Spirou et Fantasio LE VOTE

[e m]

Message précédent :
20/20 pour L'ombre du Z

[ZanZan]

Petite préférence pour z également mais l'ombre c'est bien. Le voyage en Palombie est un bonus. Et Spirou qui colle quelques baffes à Zanta, ça fait du bien quoi 18 sur 20

[Diddu]

18/20 pour l'ombre du Z chez moi aussi

[Cooltrane]

la meme chose que Z Comme... (suffit d'aller voir, j'ai la flemme de le faire )

[bib]

16. L'ombre du Z : 20/20 rac erbmo'l espilcé tuot ! eviv Bulgroz !

[Mr Hubert]

Un poil moins prenant et terrifiant que le tome précédent, mais un excellent album quand même.
C'est le tome 16 ? Alors mettons lui 16/20 !

[BDbilos]

19/20 comme le 15.

L'effet "découverte" du perso de Zorglub est passé, mais cet album le relance totalement.
L'intrigue démarre en effet doucement à Champignac, mais ensuite tout s'enchaîne impécablement.
Les deux "méchants" ne se parasitent pas du tout, ce qui n'était pas forcément évident.
Et Zantafio est vraiment hargneux ici.

[Divelord]

L'Ombre du Z, je l'aime bien ! : 18/20

[Sonicvic]

Cooltrane donc 14/20, c'est ton dernier mot ?

18/20 pour moi, je l'ai toujours un poil préféré à son prédécesseur, pour cette scène de folie lorsque tous les habitants de Palombie sont lobotomisés par la publicité et se battent pour acheter des produits Z tout en chantant les slogans. C'est fort, très fort.
Dommage que Zantafio soit un peu parachuté dans l'histoire sans avoir été proprement introduit. Il fait le malin, tire sur Zorglub et c'est fini.

[antoinedf]

La Boîte noire : 11/20
On a déjà dit beaucoup de mal sur ce duo et il est vrai que le bilan de cette trilogie n'est pas bon. Cependant, La Boîte noire étant mon épisode préféré du duo, j'en profite pour mettre en avant qq qualités de cet album. Moins original que le précédent, moins drôle que le suivant ... La Boîte noire est avant tout une aventure plus équilibrée. Bon, il y a toujours des facilités d'écriture incroyables, tellement grosses que les personnages en énoncent parfois l'absurdité (l'échange de la boîte contre Fantasio). Le coup du vol de la Boîte noire dans le coffre est tellement gros, qu'il en devient presque comique. Le plus ennuyeux c'est la façon dont méchants et gentils se retrouvent systématiquement, alors que les justifications sont très faciles (médiatisation du fantabulle par exemple).

Mais si on laisse ces problèmes de côté, qui y a t-il à sauver dans cette boîte noire ? Tout d'abord, l'amélioration graphique de Nic Broca. C'est le seul album où il ne se cantonne pas à des compositions "plans-plans" - notamment dans les scènes avec le Fantabulle, où on adopte enfin des points de vues plus diversifiés. Les scènes en Afrique sont également assez fluides et sympathiques à lire. Le Fantabulle a bien vieilli mais il apporte un peu de nouveauté dans les inventions de la série : synthèse entre le fantacoptère et la zorglumobile, l'appareil se construit sur la bulle, un rond autour duquel pivote la structure (et qui sert de gag final). Le retour d'un Fantasio inventif est justifié par la boîte noire et ses facilités techniques. Des facilités tellement utilisées, qu'elles font de cette boîte, un réservoir de potentiel et de gags. Rebondir sur le potentiel infini de cette boîte était la meilleure idée de suite à la ceinture , qui porte une certaine ombre sur cette histoire. Enfin, c'est l'album où les gags de Cauvin sont les plus équilibrés ; celui-ci joue beaucoup sur la réaction extérieure, le regard de l'autre pour le gag (les voisins de Spirou, les déménageurs). A tel point que c'est le premier Spirou à inclure un long caméo de ces deux auteurs dans l'histoire. Si le Spirou de Fournier était déjà un poil "écolo", notons ici que tout le début du récit explique pourquoi Spirou a "abandonné la bagnole", un discours qui peut faire sourire aujourd'hui. Et pour finir, la couverture est également pas si mal.

Alors oui, si le côté naïf et désuet vous insupporte, ces trois Spirou sont sans intérêts. Mais il y a quand même qq expérimentations intéressantes dans cette trilogie de la maladresse - notamment dans la Boîte noire, seul album du duo auquel je puisse mettre la moyenne.

[Arthur Pinson]

L'Ombre du Z : 18/20

La première partie, à Champignac, est peuplée de détails hilarants. Mais surtout la séquence en Palombie m'a toujours fait rêver. Elle fait partie de mes préférées, dans toute la série. L'esthétique et l'ambiance de Chiquito, la fièvre consumériste de ses habitants, le comte qui bidouille son électronique dans sa chambre d'hôtel, et cette base moderne au milieu de la jungle, je ne m'en lasse pas.

Un point de détail, certes, mais que je trouve génial : Zorglub traçant son Z d'un coup de Zugol+BR sur la page de titre.

