marone222 a écrit:la réticence à signaler ou porter plainte par crainte de nuire à un individu ou le groupe qu'il peut représenter. (...) Et là , je pense que la priorité doit être donnée à la victime.
C'est bizarre ce que tu dis, c'est la victime qui pèse le pour et le contre; entre ce qu'elle a subit et les enjeux.
C'est elle qui fait le choix de signaler ou pas.
Qui donne priorité dans ta dernière phrase que je cite ?
Tu te sens légitime à dire à la femme agressé les priorités qu'elle même doit avoir pour elle-même ?
marone222 a écrit:Et dans le cas de Bouhafs, j'espère que l'on encourage la victime qui n'a pas encore formellement fait de signalement à le faire, sans état d’âme, même s'il y a un risque d'exploitation du sujet par l'extreme-droite
Le signalement a eu lieu, ce que tu espères a eu lieu d'un point de vue politique et LFI !
Je ne comprends pas tes posts ?!?
En fait je crois que tu découvres vraiment le sujet, à te lire j'ai l'impression que tu ignores les enjeux personnels pour la personne qui signale :
- risque de pression par les proches, militants etc.
- risque de perdre un procès
- risque d'épuisement dans un combat souvent perdu d'avance (car la police est réticente, la justice lente et parfois aveugle)
- risque familial (jamais facile de faire savoir à tes enfants, ton conjoint que tu as été agressée)
- ...