LEAUTAUD a écrit:"Il y a bien des années de cela (1859 exactement)il y avait fête dans la ferme Bonney"
Ce jeune chenapan maniait le colt.
Un conseiller d’Emmanuel Macron a déjeuné secrètement avec Marion Maréchal en octobre à Paris
Bruno Roger-Petit, conseiller mémoire du chef de l’Etat, a invité la nièce de Marine Le Pen et figure de l’extrême droite identitaire dans un restaurant parisien.
Le déjeuner a eu lieu le 14 octobre, à la brasserie Le Dôme, à Paris. Bruno Roger-Petit, l’un des plus anciens collaborateurs d’Emmanuel Macron à l’Elysée, et Marion Maréchal, ex-députée du Vaucluse, ont partagé un repas, dans le petit salon confidentiel de cette brasserie de Montparnasse où l’on peut entrer par l’arrière de l’établissement et s’attabler loin des regards indiscrets. C’est là d’ailleurs que François Mitterrand donnait rendez-vous à sa fille, Mazarine, dans les années 1980, après l’école, lorsque le grand public ignorait encore son existence.
Selon un habitué du restaurant, qui n’avait pas vu la petite-fille de Jean-Marie Le Pen entrer, le déjeuner s’est terminé à 14 heures. Le conseiller du président a payé l’addition, et ni le compte rendu des échanges ni la tenue de cette rencontre n’ont filtré hors de l’Elysée. Qu’attendait Bruno Roger-Petit de cette rencontre ? Echanger au sujet de Marine Le Pen ? Prendre le pouls des ambitions politiques de Marion Maréchal ? Passer en revue les candidatures à la « droite de la droite », dont Emmanuel Macron et ses stratèges espèrent qu’elles seront le plus nombreuses possible ? La jeune directrice de l’Issep, l’Institut de sciences sociales, économiques et politiques qu’elle a fondé à Lyon, n’a elle-même pas bien compris pourquoi le conseiller voulait la rencontrer et ce qu’il lui voulait.
Marion Maréchal n’a aucun problème à confirmer le rendez-vous. « Bruno Roger-Petit est passé par un ami pour me proposer de me rencontrer. J’ai accepté : je ne refuse jamais de discuter par principe. Surtout que j’étais assez curieuse de connaître celui qui s’amusait à me traiter de nazie toutes les deux semaines quand j’étais députée. »
Joint par Le Monde dimanche après-midi, Bruno Roger-Petit n’a pas nié avoir rencontré Marion Maréchal. « A titre personnel », insiste-t-il. « Je voulais savoir ce qu’elle avait à dire et si elle était en résonance avec l’état de l’opinion – ce qui n’est pas le cas. J’ai dû constater que nous étions en désaccord. C’est un peu ce que Xavier Bertrand a fait quand il a rencontré Eric Zemmour », se défend le conseiller d’Emmanuel Macron en comparant ce déjeuner avec celui qu’a tenu récemment le président de la région Hauts-de-France avec le chroniqueur du Figaro.
Mirdhynn a écrit:Bon, sinon, les membres du gvt sont en train de préparer le terrain pour reconfiner en Janvier :
"On n'exclue rien" un peu partout dans le presse ce WE...
Mirdhynn a écrit:Bon, sinon, les membres du gvt sont en train de préparer le terrain pour reconfiner en Janvier :
"On n'exclue rien" un peu partout dans le presse ce WE...
Croaa a écrit:Mirdhynn a écrit:Bon, sinon, les membres du gvt sont en train de préparer le terrain pour reconfiner en Janvier :
"On n'exclue rien" un peu partout dans le presse ce WE...
Ce sont des hypothèses discutées depuis longtemps. Et même plus des hypothèses. Les eeules variantes sont la durée et la date de reconfinement
Et tiens, pour avoir un avis stat sur la projection des données pour la decision :
https://covidtracker.fr
Mirdhynn a écrit:Croaa a écrit:De rien.
Ils font aussi un calculateur de risques pour la fête de la St Sylvestre :
https://covidtracker.fr/calculateur-risque-covid/
Il faudrait juste que Castex donne la limite acceptable. 5, 10, 20% ?
Avec la reco de 6 personnes, on dépasse pas le 4%....
bref...
