cicerobuck a écrit:
cicerobuck a écrit:après avoir écris un autre truc ridicule et risible
Bolt a écrit:cicerobuck a écrit:après avoir écris un autre truc ridicule et risible
L'entrée dans l'arène n'est pas le plus compliqué, c'est la confirmation qui reste le plus dur.
cicerobuck a écrit:En tout cas, le concept est hyper puissant. Je le commence ce soir j'espère,...
cicerobuck a écrit:
L'histoire socio-culturelle et esthétique de la dance music underground anglaise, bien hâte de lire ça!
Thierry_2 a écrit:
j'espérais un truc sympa, bien troussé et addictif. J'ai eu un assemblage indigeste d'historiettes qui sonnent comme autant de synopsis d'épisodes d'une serie télé de 2ème partie de soirée.
Delphine de Vigan explore les loyautés qui sont comme autant de chaînes pour ceux qui les portent. Roman très court et très sombre qui prend aux tripes.
bon ben Montherland, quoi. C'est pas du EE Schmitt
sergent latrique a écrit:Thierry_2 a écrit:
j'espérais un truc sympa, bien troussé et addictif. J'ai eu un assemblage indigeste d'historiettes qui sonnent comme autant de synopsis d'épisodes d'une serie télé de 2ème partie de soirée.
Delphine de Vigan explore les loyautés qui sont comme autant de chaînes pour ceux qui les portent. Roman très court et très sombre qui prend aux tripes.
bon ben Montherland, quoi. C'est pas du EE Schmitt
Je confonds toujours Delphine de Vigan avec Maylis de Kerangal.
Pour Montherlant (avec un t comme Dupont ), c'est pas jouasse quoi ?
logan1973 a écrit:
c'est le pendant de celui sur New Order, y a la même volonté d'exhaustivité (tracklist commentée des deux albums, chronologie de l'histoire), avec en plus le côté inéluctable de la fin de l'aventure et le fait que personne n'a su ou vouloir la voir arriver.
rennois a écrit:
Comment la ville est passée de zone froide, grise et sans intérêt à aller jusqu'à disputer le titre de "capitale du rock" fin 79/début 80 ?
Grégoire Laville, dans ce très bon livre d'entretiens ( et de photos ) avec tous les acteurs de l'époque, se propose de répondre à la question.
Comme tout phénomène socio-culturel de ce type, le rapprochement est évident avec toute la migration estudiantine que la ville a absorbé à l'époque, et qui n'a eu de cesse de se pérenniser.
Des points de ralliement se sont créés ( bars, magasin de disques... ). Le reste appartient à l'histoire !
"Marquis de sade" a concentré la matérialité du mouvement, mais les musiciens et les groupes étaient innombrables, se montant et se démontant tous les jours. Au point que les Majors du disque créaient leur bureau dans la ville, pour suivre le mouvement au plus près.
Jusqu'à également la création des "transmusicales".
Personnellement, je n'ai pas "accompagné" le truc, un peu tôt, j'ai pris le train en marche avec "Marc Seberg".
Belle époque, et beau livre.
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