Olaf Le Bou a écrit:
pas très explicite son billet. elle semble autant emmerdée par la censure que par la publication de Vivès, renvoyant un peu tout le monde dos à dos, semblant déplorer à la fois qu'on puisse publier ce bouquin et qu'on cherche ensuite à l'interdire. j'ai du mal à comprendre ce qu'elle cherche à dire.
2fois2cinq a écrit:Il prône la discussion et le débat. Il n'aime pas qu'on le prenne rapidement position...
Olaf Le Bou a écrit:
pas très explicite son billet. elle semble autant emmerdée par la censure que par la publication de Vivès, renvoyant un peu tout le monde dos à dos, semblant déplorer à la fois qu'on puisse publier ce bouquin et qu'on cherche ensuite à l'interdire. j'ai du mal à comprendre ce qu'elle cherche à dire.
Qui a réglé le débat ? En faveur de Vivès?
Mr Degryse a écrit:Qui a réglé le débat ? En faveur de Vivès?
L'avocat ( d'ailleurs plutôt pas bon) dit que pour lui le bouquin n'est clairement pas pedopornographique mais que si il y a procès c'est loin d'être gagné car le texte de loi ne laisse part à aucune minoration.
Le journaliste trouvait lui que le bouquin même pris sur le ton de l’humour était plus que limite
Aigle Solitaire a écrit:C'est qui, l'avocat ?
Sysy77 a écrit:Je prends la photo de mes enfants nus sortant du bain. Suis-je un pédopornographe ? Ou je souhaite uniquement immortaliser cet instant de tendresse ?
Olaf Le Bou a écrit:Sysy77 a écrit:Je prends la photo de mes enfants nus sortant du bain. Suis-je un pédopornographe ? Ou je souhaite uniquement immortaliser cet instant de tendresse ?
Il y a quelque chose d'un renversement orwellien (freedom is slavery, ignorance is strength) dans la manière dont en une génération à peine ce qui était le symbole suprême de l'innocence (des enfants nus) est devenu synonyme d'absolue perversité. Et j'ai l'impression que c'est les mêmes mécanismes que ceux décrits par Orwell qui ont opéré ce changement de mœurs.
Olaf Le Bou a écrit:Il y a quelque chose d'un renversement orwellien (freedom is slavery, ignorance is strength) dans la manière dont en une génération à peine ce qui était le symbole suprême de l'innocence (des enfants nus) est devenu synonyme d'absolue perversité. Et j'ai l'impression que c'est les mêmes mécanismes que ceux décrits par Orwell qui ont opéré ce changement de mœurs.
Il y a quelque chose d'un renversement orwellien (freedom is slavery, ignorance is strength) dans la manière dont en une génération à peine ce qui était le symbole suprême de l'innocence (des enfants nus) est devenu synonyme d'absolue perversité. Et j'ai l'impression que c'est les mêmes mécanismes que ceux décrits par Orwell qui ont opéré ce changement de mœurs.
Mr Degryse a écrit:Oui enfin personne ne t'emmerde si tu prends une photo de tes enfants nues dans un bain. Et même un artiste on ne l'emmerde pas si il le fait.
Mr Degryse a écrit:On commence à se poser des questions comme quand Hamilton, un artiste ne fait que ça de sa carrière, que cela revient comme un leitmotiv de toutes tes créations. Ou qu'on érotise les photos. Hamilton ne photographiait pas que l’innocence en fleur , il la mettait en image et l'érotisait beaucoup.
Brian Addav a écrit:Je fais un aparté sur Hamilton. Il faut bien avoir à l'esprit que si q1 exposait les mêmes photos aujourd'hui il finirait au poste direct.
À son époque tout le monde comprenait et acceptait la portée erotique et pédophile de ses photos. Autre temps autre mœurs.
pabelbaba a écrit:5 BD ça peut paraître beaucoup, mais finalement, il en a quand même sorti une trentaine en tout. Ce qui relativise l’obnubilation.
Mr Degryse a écrit:Il y a quelque chose d'un renversement orwellien (freedom is slavery, ignorance is strength) dans la manière dont en une génération à peine ce qui était le symbole suprême de l'innocence (des enfants nus) est devenu synonyme d'absolue perversité. Et j'ai l'impression que c'est les mêmes mécanismes que ceux décrits par Orwell qui ont opéré ce changement de mœurs.
Oui enfin personne ne t'emmerde si tu prends une photo de tes enfants nues dans un bain.
Olaf Le Bou a écrit:Mr Degryse a écrit:Il y a quelque chose d'un renversement orwellien (freedom is slavery, ignorance is strength) dans la manière dont en une génération à peine ce qui était le symbole suprême de l'innocence (des enfants nus) est devenu synonyme d'absolue perversité. Et j'ai l'impression que c'est les mêmes mécanismes que ceux décrits par Orwell qui ont opéré ce changement de mœurs.
Oui enfin personne ne t'emmerde si tu prends une photo de tes enfants nues dans un bain.
J'ai le sentiment que si. Il y a quelques années, mon fils ainé fréquentait assidument la gamine avec qui il était en garde chez la nounou, ils étaient les meilleurs amis du monde, mon fils allait régulièrement passer des soirées chez la drôlesse et réciproquement, on l'emmenait chez Disney, ce genre de trucs. Et on s'invitaient régulièrement avec les parents en question. Une fois parmi d'autres, en donnant le bain du soir aux enfants, qui devaient aller vers les six ans je crois, ma femme et moi prenons quelques photos parce qu'ils étaient trognons tous les deux et s'amusaient follement et qu'immortaliser ce beau moment me paraissait naturel. Et tout aussi innocemment et dénués d'arrière-pensées que l'on avait prit les photos, on les a partagés avec les parents de la fille.
Ils n'ont rien dit mais ont brutalement rompu les ponts, plus d'invitation, plus de visite, plus de contact. Je me suis senti humilié, souillé, et complètement démuni, comme doit l'être un innocent accusé à tort, et j'en garde le même genre de traumatisme et une rancune tenace contre ces inquisiteurs modernes projetant leurs pensées malsaines et leur puritanisme rance sur autrui.
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