Je fais partie de ceux qui préfèrent cet album au premier Z, mais je leur donne au final la même note, car le premier bénéficie du droit d'ainesse (il est incontournable, ayant posé les bases du monde de Zorglub) et, raisonnablement, il me semble mieux structuré : L'Ombre est faite de deux histoires, quand le premier Z a une vraie trame qui évolue de la science-fiction inquiétante à la satire. L'Ombre, elle, est un coup de coeur.

[the frog]

8/20. Je n'aime pas du tout cet album alors que le precedent est un de mes preferes. Seul le debut me plait beaucoup avec le retour des heros a Champignac ou Jerome terrorise la population avec la zorglonde, une idee que reprendra Franquin pour Panade a Champignac. Sinon, je considere la suite ininteressante au possible. Alors que Zorglub etait tres menacant dans le premier, ici, il est ridicule et gaffeur. L'affaiblissement du mauvais n'est pas une bonne idee scenaristique comme je l'avais evoque au sujet de L'abbaye truquee, Herge commettra la meme erreur quelques annes plus tard dans Vol 714 pour Sydney avec Rastapopoulos et Allan. Et la participation surprise de Zantafio a la toute fin ne sauve pas l'ensemble.

[antoinedf]

L'Ombre du Z : 19/20

Egalement conquis par ce deuxième volet du Z. J'ai longtemps cru que je préférait ce deuxième volet pour toutes les raisons énoncés (le début le plus marquant de toute la série à Champignac, la visite de Zorglub au château, les passages en Palombie, la base secrète, Zantafio) mais finalement je ferais une petite différence par rapport au premier. Comme l'a dit Arthur Pinson, l'histoire se construit en deux temps et ça me pose un peu problème. Je trouve que le rythme entre le départ de Zorglub du château et l'arrivée de nos héros en Palombie, s'affaibli un peu. Et inversement, je trouve la fin beaucoup trop rapide, avec une arrivée un peu brusque de Zantafio. J'aurais été très curieux de voir ce qu'aurait donné le troisième volet que Dupuis a décidé de torpiller. Il est certain qu'il aurait été très différent de ce qui a été proposé dans Panade à Champignac, et on a plus qu'un bandeau titre pour se consoler :

[kobaia]

L'ombre du Z : 19/20, comme pour Z pour Zorglub.

[Cooltrane]

Cooltrane donc 14/20, c'est ton dernier mot ?

Dommage que Zantafio soit un peu parachuté dans l'histoire sans avoir été proprement introduit. Il fait le malin, tire sur Zorglub et c'est fini.

j'ai trouvé cela une faiblesse aussi... les deux Z semblaient une bonne ifée, mais à la conclusion, c'est moyen.

Et si j'avais mis 14 pour le T15 , ce sera 14 tour le T16

[zourbi le grec]

L'ombre du Z : 16/20
Comme toutes les suites, il est moins original que le précédent et comme je l'ai dit pour le premier, je ne raffole pas de Zorglub et de son univers.
Graphiquement, Franquin est dans sa période que j'aime le moins avec un dessin très nerveux à la plume et des personnages ramassés.

Pour moi, on sent déjà la lassitude de Franquin pour la série dans la période Zorglub, et ce n'est pas par hasard qu'il s'entoure de collaborateurs (Greg, Jidéhem)

[Sonicvic]

Ce soir, une aventure qui se déroule dans un autre pays.
(ce qui n'est pas très compliqué, c'est le cas des 3 histoires restantes )

[Arthur Pinson]

8/20. Je n'aime pas du tout cet album alors que le precedent est un de mes preferes. Seul le debut me plait beaucoup avec le retour des heros a Champignac ou Jerome terrorise la population avec la zorglonde, une idee que reprendra Franquin pour Panade a Champignac. Sinon, je considere la suite ininteressante au possible. Alors que Zorglub etait tres menacant dans le premier, ici, il est ridicule et gaffeur. L'affaiblissement du mauvais n'est pas une bonne idee scenaristique comme je l'avais evoque au sujet de L'abbaye truquee, Herge commettra la meme erreur quelques annes plus tard dans Vol 714 pour Sydney avec Rastapopoulos et Allan. Et la participation surprise de Zantafio a la toute fin ne sauve pas l'ensemble.

Sans vouloir remettre en cause ton avis, que je respecte même si je ne le partage pas, j'ai du mal à comprendre pourquoi tu attribues cette évolution à cet album, alors que c'est dans le premier tome que Zorglub passe de génie maléfique à personnage ridicule. Il y finit sur le bord d'une petite route de campagne, une pompe à vélo entre les mains, après avoir été humilié par le Comte et ses propres zorglhommes.

[Arthur Pinson]

Ce soir, une aventure qui se déroule dans un autre pays.
(ce qui n'est pas très compliqué, c'est le cas des 3 histoires restantes )

Le marsupilami y fait-il ?
- Houbahoubahop Hahaha
- Ogllp ! Au pays tagadaragon... Grôô Houba ! Bzîîîp tûût djii Bzîîîp Bzîîîp tûût...Groïnch ! Houba hips...
- Houba ! Houba ! Houba ! Houba ?

[Sonicvic]

Pour un album fondateur, c'est un album fondateur !

[Larry Bambell]

4. Spirou et les héritiers : 19 / 20

FA-BU-LEUX !!...