SANDAWE

[papyjulio]

Message précédent :

Reste le problème de fond... des fonds cloisonnés ne l'ont pas été et les édinautes ont été spoliés de leur argent ! Le reste est de la littérature...

Quant au duo Nihoul - Mika, entre problèmes existentiels et reports multiples, leur projet a été le plus grand foutage de g*** de l'épopée SW. Attitude désinvolte et scandaleuse... malgré des tentatives de justifications humoristiques mal placées.

Je remercie encore les frère Sierra, Erik et David, Fred Bones et qq autres pour les moments d'échange et de passion commune. Je ne doute pas un seul instant de leurs réussites futures

J'en retiens aussi de très bon moments malgré la fin brutale et peu claire...

[Le Rescator]

Je suis d'accord avec cubi58 et papyjulio pour les bons moments passés à échanger avec les auteurs ainsi que toute cette expérience singulière que nous avons vécue et qu'il ne faut pas regretter, malgré une fin inattendue et plus que discutable.

Il reste simplement un dernier - et chaste - sujet à traiter ...

[Erik Arnoux]

Stephane, le crowdfunding était une expérience qui était intéressante à tenter pour moi en tant qu'auteur et c'est pour ça que j'avais contacté Sandawe en février 2011, à la suite d'un article expliquant le processus, fin 2010, dans ActuaBD de mémoire. Ça aura été un moment de création passionnant que j'ai pu partager quotidiennement sur le site (pas mal ici le savent pertinemment) avec les gens (les edinautes, oui) qui ont contribué a financer nos albums et que j'espérais sincèrement voir rentrer dans leur investissement et gagner de l'argent ensuite, mais avant tout faire partie d'une création avec enthousiasme et ferveur. Ces gens fidèles et je leur rends grâce m'ont aussi matériellement soutenu dans un moment de vie difficile que j'ai traversé et ça, je ne l'oublierai jamais.

J'ai eu la chance d'être avec David Morancho au bon endroit pour m'exprimer sur Sara Lone et sans contrainte réaliser les albums que je voulais, y compris à la maquette que j'ai faite de A à Z, ce que je n'aurais pu faire nulle part ailleurs. Si effectivement le marché bd ne s'était pas écroulé dans la même période avec des ventes en chute libre pour tous les éditeurs, la rentabilité envisagée aurait été au rendez-vous pour certains titres et l'histoire aurait été belle. Il aurait fallu lancer le principe 5 ans plus tôt avant le marasme.

Pour autant, si on peut reprocher une communication exécrable à Sandawe et une certaine candeur de passionné pour le dirigeant que j'ai pu vérifier, on ne peut certainement pas parler de "malhonnêteté" que je vois poindre ça et là en laissant entendre (sans le moindre début de preuve par ailleurs) qu'il serait parti avec la caisse. Et je ne suis pas son avocat, loin s'en faut. Ses erreurs de choix éditoriaux avec des projets lamentables et pas au niveau qu'il a assumé ont toujours été un réel point de discorde (sic) entre nous dès 2011 !

[Le Rescator]

Une communication de Philippe NIHOUL sur le site de financement participatif :

"Non. La raison pure et simple est que Sandawe devait se charger de tout et que rien n’a été possible, vu la chute et le bordel de la liquidation de la société qui a suivi. Tout a été bloqué, perdu, inaccessible (ne biffer pas la mention inutile, il n’y en a pas) du jour au lendemain, sans aucun avertissement. Ensuite, il a fallu voir ce qu’on pourrait faire de ces planches inutilisables on a tout essayé, mais le contenu de l’album a échaudé la plupart des éditeurs...

... Genre : euh... c’est drôle, mais ce n’est pas le moment de venir avec vos conneries. Puis est venu le COVID, qui a encore plus compliqué les choses pendant 1 an et demi. Ajoutant les problèmes personnels et familiaux au désastre (décès, ruptures...). C’est alors que BD Must intéressé, mais méfiant nous a proposé un test. Ils voulaient bien l’éditer, mais pas avant de voir ce que ça donnerait. D’où cette édition limitée. De son succès dépendra l’édition normale, toujours chez BD Must.

