Thierry_2 a écrit:et pour faire un strike historique, une archive de striptease
dans laquelle vous reconnaitrez Pascal Smet, au centre de le tourmente des visas.
pour le contexte, une délégation belge visite la corée du nord. C'est collector (un des rares qui n'est pas pathétique est george dallemagne, passé ensuite par msf)
Thierry_2 a écrit:pour rappel, michel daerden, c'est l'[url=https://www.google.com/search?
euh... si vous le dites a écrit:Et ça, c'est complètement hilarant :
Brian Addav a écrit:Et hop, la petite musique, qu'on va répéter régulièrement, sans en avoir l'air...
https://twitter.com/realmarcel1/status/ ... 0940033025
Aldaran a écrit:Brian Addav a écrit:Et hop, la petite musique, qu'on va répéter régulièrement, sans en avoir l'air...
https://twitter.com/realmarcel1/status/ ... 0940033025
À se demander pour qui pédale cette connasse de Bachelot.
Une troisième candidature de Macron ramènerait forcément des tas de personnes qui ne votent plus mais feraient le déplacement pour voter contre lui, ce qui serait tout bénèf' pour le camp adverse, quel qu'il soit.
Je propose une cagnotte participative pour financer des neurones pour Bachelot.
L’activation à distance des appareils électroniques par la police inquiète
La commission des lois de l’Assemblée nationale a voté le projet de loi d’orientation de la justice 2023-2027 qui prévoit, notamment, d’autoriser l’activation à distance de tout appareil connecté, téléphone, tablette, téléviseur ou assistant vocal, afin de pouvoir le géolocaliser et enclencher son micro ou sa caméra.
Ce texte, déjà adopté par le Sénat, ajoute deux nouveaux articles au Code de procédure pénale. Le premier, l’article 230-34-31, permet au procureur ou au juge d’instruction de demander, « lorsque les nécessités de l’enquête […] l’exigent », « l’activation à distance d’un appareil électronique, à l’insu ou sans le consentement de son propriétaire ou de son possesseur, aux seules fins de procéder à sa localisation en temps réel ».
Cette mesure de surveillance est limitée aux enquêtes visant « un crime ou un délit puni d’au moins dix ans d’emprisonnement » et doit être autorisée a priori par le juge des libertés et de la détention.
Le second ajout au Code de procédure pénale est l’article 706-96-2, qui prévoit, lui, d’autoriser l’activation à distance d’un appareil électronique pour enregistrer images et sons via ses microphone et caméra. Là encore, cette autorisation est conditionnée à une validation par le juge des libertés et de la détention
L’activation à distance des appareils électroniques, c’est-à-dire des téléphones mais également des tablettes ou tout autre objet connecté à Internet tels les télévisions ou les assistants vocaux, ne se fait pourtant pas toute seule. Elle nécessite en effet l’exploitation d’une faille technique de l’appareil ainsi que l’installation d’un logiciel de piratage.
Pour cela, le projet de loi précise que le procureur de la République ou le juge d’instruction peut avoir recours à « toute personne physique ou morale habilitée ».
Brian Addav a écrit:Pendant ce temps, les jeunes du PS :
https://twitter.com/lesJeunesSoc/status ... 7944791040
Utilisateurs parcourant ce forum: Aucun utilisateur enregistré et 0 invités