jfmal a écrit:Alonzo Cabarez a écrit:yodada a écrit:Je ne les ai pas encore ouvert, j'ai du mal à ouvrir les collectors sous blister...
Moi, je collectionne les blisters et je ne supporte pas qu'ils soient déchirés, ouverts, etc... Au final, je me retrouve dans la même situation que toi. Je ne peux pas lire ce que contiennent les blisters.
Vous semblez être conscients de votre problème. C'est bien, le premier pas est fait! Ne reste plus qu'à vous soigner
C'est en cours : 40 ans de collectionnite plus ou moins aiguë et trente ans de sfarchanalise, pour réprimer la tendance.
Nirm a écrit:tout le monde n'a pas la chance de se payer des séances chez le sfarchanaliste !
Mais quand le sfarchabidule est à la hauteur, on peut mesurer les progrès.
Ma femme fait à nouveau couche commune depuis que j'ôte (délicatement, ça va de soi
) le blister de mes savonnettes. Et j'espère pouvoir écouter des CD et des 33 tours dans un proche avenir.
Heureusement que les premiers Théodore Poussin avaient été mis en rayon sans protection aucune, sinon je n'aurais probablement jamais su de quoi il retournait. Le premier volume à posséder un blister, c'était le 6,
Un passager porté disparu : dans un moment d'égarement, j'avais éventré le blister, à l'époque, pour me ruer sur le carnet puis "dévorer" l'album. Mais au vu de la fragilité du cartonnage accueillant le tout, et après lecture du bouquin, j'ai reconstitué sans tarder un emballage de protection maison, à la façon des bouquinistes avec du papier crystal bien tendu.