LEAUTAUD a écrit:Le choix économique qui a conduit à la réduction des lits sera questionné à l'heure du bilan, c'est légitime.
nexus4 a écrit:et un très beau dessin de Xavier Gorce pour illustrer une enquête "sur ces lourdeurs administratives qui entravent la gestion de crise" :
LEAUTAUD a écrit:C'est vrai, mais l'étiage de départ était très bas (5.000 lits pour tout le territoire, en Allemagne c'est 20.000).
Avec 15.000 lits répartis sur un critère démographique la concentration sur l'Ile de France et le Grand Est était gérable, sans recours aux militaires ni aux transferts.
ironben a écrit:LEAUTAUD a écrit:C'est vrai, mais l'étiage de départ était très bas (5.000 lits pour tout le territoire, en Allemagne c'est 20.000).
Avec 15.000 lits répartis sur un critère démographique la concentration sur l'Ile de France et le Grand Est était gérable, sans recours aux militaires ni aux transferts.
Ça, c'est un truc que j'ai du mal à comprendre avec mon "logiciel" français.
Je suppose que le besoin en temps normal entre France et Allemagne doit être sensiblement identique. Admettons 7.000. En France on fait des économies, donc 5.000. En Allemagne, 13.000 de plus que nécessaire ?
Certes on peut imaginer une prévention mieux organisée, mais 3 x la capacité d'usage normal, j'avoue ne pas bien comprendre la logique.
Philemon a écrit:ironben a écrit:LEAUTAUD a écrit:C'est vrai, mais l'étiage de départ était très bas (5.000 lits pour tout le territoire, en Allemagne c'est 20.000).
Avec 15.000 lits répartis sur un critère démographique la concentration sur l'Ile de France et le Grand Est était gérable, sans recours aux militaires ni aux transferts.
Ça, c'est un truc que j'ai du mal à comprendre avec mon "logiciel" français.
Je suppose que le besoin en temps normal entre France et Allemagne doit être sensiblement identique. Admettons 7.000. En France on fait des économies, donc 5.000. En Allemagne, 13.000 de plus que nécessaire ?
Certes on peut imaginer une prévention mieux organisée, mais 3 x la capacité d'usage normal, j'avoue ne pas bien comprendre la logique.
Je me méfie de ce genre de comparatif...
C'est quoi un "lit" ? C'est pas juste un matelas, c'est une chambre équipée. Equipée avec quoi ? Un respirateur. Du personnel qualifié ? Combien pour un lit ?
Parle-t-on vraiment de la même chose entre Allemagne et France ?
Cette crise est une des premières à solliciter autant les capacités. Ca veut donc dire que les Allemands ont 10000 lits inutilisés depuis plusieurs décennies ? En terme de gestion, bof (sauf à supposer que dans tous les domaines il faut multiplier l'estimé avec un énorme coef de précaution).
Frannck a écrit:Mais Croaa sera malheureux de réapprendre que cela date déjà de Mitterand, je parle bien de la réduction du nombre de lits.
Philemon a écrit:ironben a écrit:LEAUTAUD a écrit:C'est vrai, mais l'étiage de départ était très bas (5.000 lits pour tout le territoire, en Allemagne c'est 20.000).
Avec 15.000 lits répartis sur un critère démographique la concentration sur l'Ile de France et le Grand Est était gérable, sans recours aux militaires ni aux transferts.
Ça, c'est un truc que j'ai du mal à comprendre avec mon "logiciel" français.
Je suppose que le besoin en temps normal entre France et Allemagne doit être sensiblement identique. Admettons 7.000. En France on fait des économies, donc 5.000. En Allemagne, 13.000 de plus que nécessaire ?
Certes on peut imaginer une prévention mieux organisée, mais 3 x la capacité d'usage normal, j'avoue ne pas bien comprendre la logique.
Je me méfie de ce genre de comparatif...