Si nous avons nos torts, nous ne sommes pas responsables de la chute de Sandawe. Beaucoup y ont perdu, et nous en sommes profondément désolés. Nous aussi et nous ne sommes pas les seuls. Nous avons accepté de revenir dans un processus d'édition normale, uniquement pour que l'album existe. Pour nous aussi, ça pique un peu.
Cela dit, merci à BD Must de prendre ce risque et de publier cet album que personne ne voulait toucher avec des gants en amiante en cette période fade et bien pensante."

[stephane_]

Stephane, le crowdfunding était une expérience qui était intéressante à tenter pour moi en tant qu'auteur et c'est pour ça que j'avais contacté Sandawe en février 2011, à la suite d'un article expliquant le processus, fin 2010, dans ActuaBD de mémoire. Ça aura été un moment de création passionnant que j'ai pu partager quotidiennement sur le site (pas mal ici le savent pertinemment) avec les gens (les edinautes, oui) qui ont contribué a financer nos albums et que j'espérais sincèrement voir rentrer dans leur investissement et gagner de l'argent ensuite, mais avant tout faire partie d'une création avec enthousiasme et ferveur. Ces gens fidèles et je leur rends grâce m'ont aussi matériellement soutenu dans un moment de vie difficile que j'ai traversé et ça, je ne l'oublierai jamais.

J'ai eu la chance d'être avec David Morancho au bon endroit pour m'exprimer sur Sara Lone et sans contrainte réaliser les albums que je voulais, y compris à la maquette que j'ai faite de A à Z, ce que je n'aurais pu faire nulle part ailleurs. Si effectivement le marché bd ne s'était pas écroulé dans la même période avec des ventes en chute libre pour tous les éditeurs, la rentabilité envisagée aurait été au rendez-vous pour certains titres et l'histoire aurait été belle. Il aurait fallu lancer le principe 5 ans plus tôt avant le marasme.

Pour autant, si on peut reprocher une communication exécrable à Sandawe et une certaine candeur de passionné pour le dirigeant que j'ai pu vérifier, on ne peut certainement pas parler de "malhonnêteté" que je vois poindre ça et là en laissant entendre (sans le moindre début de preuve par ailleurs) qu'il serait parti avec la caisse. Et je ne suis pas son avocat, loin s'en faut. Ses erreurs de choix éditoriaux avec des projets lamentables et pas au niveau qu'il a assumé ont toujours été un réel point de discorde (sic) entre nous dès 2011 !

Loin de moi l'idée de contester tout ce que cette expérience aura apportée de ton point de vue. Cela a été pour toi une bonne alternative, inédite et intéressante, à l'édition traditionnelle.
Néanmoins je pense que cette boite s'est écroulée faute de professionnalisme. C'est pour moi la conséquence logique de la négation de certains métiers (cf mon mail plus haut). Je n'ai pas l'impression qu'il y ait eu de crise généralisée comme tu le dis.

[Keorl]

Je lis ce topique, et je vois des questions qui ont des réponses contradictoires et qui entravent le débat.

Sandawe a-t-il oui ou non promis que les fonds des édinautes seraient placés sur des comptes séparés et protégés en cas de dépôt de bilan ?
Si c'est le cas, Sandawe a-t-il oui ou non failli à cette promesse et touché à ces fonds pour autre chose que le transfert de l'argent aux auteurs lors de la confirmation de projets ? Cet argent est-il ou non remboursable à terme aux édinautes (puisque protégé et distinct des comptes de la boite) ou est-il embarqué comme n'importe quel autre argent dans la procédure et le remboursement des créanciers ?

Les auteurs de Chastity Blaze ont-ils oui ou non reçu l'argent (15k€, parait-il) qu'ils auraient dû utiliser pour faire imprimer l'album et envoyer des contreparties ?

