Voici ma première réaction concernant ce fameux tôme 17.
Je vais me contenter d'une petite réaction générale de ce volume que je me suis forcé à lire en 3 jours pour ne pas brûler tout mon plaisir !
Voilà le début de l'opération YZ et pour la première fois, nous avons de la bagarre du début jusqu'à la fin et cela risque de se poursuivre durant tout le tôme 18.
L'opération YZ semble tenir toutes ses promesses et l'auteur nous offre (enfin) des combats aériens digne de ce nom.
(Quoique si je voulais des combats aériens, j’arrêterai Zipang et je me lancerai dans des Buck Danny
)
Quand au Miraï, il est à la fois présent et discret à deux interventions près...
Il joue dans un premier temps un rôle d'éclaireur "nettoyeur"
avant qu'il finisse par exercer sa spécialité comme l’a mentionné Marion.
La fin du volume nous laisse deviner qu'il devra de nouveau jouer les gros bras et les gardes du corps dans le tôme suivant.
En effet, les combats seront encore plus intenses et plus acharnés.
Les pilotes de la royal air indian force vont se battre comme des lions.
D'ailleurs, je ne connaissais pas l'existence de cette unité indigène de la RAF.
Le Miraï devra de nouveau jouer le rôle pour lequel il a été conçu, celui de destroyer
.
Justement, j’ai recueilli sur Wikipedia, la photo d’un destroyer américain qui ressemble à deux gouttes d’eau à notre Miraï
, il s’agit de l’ « USS Oscar Austin », un DDG 51.
En plus, l’arsenal est presque identique.
Voici le lien :
http://fr.wikipedia.org/wiki/Classe_Arleigh_Burke
Si vous cliquez sur la photo, vous verrez que Kawaguchi s’est inspiré à 90 % de ce vaisseau.
Et son absence laisse un vide béant, le personnage de Kadomatsu servant de garde-fou indispensable dans une histoire flirtant dangereusement avec un nationalisme larvé.
C'est vrai que sans Kadomatsu, notre capitaine humaniste, les hommes du Miraï semblent un peu moins préoccupé par leur morale d’auto-défense.
D’ailleurs la couverture du tome 17 est assez paradoxale vus qu’il est illustré en pleine page vêtu d’un bel uniforme de la marine impériale alors qu’il n’apparaît pas une seule fois.
Lorsque j’avais aperçu la première fois cette couverture, j’avais pensé qu’il s’agissait du capitaine Taki vus qu’ils ont un visage similaire
et Taki aurait pu être en couverture de ce volume vus que tout cette bataille tourne autour de ce personnage.
Mais j’en parlerai plus tard…
Et une dernière petite chose qui m'a fait plaisir!
Lorsque je suis repassé à la fnac 3 jours après avoir acheté mon livre, j'ai remarqué que tout les tômes 17 ont été vendues !
Comme je l'espérais, Zipang a fini par trouver son public malgré le nombre croissant de titre disponible qui existe dans ce marché.
Et ce qui me fait encore plus plaisir, c'est que la majeur partie des lecteurs de Zipang ne vient pas des Otaku (fans de manga) mais plutôt des amateurs de la BD dite "franco-belge".
Donc me voilà rassuré, car maintenant je sais que Kana continuera à éditer cette série jusqu'à la fin.