C'est quoi un "lit" ? C'est pas juste un matelas, c'est une chambre équipée. Equipée avec quoi ? Un respirateur. Du personnel qualifié ? Combien pour un lit ?
Parle-t-on vraiment de la même chose entre Allemagne et France ?
Cette crise est une des premières à solliciter autant les capacités. Ca veut donc dire que les Allemands ont 10000 lits inutilisés depuis plusieurs décennies ? En terme de gestion, bof (sauf à supposer que dans tous les domaines il faut multiplier l'estimé avec un énorme coef de précaution).
Pour rebondir, le lit en France c’est le lit, l’appareil de ventilation et le personnel.LEAUTAUD a écrit:Philemon a écrit:ironben a écrit:LEAUTAUD a écrit:C'est vrai, mais l'étiage de départ était très bas (5.000 lits pour tout le territoire, en Allemagne c'est 20.000).
Avec 15.000 lits répartis sur un critère démographique la concentration sur l'Ile de France et le Grand Est était gérable, sans recours aux militaires ni aux transferts.
Ça, c'est un truc que j'ai du mal à comprendre avec mon "logiciel" français.
Je suppose que le besoin en temps normal entre France et Allemagne doit être sensiblement identique. Admettons 7.000. En France on fait des économies, donc 5.000. En Allemagne, 13.000 de plus que nécessaire ?
Certes on peut imaginer une prévention mieux organisée, mais 3 x la capacité d'usage normal, j'avoue ne pas bien comprendre la logique.
Je me méfie de ce genre de comparatif...
C'est quoi un "lit" ? C'est pas juste un matelas, c'est une chambre équipée. Equipée avec quoi ? Un respirateur. Du personnel qualifié ? Combien pour un lit ?
Parle-t-on vraiment de la même chose entre Allemagne et France ?
Cette crise est une des premières à solliciter autant les capacités. Ca veut donc dire que les Allemands ont 10000 lits inutilisés depuis plusieurs décennies ? En terme de gestion, bof (sauf à supposer que dans tous les domaines il faut multiplier l'estimé avec un énorme coef de précaution).
Ce n'est pas 10.000 lits inutilisés que l'Allemagne possède, c'est 20.000 appareils d'assistance respiratoire.
Ce n'est pas uniquement une question de lits, mais d'équipements en assistance respiratoire, qui peuvent être deux réalités distinctes.
Des lits de soins intensifs peuvent être équipés en lits de réanimations puisque l'appareillage existe.
C'est ce que la France a fait dans l'urgence en récupérant un maximum de respirateurs pour équiper des lits, devenus des lits en réanimation.
Pour ce qui est du personnel nécessaire le code de la Santé publique prévoit 2 infirmiers pour 5 lits et 1 aide-soignant pour 4 lits.
Ma remarque c’était juste pour qu’on nous dise pas après qu’il faut acheter 15 000 respirateurs alors qu’on n’aura pas les lits et pas le personnel pour les utiliser. On compare ce qui est comparable. Et un lit complet de réa et un respirateur c’est pas pareil.biborax a écrit:nous en france on avait ni le matos, ni le personnel, qui a du être formé sur le tas. Et a quoi ça sert ? compare la situation en france et en allemagne et tu auras un début de réponse. Moins de 6000 morts en allemagne + 20000 en france
Croaa a écrit:
Rhoooo, Coldo !
Mirdhynn a écrit:
Donc on oublie le principe de vagues successives pour l'instant tout du moins (a voir si les hôpitaux réussissent à tenir la cadence si on applique les geste barrières)
biborax a écrit:nous en france on avait ni le matos, ni le personnel, qui a du être formé sur le tas. Et a quoi ça sert ? compare la situation en france et en allemagne et tu auras un début de réponse. Moins de 6000 morts en allemagne + 20000 en france
Croaa a écrit:
Après j'ai conscience que l'on ne peut pas rester confiné jusqu'en septembre.
Un peu l'impression que la solution n'existe pas.
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