de jolan » 02/04/2018 17:35
Bon, les vieux films depuis mon dernier post
Convoi de femmes – William WELLMAN – 1951
Scénario de Capra. Bon, on finit par s'ennuyer sévère au milieu. Ca traine ça traine. Rooh, la scène après l'attaque des indiens où elles énumèrent les mortes, qu'est-ce que c'est mauvais.
6/20
« Pendant tout ce voyage je n'ai regardé que deux choses : cette photo, et la croupe d'un cheval, et je ne saurais dire laquelle est la plus jolie »
Les Amoureux sont seuls au monde – Henri DECOIN – 1947
Un beau film romantique. Belle histoire, beaux dialogues de Jeanson. C'est dommage qu'on ne voit pas davantage la relation entre le compositeur Jouvet et sa jeune admiratrice, c'est traité en ellipse alors que c'est la cause du drame de la jalousie de sa femme, mais bon, le film se tient très agréablement. A la fin, ils diffusaient les deux versions de la fin, celle de Jeanson et Decoin, dramatique, puis celle, positive, des producteurs.
10/20
« Si l'on ne souffrait pas de temps en temps le bonheur serait insupportable »
Les Quatre fils de Katie Elder – Henry HATHAWAY – 1965
Un petit western sans grand intérêt
6/20
Rancho Bravo – McLAGLEN – 1966
Tenté de le voir pour la troisième fois, et enfin vu jusqu'au bout. Une comédie western idiote où James Stewart et Maureen O'Hara sont bien ridicules avec leur gros taureau tout moche. L'aspect loufoque diminue un peu dans la seconde moitié, mais ça n'en fait pas un bon film pour autant.
5/20
Le Déserteur de Fort Alamo – Budd BOETTICHER – 1953
Un tout petit western mal fichu. C'est pas que ce soit raté, mais c'est vraiment réalisé par-dessus la jambe, tout est traité sans soin, un tout petit Boetticher donc. Mais avec une jolie Julia Adams, entre Liz Taylor jeune et Linda Darnell
6/20
Le Deuxième souffle – Jean-Pierre MELVILLE – 1966
Un bon vieux film noir à l'ancienne. Je n'ai aucune sympathie ou fascination pour les truands, et encore moins les meurtriers, mais on se prend au jeu. Un bon Melville. J'aime bien la prestation de Meurisse, cynique à souhait. Sinon, toujours aussi peu de femmes, c'est vraiment un cinéma d'hommes Melville, et c'est pour ça que je n'en ai jamais été friand outre mesure.
8/20
Bob le Flambeur – Jean-Pierre MELVLLE – 1955
Mal filmé, mal monté. Encore un film d'hommes, de petits truands, qui multiplient les erreurs et les échecs. Et quand les femmes interviennent, soit ils ne les écoutent pas, soit elles causent leur perte. Dommage que ça ne raconte pas grand chose. Il y a une belle ambiance, Paris la nuit, au petit matin, le Paris des années 40/50, nocturne, baigné de jazz. Mais l'histoire est beaucoup trop sommaire, et la réalisation encore balbutiante.
8/20
La Diligence vers l'ouest – Gordon DOUGLAS – 1966
Un bon petit western romantique, avec Ann-Margret.
8/20
Un Brin d'escroquerie (A Touch of Larceny) – Guy HAMILTON – 1960
Une comédie mignonnette avec James Mason.
8/20
A deux pas de l'enfer – James CAGNEY – 1957
Me manquait un bout, du coup je n'ai pas trop suivi, mais c'était très bas de gamme. Cagney n'était donc ni un bon acteur ni un bon réalisateur, heureux de l'apprendre.
?/20
( La secrétaire, tuée au début, elle bouge encore un bras sur la chaise, alors qu'elle est morte )
Le Diabolique docteur Mabuse – Fritz LANG – 1960
Très bon film.
10/20
Scandale à la cour – Michael CURTIZ – 1960
Premier film dans lequel je vois Sophia Loren jouer. Le début était romantique, la suite l'est beaucoup moins, ça m'a un peu lassé.
