corbulon a écrit:Ben depuis le début j’ai mis donné des liens avec des arguments sur l’utilité de l’écriture inclusive avec en plus des études sur le sujet, et j’ai toujours aucune réponse qui les démontent. Mais bon avec les personnes qui s’accrochent au point médian ou name droping comme quelqu’un qui serait tombé à l’eau en pleine tempête à une bouée, celles qui utilisent le « ouin ouin, il y a tellement mieux à faire comme la lutte contre les violences conjugales, et celles style le mec qui m’a mis en ignore list, qui face à des recherches universitaires menées, balaie le tout par un simple c’est n’importe quoi, on aura eu droit entre toutes les tactiques utilisées pour décrédibiliser le travail universitaire.
Là, c'est le pompon, tu nous sers une soupe de post-adolescent boutonneux en train de bisser sa première année à l'univ, découvrant un monde plus rigoureux que ce à quoi il s'attendait mais qui, pour essayer de donner de la crédibilité à ses opinions, se retranche derrière un pseudo-argument d'autorité, les "recherches universitaires"...
Et si, quelques pages plus haut, un collègue te met un lien vers un texte d'un collectif de linguistes (des universitaires, pourtant), parmi lesquelles des femmes, et qui t'expliquent pourquoi ils pensent que l'écriture inclusive est
linguistiquement (
pas politiquement) une daube, tu vas alors tenter de décrédibiliser leurs compétences en les étiquetant d'une pensée politique qui te dérange.
Et justement, dans le quotidien belge "Le Soir" d'aujourd'hui, une page complète sur l'écriture inclusive, dans laquelle notamment, Anne Dister, professeur de linguistique à l'Université Saint-Louis, se dit opposée à l'écriture inclusive, car, je cite :
"Or, l'écriture inclusive est élitiste, complexifie le français écrit et éloigne l'écrit de l'oral. A ce titre, c'est une écriture qui exclut tous les gens qui ont des difficultés avec l'écrit et qui va à l'encontre de tout un projet d'un français plus appropriable."
Donc oui, le sujet divise, ne t'en déplaise.
Et pour ta gouverne, dans le monde scientifique, il y a souvent autant d'universitaires sérieux qui défendent une thèse, ou une théorie que d'autres de leurs confrères qui essaient de la mettre en défaut car ils soutiennent des thèses différentes.
C'est toujours ça la vérité en science, rien n'est jamais prouvé. Il y a une théorie qui émerge un jour comme étant la plus fiable possible, et qui a vocation d'être un jour elle-même mise en défaut par une meilleure qui la remplacera.
Alors ta fallacieuse tentative d'appeler tes grands frères (et grandes soeurs
) universitaires pour essayer de protéger ton extrémisme caricatural, comment dire ....