[Erik Arnoux]

Oui Stéphane, il y a eu bien des erreurs de faites, mais si, il y a eu au cours de cette même période une chute drastique des ventes et ce pour tout le monde, je m'en souviens très bien, qui a aussi mis à mal un projet qui sur le papier en 2009 tenait la route, c'est clair.

Je pourrais énumérer les aléas imprévisibles, mais ce serait fastidieux. Rien que le coût des retours facturés par le diffuseur, par exemple, en te basant sur ce que te disent les représentants qui remontent les notés chez les libraires qui te parlent de "8 000 commandes", que tu imprimes donc en conséquence, sauf qu'à l'arrivée tu en vends 1 000. Ça signifie des milliers de bouquins en retour (et dans quel état !) qui seront facturés un euro pièce à l'éditeur, qui va devoir les trier ce qui a aussi un coût, et voilà une somme qui n'était pas budgétée et qu'il va bien falloir trouver, qu'on va multiplier par le nombre de titres. Forcément à l'arrivée on est mal et c'est juste un point de détail parmi plein d'autres du même genre.

Je passe sur l'hostilité de certains libraires fort mal informés ou de mauvaise foi (j'en ai vus…) croyant à une concurrence par correspondance et sur l'image désastreuse (et justifiée alors) des mauvais titres sortis des trois premières années qui a plombé le truc et les albums venus ensuite, dont certains très réussis pourtant, sans oublier ce terrible et stupide "Sandawe c'est l'éditeur des projets refusés ailleurs" (tous les projets le sont à un moment donné, Blacksad a été refusé chez Glénat, Soleil et Delcourt par exemple, mais il ne viendrait à l'idée de personne d'en parler comme d'un projet refusé !) qui n'a franchement pas aidé non plus.

[Erik Arnoux]

@K: de ce que j'ai compris en demandant des explications, la banque gérant la maison d'édition a effectivement sitôt le lancement mis sur pied et ouvert des comptes séparés et dédiés par titre. Une logique de fonctionnement sur chaque projet pour encaisser les fonds et en pratique empêcher les passages d'un titre vers un autre pour compenser des pertes par exemple. (Et pas possible de puiser pour autre chose que le titre, rien à voir non plus avec les frais de fonctionnement de la structure, loyer, salaires etc, financés par ailleurs.)

Des tiroirs en principe hermétiques et pas des vases communicants, en quelque sorte.

Mais apparemment tous dans le même meuble ! Sur un seul et même compte initial regroupant ces fameux sous-comptes. J'avoue que ça m'a scié. Le liquidateur du coup a considéré la globalité et tout amalgamé selon sa logique.

Par exemple il restait sur le compte Sara Lone 4 près de 25 000 balles qu'on devait utiliser pour la promo et qui sont partis dans les dettes globales de la boîte.

[stephane_]

@K: de ce que j'ai compris en demandant des explications, la banque gérant la maison d'édition a effectivement sitôt le lancement mis sur pied et ouvert des comptes séparés et dédiés par titre. Une logique de fonctionnement sur chaque projet pour encaisser les fonds et en pratique empêcher les passages d'un titre vers un autre pour compenser des pertes par exemple. (Et pas possible de puiser pour autre chose que le titre, rien à voir non plus avec les frais de fonctionnement de la structure, loyer, salaires etc, financés par ailleurs.)

Des tiroirs en principe hermétiques et pas des vases communicants, en quelque sorte.

Mais apparemment tous dans le même meuble ! Sur un seul et même compte initial regroupant ces fameux sous-comptes. J'avoue que ça m'a scié. Le liquidateur du coup a considéré la globalité et tout amalgamé selon sa logique.

Par exemple il restait sur le compte Sara Lone 4 près de 25 000 balles qu'on devait utiliser pour la promo et qui sont partis dans les dettes globales de la boîte.