6/20
L'Inconnu du gang des jeux – Daniel MANN – 1962
Wouaw c'est drôle, les jockeys c'est des nains. Une comédie vieillotte et idiote.
4/20
Hold-up au quart de seconde – HOPPER – 1961
Mouais bof, un vieux polar de série B
6/20
Monte Carlo – Ernst LUBITSCH – 1930
C'est mignon, c'est frais, c'est l'ancien cinéma, l'ancien monde d'avant guerre. Ca chante, ça flirte gentiment, c'est désuet, c'est naïf, on passe un agréable moment hors du temps.
9/20
Terreur à Silver City – Byron HASKIN – 1951
Un petit western bien inutile.
6/20
Le Mercenaire de Minuit – Richard WILSON – 1964
Pas mal du tout comme petit western. On voit bien à quoi ressemblera le dénouement, mais c'est agréable à suivre, les dialogues sont bons, le personnage de Yul Brynner parfait pour lui.
9/20
Les Flèches brûlées – Ray ENRIGHT – 1952
Dès qu'on le voit je me doute que Lucky est La Rafale. Bref, c'est mauvais. Le sujet n'était pas mal en soi, ils pouvaient en faire un gentil petit western, mais c'est vraiment traité par-dessus la jambe, les scènes d'action sont piteuses, c'est mauvais.
5/20
L'Organisation – Don MEDFORD – 1971
Un polar mal fichu. Une bande de bras cassés qui s'attaque à « l'Organisation », en demandant de l'aide à l'inspecteur Virgil Tibbs ( le même personnage de Sidney Poitier dans « Dans la chaleur de la nuit » ), et après ils s'étonnent lorsqu'ils se font tuer les uns après les autres et que le flic est destitué par sa hiérarchie. Bref, pas folichon.
6/20
*Quai des Orfèvres – Henri-Georges CLOUZOT – 1947
Très belle réalisation. Bon film classique réussi.
10/20
Le Vent de la Violence (The Wilby Conspiracy) – Ralph NELSON – 1975
Lâché prise au milieu. Réalisation pitoyable. J'ai pas été hyper captivé, mais comme pour « Le Carnaval des Dieux », l'injustice des rapports hommes blancs vis-à-vis des noirs est montrée de manière bien simpliste, c'est utile, soit, mais bien vain je trouve, sans doute ces films-là ont-ils ouverts les yeux à l'époque, mais bon, ça ne réglera jamais les conflits, il y aura toujours des connards et des religieux qui foutront le bordel, avec ou sans plaidoyers.
4/20
Barbe-Noire le pirate – Raoul WALSH – 1952
Deuxième fois que je retente, pour Linda Darnell, mais encore une fois j'ai arrêté au bout de dix minutes.
?/20
Le Carnaval des Dieux (Something of Value) – Richard BROOKS – 1957
Elle était très mignonne la petite Wynter. Sinon, pour le film, j'ai pas été hyper captivé, comme pour « Le Vent de la Violence
6/20
Monseigneur – Roger RICHEBE – 1949
Un petit film fort plaisant, élégamment réalisé, sur un sujet original, avec un Bernard Blier plus que convainquant, aussi bien en ouvrier serrurier qu'en Roi de France. Pas pu voir la fin, dommage.
10/20
*Les Sentiers de la Gloire – Stanley KUBRICK – 1957
Envie de revoir ce film. Une dénonciation des dérives de la hiérarchie militaire, avec des soldats fusillés pour l'exemple par un colonel taré, après une parodie de procès. Réalisation impeccable, classique dans ce qu'elle a de plus moderne, moderne dans ce qu'elle a de plus classique, une réussite.
10/20
La Bible – John HUSTON – 1966
Bon bah... comment dire... c'est pas pour moi ce genre de délire, mais quelqu'un comme Terence Malick a sans doute adoré ce film débile.
/20
Quand parle la poudre – Lesley SELANDER – 1965
Eh bah ça commence bien. Un tueur engagé pour tuer un mec et il abat sa femme. Doué le gars. Et au lieu de tirer un deuxième coup sur le mec, bah il est subjugué par sa propre erreur et préfère s'enfuir, pendant que l'autre, au lieu de lui tirer dessus ou le poursuivre, préfère rester à bien admirer l'agonie de sa femme qui s'écroule dans ses bras. Un tout petit western mal foutu.
