un album plus intéressant. Alix aide l’héritier légitime d’une dynastie à retrouver son trône, sa légitimité étant établie par la possibilité de porter une tiare en or qui rend fou tout autre qu’un descendant du roi qui l’avait fait fabriquer. Face à lui, le grand vizir des Parthes qui veut devenir roi à la place du roi et qui n’es autre… qu’Arbacès. Ben oui, le narrateur s’est planté dans le volume précédent. Alix est cette fois-ci accompagné d’Enak dès le début et celui-ci ne se fait enlever qu’à une reprise, vers la fin. Il y a du progrès…

Sinon, l’histoire est sympathique à suivre : il y a pas mal de rebondissement et d’action, dus parfois à la trop grande loyauté d’Alix qui fait trop confiance à ses ennemis mais celui-ci sait aussi prendre des initiatives audacieuses et utiles, notamment sur la fin lors de l’assaut final contre les troupes d’Arbacès. Celui-ci ne se montre pas vraiment fourbe et manipulateur (du moins pas autant que d'habitude) mais, vu qu’il a déjà à peu près tous les pouvoirs, il est autoritaire et brutal. Moins intéressant qu’avant du coup, pour sa dernière apparition – avant sa résurrection plus tard, si j’ai bien compris ; mais je n’ai que les albums dessinés par Martin.