Ben oui, pour le liquidateur, il y a une seule société, il se moque de la popote interne.

[papyjulio]

Ben oui, pour le liquidateur, il y a une seule société, il se moque de la popote interne.

Exactement. Pour la gestion du site et des différents titres les comptes étaient cloisonnés et jusqu'à preuve du contraire il n'y a pas eu de transfert ou de ponction.
Mais lors d'un dépôt de bilan, l'ensemble des comptes rattachés à la société sont vidés afin de rembourser les créanciers.

[Erik Arnoux]

Tout le malentendu concernant cette histoire de comptes soi-disants "protégés" vient de là. Naïvement, j'étais persuadé que comme il y avait réellement autant de comptes que de projets, c'était bétonné de ce côté, sans imaginer… que c'était contenu dans le compte principal ! De ce que j'ai compris depuis, on m'a expliqué que techniquement, il aurait été impossible de faire autrement, mais je ne maîtrise pas du tout les arcanes bancaires.

[stephane_]

Ce n'est pas bancaire mais juridique. Quand on saisit ton bureau, peu importe que tu aies 3 ou 12 tiroirs, tout y passe

[cubi58]

Ben oui, pour le liquidateur, il y a une seule société, il se moque de la popote interne.

Exactement. Pour la gestion du site et des différents titres les comptes étaient cloisonnés et jusqu'à preuve du contraire il n'y a pas eu de transfert ou de ponction.
Mais lors d'un dépôt de bilan, l'ensemble des comptes rattachés à la société sont vidés afin de rembourser les créanciers.

Ce n'est pas vraiment ce qui est indiqué dans le rapport :
"RAPPORT D’ACTIVITE
La société anonyme LES EDITIONS SANDAWE avait pour objet, au sens général, la production, l’édition, et la commercialisation des droits issus de l’exploitation d’œuvres d’artistes, sous toutes leurs formes et notamment par financement participatif, on line, de tiers qui souhaitaient soutenir un projet d’édition. Celle-ci poursuivait toujours une activité moribonde au moment de la mise en liquidation. Cette société fonctionnait en étroite connexion avec l’ASBL PORTEFEUILLE EDINAUTES, par conséquent, également mise en liquidation à la même date et auprès du même liquidateur.
Il ressort de l’étude des documents de la procédure que les recettes engendrées par les activités ont été utilisées par la société anonyme LES EDITIONS SANDAWE pour financer de nouveaux projets d’éditions, alors que ces fonds auraient dus être prioritairement et utilement affectés au remboursement des parts, tel que prévu dans la convention de crowfunding convenue avec les internautes souscripteurs."

Il y a bien eu ponction pour tenter de sauver du naufrage.... mais naufrage il y a eu

La gestion éditoriale et financière fut faite en dépit du bon sens .... trop d'albums bons pour la poubelle, peu de considération pour les conseils d'édinautes et fuite en avant catastrophique.

[papyjulio]

Il ressort de l’étude des documents de la procédure que les recettes engendrées par les activités ont été utilisées par la société anonyme LES EDITIONS SANDAWE pour financer de nouveaux projets d’éditions, alors que ces fonds auraient dus être prioritairement et utilement affectés au remboursement des parts, tel que prévu dans la convention de crowfunding convenue avec les internautes souscripteurs."

Il y a bien eu ponction pour tenter de sauver du naufrage.... mais naufrage il y a eu

La gestion éditoriale et financière fut faite en dépit du bon sens .... trop d'albums bons pour la poubelle, peu de considération pour les conseils d'édinautes et fuite en avant catastrophique.

En effet je n'avais pas connaissance de ce rapport plutôt accablant...