Fermetures de lits à l’hôpital : l’inquiétude remonte chez les soignants
Après la première vague de l’épidémie de Covid-19, Olivier Véran s’était engagé à mettre fin au « dogme » des réductions des capacités des établissements. Sur le terrain, les syndicats estiment que rien n’a changé, pour l’instant
Les fermetures de lits dans les hôpitaux, dans le cadre des projets de restructuration, sont-elles vraiment de l’histoire ancienne ? Au plus fort de la première vague de l’épidémie, en avril, le directeur de l’agence régionale de santé (ARS) du Grand-Est, Christophe Lannelongue, a eu le malheur de défendre le plan alors en cours au CHRU de Nancy, qui comprenait des centaines de suppressions de lits et de postes. Une faute politique, en temps de Covid-19.
Le haut-fonctionnaire a été remercié, quelques jours après ses propos – un limogeage que le Conseil d’Etat a jugé irrégulier, dans une décision du 10 décembre. Le ministre de la santé, Olivier Véran, a assuré dans la foulée que « tous les plans de réorganisation » étaient « évidemment suspendus ». Il n’a cessé de le marteler depuis : c’en est fini du « dogme de la réduction des lits » qui prévalait lors des grands projets de transformation hospitalière.
Mais, huit mois plus tard, sur le terrain, l’inquiétude remonte chez les soignants, les responsables d’hôpitaux, et les élus locaux. « Rien n’a changé », estime-t-on dans les rangs syndicaux : « Les projets se poursuivent comme avant, alors que la crise a bien montré que ce n’était plus possible », clame Christophe Prudhomme, de la CGT Santé. Lui comme d’autres égrènent les plans Copermo toujours en cours à Paris, à Nantes, à Caen, à Nancy… avec 100, 200, 300 suppressions de lits en perspective.
Croaa a écrit:https://www.lemonde.fr/societe/article/2020/12/28/fermetures-de-lits-a-l-hopital-l-inquietude-remonte-chez-les-soignants_6064623_3224.htmlFermetures de lits à l’hôpital : l’inquiétude remonte chez les soignants
Après la première vague de l’épidémie de Covid-19, Olivier Véran s’était engagé à mettre fin au « dogme » des réductions des capacités des établissements. Sur le terrain, les syndicats estiment que rien n’a changé, pour l’instant
Les fermetures de lits dans les hôpitaux, dans le cadre des projets de restructuration, sont-elles vraiment de l’histoire ancienne ? Au plus fort de la première vague de l’épidémie, en avril, le directeur de l’agence régionale de santé (ARS) du Grand-Est, Christophe Lannelongue, a eu le malheur de défendre le plan alors en cours au CHRU de Nancy, qui comprenait des centaines de suppressions de lits et de postes. Une faute politique, en temps de Covid-19.
Le haut-fonctionnaire a été remercié, quelques jours après ses propos – un limogeage que le Conseil d’Etat a jugé irrégulier, dans une décision du 10 décembre. Le ministre de la santé, Olivier Véran, a assuré dans la foulée que « tous les plans de réorganisation » étaient « évidemment suspendus ». Il n’a cessé de le marteler depuis : c’en est fini du « dogme de la réduction des lits » qui prévalait lors des grands projets de transformation hospitalière.
Mais, huit mois plus tard, sur le terrain, l’inquiétude remonte chez les soignants, les responsables d’hôpitaux, et les élus locaux. « Rien n’a changé », estime-t-on dans les rangs syndicaux : « Les projets se poursuivent comme avant, alors que la crise a bien montré que ce n’était plus possible », clame Christophe Prudhomme, de la CGT Santé. Lui comme d’autres égrènent les plans Copermo toujours en cours à Paris, à Nantes, à Caen, à Nancy… avec 100, 200, 300 suppressions de lits en perspective.
Mais sinon tout va bien
biborax a écrit:Croaa a écrit:https://www.lemonde.fr/societe/article/2020/12/28/fermetures-de-lits-a-l-hopital-l-inquietude-remonte-chez-les-soignants_6064623_3224.htmlFermetures de lits à l’hôpital : l’inquiétude remonte chez les soignants
Après la première vague de l’épidémie de Covid-19, Olivier Véran s’était engagé à mettre fin au « dogme » des réductions des capacités des établissements. Sur le terrain, les syndicats estiment que rien n’a changé, pour l’instant
Les fermetures de lits dans les hôpitaux, dans le cadre des projets de restructuration, sont-elles vraiment de l’histoire ancienne ? Au plus fort de la première vague de l’épidémie, en avril, le directeur de l’agence régionale de santé (ARS) du Grand-Est, Christophe Lannelongue, a eu le malheur de défendre le plan alors en cours au CHRU de Nancy, qui comprenait des centaines de suppressions de lits et de postes. Une faute politique, en temps de Covid-19.