6/20
La Vallée de la Peur (Pursued) – Raoul WALSH – 1952
Western avec Mitchum et Wright enfants amoureux puis vengeurs malgré eux et le coup du sort qui vient d'une injustice qu'on découvre in fine, on ne s'y attendait pas, c'est pas mal.
8/20
Passeur d'hommes (The Passage) – Jack Lee THOMPSON – 1979
Ma foi c'est littéralement passionnant. Un scientifique et sa famille pourchassés par les nazis qui traversent les Pyrénées pour rejoindre l'Espagne, menés par un berger. Du grand art, et avant tout, du grand cinéma. Des scènes d'action à couper le souffle tellement c'est filmé à deux à l'heure et monté avec les pieds. En plus, c'est filmé à l'épaule, ça fait très amateur. Il y a aussi la très belle scène où le nazi sodomise la jolie Kay Lenz. Un beau navet, dès la première seconde. On aura connu le Thompson plus rigoureux.
J'aime bien lorsque l'un des soldats nazis agonisant dans la neige lève la main pour quémander l'aide de son sadique de supérieur et que celui-ci lui répond par le même bras levé avant de tourner les talons
4/20
Un Jeu risqué (Wichita) – Jacques TOURNEUR – 1955
Wyatt Earp ( prénommé ici Michel ) arrive dans une petite ville qui le fait shérif et où il rencontre une certaine Laurie ( prénommée ici Laurence ), il interdit le port d'armes, tue les méchants et épouse la fille. C'est un peu sommaire.
6/20
Furie sur le Nouveau-Mexique (Young Fury) – Christian NYBY – 1964
Un tout petit western de seconde zone mal fagotté.
5/20
Le Sentier de l'enfer (Warpath) – Byron HASKIN – 1951
Un petit western de fort sympathique. La scène des prisonniers chez les indiens est risible, sinon ça passe. O'Brien pas terrible comme héros. Polly Bergen charmante.
6/20
Jicop le proscrit (The Lonely Man) – Henry LEVIN – 1957
Une histoire sommaire, guère passionnante, une réalisation classique, soignée, des cadres fixes, bien aimé.
8/20
Le Trou – Jacques BECKER – 1960
Du Giovanni quoi. Un banal film d'évasion comme on en verra des dizaines par la suite. Pas de quoi en faire un grand film, ou un classique, même si c'est agréable à voir une fois.
7/20
*Falbalas – Jacques BECKER – 1944
J'avais davantage aimé la première fois, la découverte donnant parfois plus de charme. Là, j'ai plus subi la mauvaise qualité sonore. Ensuite, j'ai trouvé le personnage principal trop lunatique et antipathique pour adhérer à son histoire, alors que la première fois ça ne m'avait pas gêné. Il est le premier à ruiner leur amour, même si à la fin c'est elle qui donne le coup fatal – je ne saisis pas pourquoi elle le répudie à contre-coeur devant l'homme qu'elle quitte. Il y a donc toujours l'aspect romantique que j'appréciais, mais la revision rabaisse la note de deux points.
10/20
Rebecca – Alfred HITCHCOCK – 1940
Belle prestation de Joan Fontaine. Un peu trop niaise au début cependant, et l'influence de la gouvernante et du poids de la défunte Rebecca un peu trop appuyé, elle subit, sa faiblesse me semble exagérée au vu des évènements très anecdotiques.
Quant à l'intrigue, ça ressemble énormément au « Soupçons » qu'ils feront juste après. Ca commence de manière plutôt légère, puis ça se tend de plus en plus, vers du thriller psychologique, mais 80 ans après ça n'est pas très crédible, ça fait même très faux. Tout cela est d'une banalité affligeante et d'un autre temps. Comme Alfred le disait lui-même « ce n'est pas du Hitchcock, c'est une histoire vieux jeu, démodée »
Je m'attendais à beaucoup plus passionnant et intrigant, et c'est relativement mince sur ce plan. Outre ces qualités esthétiques, donc, un film sans aucun intérêt. A aucun moment il n'y a une accroche pour en attendre de la romance, du psychologique, du policier, du suspens, du fantastique, c'est juste une pâle copie des soeurs Brontë, mais sans fièvre, sans passion, sans rien.
