marone222 a écrit:euh... si vous le dites a écrit:
Je n'ai pas la moindre envie de péter le système.
Je m'arrangerais très bien avec des aménagements qui améliorent la redistribution des richesses et réduisent les inégalités.
Mais la croissance continue, socle sur lequel notre modèle est constitué, ce n'est plus soutenable. On le sait depuis 50 ans. Ce n'est même plus un débat.
Alors, on fait quoi?
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Améliorer la redistribution des richesses ne résoudra en rien les problèmes écologiques majeurs (pollution, réchauffement)...essayons de rester centrés sur l'écologie
Des aménagements qui viseraient à mieux utiliser les ressources naturelles ou adapter certaines activités économiques, oui...C'est ce que font (ou commencent à faire) certaines régions semi-arides de la Méditerranée. Un exemple concret tout con : cultiver la pastèque (très consommatrice d'eau) dans des zones semi-arides n'a pas de sens et certains pays comme le Maroc envisagent d'interdire cette culture dans certaines régions qui manquent d'eau. On finira par adapter notre agriculture un jour ou l'autre..sans pour autant "péter le système"
tu parles de nos courageux politiques qui n'osent même pas interdire des pesticides ou engrais qui tuent les insectes, polluent les réserves d'eau et empoisonnent des millions de personne, mais qui ne font rien parce que ca pourrait couter du pognon a de riches industries ?
ceux qui demandent a faire des pauses dans les réglementations écologiques (deja pas respectées) ou qui font tout pour retirer tout aspect conrtraignant de la derniere loi écologique votée par l'UE ?
et tout ca parce que les gros industriels gagneraient moins de pognon si on changeait qq chsoe et donc que c'est plus interessant de contuinuer à empoisonner des millions de personnes, et de toute manière ils pourront en plus se faire du pognon supplémentaire grace à la crise écologique ?