Le haut-fonctionnaire a été remercié, quelques jours après ses propos – un limogeage que le Conseil d’Etat a jugé irrégulier, dans une décision du 10 décembre. Le ministre de la santé, Olivier Véran, a assuré dans la foulée que « tous les plans de réorganisation » étaient « évidemment suspendus ». Il n’a cessé de le marteler depuis : c’en est fini du « dogme de la réduction des lits » qui prévalait lors des grands projets de transformation hospitalière.
Mais, huit mois plus tard, sur le terrain, l’inquiétude remonte chez les soignants, les responsables d’hôpitaux, et les élus locaux. « Rien n’a changé », estime-t-on dans les rangs syndicaux : « Les projets se poursuivent comme avant, alors que la crise a bien montré que ce n’était plus possible », clame Christophe Prudhomme, de la CGT Santé. Lui comme d’autres égrènent les plans Copermo toujours en cours à Paris, à Nantes, à Caen, à Nancy… avec 100, 200, 300 suppressions de lits en perspective.
Mais sinon tout va bien
Entre confiner les français tout en les laissant travailler, ou alors augmenter la capacité hospitalière de la France, le gouvernement à choisit.
Il ne faudra pas s’attendre à une amélioration du système hospitalier, trop coûteux sur le très long terme.
Mirdhynn a écrit:Ouais, enfin il faut arrêter aussi un peu avec cette histoire.
En terme de gestion, vous croyez qu'il est intéressant de maintenir 200 000 lits de réanimation + les equipes qui vont avec même en temps normal? Parce que ça représente un paquet de pognon pour des choses qui n'auraient pas d'utilité (en temps normal, je répète). ça revient un peu à dire, je garde 5 palettes de tuiles dans mon jardin et je les renouvelle tous les 2 ans pour en avoir si mon toit s'envole avec une tempête
Donc sur le nombre de lits en temps normal, je ne suis pas d'accord. Par contre avoir des plans de prévus pour pouvoir faire une montée en puissance rapide en cas d'épidémie, oui.
Mirdhynn a écrit:Le Complot a écrit:Mirdhynn a écrit:Ouais, enfin il faut arrêter aussi un peu avec cette histoire.
En terme de gestion, vous croyez qu'il est intéressant de maintenir 200 000 lits de réanimation + les equipes qui vont avec même en temps normal? Parce que ça représente un paquet de pognon pour des choses qui n'auraient pas d'utilité (en temps normal, je répète). ça revient un peu à dire, je garde 5 palettes de tuiles dans mon jardin et je les renouvelle tous les 2 ans pour en avoir si mon toit s'envole avec une tempête
Donc sur le nombre de lits en temps normal, je ne suis pas d'accord. Par contre avoir des plans de prévus pour pouvoir faire une montée en puissance rapide en cas d'épidémie, oui.
Entre 8000 et 200k tu as une légère marge, tout de même.
Mais au fond, je ne suis pas d'accord, l'hôpital ne doit pas être un truc à la petite semaine, qu'on bricole selon tel ou tel truc. Tu ajoutes l'accroissement naturel et le vieillissement de la population, c'est pas tenable, même en temps normal.
Je parlais des lits de réa, la saignée des hôpitaux, évidemment, ce n'était pas une bonne idée.
Pour le reste, j'entends par plan un truc du genre :
- Formation obligatoire des personnels soignants 2-3 jours par an aux gestes de base de la réanimation (Un peu comme le principe des brevets de secouristes)
- Hôpitaux de campagne disponibles (les tentes, ça coûte moins cher à entretenir que des bâtiments)
- Assurer une "veille" permanente au niveau du matos : comment produire rapidement tel ou tel équipement médical. (qu'est ce qui existe sur le marché qu'on peut facilement retransformer - l'exemple des tubas de chez decath)
- Assurer des stocks d'équipement de 1ere necessité (masques )
Avec ce genre de plan, on aurait pu absorber la 1ere vague sans trop sourciller
Ca existe pour plein de choses, par exemple pour les crues de la Seine, tous les organismes à prévenir sont listés et doivent eux même avoir un plan . Les musées ont des réserves en zone inondable pour stocker rapidement les œuvres au cas où ils seraient innondés.
Bref, gouverner, prévoir, vous connaissez la chanson...
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