Cyril a écrit:Silenttimo comment un étranger ou quelqu'un d'autre (peu importe) peut il participer (je te cite) a l'économie du pays en payant un loyer, taxe d'habitation et tva si il n'a aucune rentrée d'argent ?
Déjà, parmi ces étrangers qui ne travaillent pas, il y a pas mal de chibanis, ainsi que les étudiants.
Faut avoir visité un ancien foyer Sonacotra pour savoir dans quelles conditions la France les a hébergés pour avoir de la main d'oeuvre entre 1945/50 et 1975/80. Mais passons. Derrière un clavier, c'est inimaginable.
Les chibanis ont une retraite souvent, un minimum vieillesse parfois, des allocations rarement (handicap : les vieux chibanis ont souvent honte de devoir être accompagnés ou assistés, donc ne demandent pas souvent d'aides).
Ensuite, c'est oublier qu'il y a pas mal d'étrangers qui font des études : c'est l'une des principales sources d'arrivées migratoires chaque année.
Bourses, accords binationaux ou internationaux, échanges, ils reçoivent des aides de leur pays, des aides françaises, des aides familiales, exceptionnellement des bourses d'excellence et autres aides européennes. Exactement comme un Français poursuivant des études, à l'exception de bourses ou aides d'un pays étranger.
Enfin, dans quelle mesure un chômeur étranger ou un chômeur non-étranger participent à l'économie (je parle de ceux de catégorie A, sans aucun travail) ?
Où est le distinguo ?
En quoi le chômeur non-étranger contribuerait-il davantage à l'économie ?
Comment peut-il participer en payant la TH, un loyer, la TVA, etc... ?
Pareil l'un et l'autre : ils cherchent du travail, ont acquis des droits, et liquident ces droits en espérant retrouver du taf.
@ Mandrake : si l'on peut éviter le point Godwin quand je tente d'argumenter !!