Et j'en conviens, "l'idée mais le manque de moyen" est une tournure mal choisie. Méa Culpa.
oui par là je comprends mieux , mais est ce là l'intéret d'un récit somme toutes "serie B" le fait même d'avoir une quinzaine de protagonistes ne facilite pas l'introspection de ceux ci.
on m'a reproché que Dixon parle en vers...cela le caractérise pourtant plus a coeur en l'entendant citer Charles Perrault.
quand l'écrivain Larkin hésite a prendre les ouvrages des philosophes ou les poètes sur sont vélo, c'est aussi une caractéristique propre a ce personnage.
le pasteur quant a lui a abandonné son frére et cherche toutes les raisons pour s'en justifier a ses yeux , dixon lui cite les vers de Baudelaire "abel et Caïn" pour cette raison et non pour faire genre...cela participe de son caractére pas si superficiel.
j'admet que James et cathy n'ont pas la même définition en profondeur mais c'est là le principe même du héros vecteur d'empathie.
pour combler cela j'ai donné a James une certaine capacité a ironiser ( on me l'a aussi reprocher , trop d'humour pour un héros apparemment)
le probléme ne serait il pas que tu n'ais as accroché le récit , tout simplement et que dés lors cela t'apparait comme pas crédible .
crois moi , si Blueberry n'avais eu que deux ou trois tomes , je pense qu'il ne serait pas aussi profond qu'il ne l'est aujourd'hui aprés trente tomes ..