[Perrotin]

Je vois que mon nom apparait plus haut dans le fil de discussion. Comme plusieurs auteurs Sandawe, j'ai envoyé un courrier au liquidateur avec AR afin de pouvoir récupérer les 16500€ investis par nos édinautes (sur le T8 de la série Lance Crow Dog). L'idée était de pouvoir tenir nos engagements pris vis à vis d'eux en terminant et publiant l'album. Je n'ai malheureusement jamais eu de réponse à mon courrier. C'est pourquoi je me suis mis à la recherche d'un nouvel éditeur qui accepterait de prendre en charge les coûts de création et de production de l'album. C'est ainsi que BD Must est entré dans la danse et publiera l'album en Septembre. Un autre de mes albums, le tome 5 de la série Terra incognita, avait été financé sur la plateforme Sandawe. Après moult péripéties, celui-ci sortira également en Septembre. Par contre, tous les engagements pris auprès de ses 123 édinautes pourront être tenus car j'avais pu récupérer la somme investie par nos soutiens - et leurs coordonnées - bien avant l'arrêt de Sandawe... J'enverrai albums et bonus des différents paliers à la rentrée en espérant que les mails et Mondial Relay soient toujours valides... Pour le coup, cet album sera, il me semble, le dernier de l'aventure Sandawe. Une aventure qui, hormis la fin catastrophique, fut pour moi riche de rencontres. Nombre d'édinautes sont ainsi devenus des amis que je prends plaisir à retrouver en festivals

[Le Rescator]

Merci Serge pour ces précisions, et bravo pour avoir fait preuve de ténacité afin de mener ce dernier projet S... à son terme avec le T5 de Terra Incognita.

En associant Bry également car je crois me souvenir à travers les anciens messages partagés que la période fut parfois difficile pour elle ...

[Le Rescator]

Une nouvelle communication de Philippe NIHOUL cette semaine sur le site de financement participatif précédemment évoqué, comme suite aux nombreux commentaires d'anciens Edinautes SANDAWE sur la page même de ce nouveau Projet ULULE :

"... Nous avons enfin pu récupérer la liste des édinautes Sandawe. Un peu de patience, oui ça en fait beaucoup, c’est vrai. Vous serez prochainement contactés personnellement par mail. Merci de ne pas utiliser cette page — qui n’a rien voir avec le projet S.... — comme tribunal du peuple et de ne plus prononcer ce nom mille fois maudit sur cette belle page toute neuve, quoiqu’en noir et blanc."

[cubi58]

Une nouvelle communication de Philippe NIHOUL cette semaine sur le site de financement participatif précédemment évoqué, comme suite aux nombreux commentaires d'anciens Edinautes SANDAWE sur la page même de ce nouveau Projet ULULE :

"... Nous avons enfin pu récupérer la liste des édinautes Sandawe. Un peu de patience, oui ça en fait beaucoup, c’est vrai. Vous serez prochainement contactés personnellement par mail. Merci de ne pas utiliser cette page — qui n’a rien voir avec le projet S.... — comme tribunal du peuple et de ne plus prononcer ce nom mille fois maudit sur cette belle page toute neuve, quoiqu’en noir et blanc."

Je viens de recevoir le mail ....

"ENFIN DES BONNES NOUVELLES POUR LES ÉDINAUTES SANDAWE SUR LE PROJET CHASTITY BLAZE !
L’album Chastity Blaze est terminé, il sera publié par BD Must en octobre 2021.
Il se présentera sous forme d’une édition collector au tirage limité à 333 exemplaires en noir et blanc, augmentée d’un cahier de croquis de 8 pages et d’un ex-libris signé.

LES SOUSCRIPTIONS POUR CET ALBUM SONT OUVERTES SUR ULULE !
Nous avons prévu en accord avec BD Must deux avantages exclusifs réservés aux anciens édinautes Sandawe qui souscriront sur Ulule :
1) Un portfolio exclusif Chastity X comprenant 6 illustrations signées et tiré à 250 exemplaires numérotés.
Ce portfolio est offert exclusivement aux anciens édinautes Sandawe qui souscriront au projet Chastity Blaze sur Ulule.
C’est un portfolio totalement différent de celui déjà proposé au palier à 79 € !
2) Chaque ancien édinaute Sandawe qui souscrit au projet sur Ulule recevra un ticket de loterie pour remporter une des 3 planches originales Chastity Blaze cédées par les auteurs."


Ont-ils touché l'argent de Sandawe ? le projet était clos et normalement ils auraient dû le recevoir... Dans ce cas, ce serait scandaleux !
De toute façon, l'avantage accordé "bien généreusement" aux cochons payeurs, ex-édinautes, qui ont attendu des années leur album est de devoir encore payer.... au minimum 49 €. Sans moi et tant pis pour mes 100 € déjà versés.
Par leur report permanent sur SW, ils sont l'un et l'autre fautifs à 100% ...

Pour moi, Sandawe n'est pas un nom maudit, mais Mika et Nihoul ...

[Le Rescator]

Pas glop ! Pas glop !

Cette communication adressée le 10/07/2021 aux Edinautes Sandawe du Projet "Chastity Blaze" depuis une adresse anonyme allwritecom@gmail.com ne me semble pas "all right" et ne correspond pas du tout au mail attendu annonçant, en collaboration avec l'éditeur BD MUST déjà éditeur de la version collector Noir & Blanc, la date de parution de l'album standard couleur déjà largement financé par ces mêmes Edinautes Sandawe et dont les fonds à hauteur de plus de 15000 euros ont bien été versés aux deux auteurs de l'oeuvre bien avant la fermeture du site de crowdfunding :

"ENFIN DES BONNES NOUVELLES POUR LES ÉDINAUTES SANDAWE SUR LE PROJET CHASTITY BLAZE !
L’album Chastity Blaze est terminé, il sera publié par BD Must en octobre 2021.
Il se présentera sous forme d’une édition collector au tirage limité à 333 exemplaires en noir et blanc, augmentée d’un cahier de croquis de 8 pages et d’un ex-libris signé.

LES SOUSCRIPTIONS POUR CET ALBUM SONT OUVERTES SUR ULULE !
Nous avons prévu en accord avec BD Must deux avantages exclusifs réservés aux anciens édinautes Sandawe qui souscriront sur Ulule :
1) Un portfolio exclusif Chastity X comprenant 6 illustrations signées et tiré à 250 exemplaires numérotés.
Ce portfolio est offert exclusivement aux anciens édinautes Sandawe qui souscriront au projet Chastity Blaze sur Ulule.
C’est un portfolio totalement différent de celui déjà proposé au palier à 79 € !
2) Chaque ancien édinaute Sandawe qui souscrit au projet sur Ulule recevra un ticket de loterie pour remporter une des 3 planches originales Chastity Blaze cédées par les auteurs.

Cette offre est accessible à tous les souscripteurs Sandawe et est valable dès le premier palier Ulule. Elle prendra fin avec le financement actuellement en cours sur Ulule.

En espérant vous retrouver sur le nouveau projet Chastity Blaze, nous vous disons encore merci.
SEMPER FI  !"

Philippe, Mika, et surtout Jean-Michel pour la crédibilité voire la pérennité de BD MUST dans le microcosme de la BD voire au-delà, je me permets de vous inviter, très amicalement pour le moment, à vous resaisir ... avant saisie ! (Jeu de mots à la Nihoul)

P.S. : Au 10/07/2021 à 12H00, le financement de la version collector sur le site de crowdfunding ULULE atteint le montant de 11 617 euros à 32 jours de la fin de la campagne, ce qui laisse augurer d'un atterrissage financier proche voire supérieur au montant précédemment financé sur feu SANDAWE à hauteur de 15 000 euros.

[kilfou]

La vache, faut oser demander de recracher au bassinet à ceux qui se sont fait enfler une fois déjà.

Mais bon BD Must, ils sont pas connus pour être philantropes hein

[Gwennt]

Comme cubi58 j'avais financé le projet à hauteur de 100€. Je me vois mal remettre une rallonge pour......un portfolio