Je ne sauve que l'esthétique du film ( Oscar de la meilleure photo, d'accord, mais du film, non, surtout pas face au "Dictateur" ), le maigre emploi d'une belle demeure et de la Cornouailles, et le jeu de Joan Fontaine, avec un peu moins d'usage intempestif des sourcils que dans "Soupçons", d'abord toute frêle et fragile, la tête rentrée dans les épaules, puis plus droite... quoi que non en fait même après elle reste fragile et ne fait que subir, d'ailleurs à la fin elle est inexistante.
7/20
( clin d'oeil au « Petruschka » de Stravinsky dans la musique du début, mais c'est sans doute un thème de musique russe traditionnel )
*Rocky – John G. AVILDSEN – 1976
J'ai bien envie de voir « Creed », du coup je me remate le premier, vu il y a plus de vingt ans. Au final : un film sur la boxe comme moi je suis Miss France. C'est au mieux la rencontre d'un paumé et d'une timide, et à la fin il y a un combat mal joué qui dure le temps de dire bon y a eu un combat avec tous les raccourcis possibles, et le gars s'en fiche autant que moi puisque la seule chose qui l'intéresse c'est de retrouver sa petite Adrian pour lui dire qu'il l'aime. Un peu plus et on était chez Cassavetes.
6/20
Rocco et ses frères – Luchino VISCONTI – 1960
Les grandes douleurs et les poses souffreteuses, ça me paraît bien adolescent et bien désuet. La problématique principale me semble quand même d'un autre âge, c'est du romantisme exacerbé qui tient plus des auteurs du XIXe que de l'Italie d'après guerre. On est chez Visconti quoi. Cet aspect m'a gêné, le reste était comme un autre film, plus réaliste, plus moderne, plus juste. Note mitigée donc
8/20
*Le Désordre et la Nuit – Gilles GRANGIER – 1957
Je ne l'aurais pas revu, j'aurais été totalement infichu de dire de quoi ce film pouvait bien parler. Je pense que cette deuxième vision me permettra de m'en souvenir. Belle prestation générale, bonne ambiance, intrigue sommaire mais un bon film noir avec son héroïne attendrissante. Et à la fin, le héros n'est pas dupe : une fois guérie, elle choisira de partir. Elle l'aime uniquement parce qu'il la protège, en père de substitution.
10/20
Avis précédent : une belle actrice autrichienne, Nadja Tiller. Un bon polar des années 50 avec son paris nocturne et son ambiance dépravée, son intrigue à deux sous et son histoire d'amour improbable.
12/20
Gabriel over the White House – Gregory La CAVA – 1933
Un autre La Cava dans la veine Capra ( mais avant les grands Capra, donc il ne faut peut-être pas totalement inverser les influences ), humaniste et patriotique (« Glory alleluïa » toutes les vingt secondes, un peu saoulant à force ). Un film agréable, donc, mais quelques défauts pour atteindre la magie de ce dernier, et c'est un peu avec ce rapprochement que j'ai regardé le film, et donc ressenti des manques. On ne s'identifie pas au personnage, qui certes passe de président indifférent à président concerné, mais on ne se sent jamais avec lui. Pareil, on aurait pu revoir son petit neveu, qu'il accompagne le changement de son oncle, qu'il soit témoin, et même que le président se confie à lui sur ce qui lui arrive, mais non on le voit au début, on se dit qu'il va se passer des choses dans leur relation, mais non, on ne le verra plus. Et j'en viens au défaut majeur : il aurait été plus judicieux de faire intervenir à un moment un passage explicatif de ce qui lui arrive, en plus des petites ouvertures de rideaux qui symbolisent le « souffle de Gabriel ». Qu'il se dise à lui-même « j'ai un sursis de vie en cadeau pour changer le monde, pour faire le bien avant de mourir », qu'il parle à son neveu justement, ou à sa secrétaire. Bref, pour apprécier le film sur un plan plus magique, plus poétique, pour renforcer le côté « conte », je pense que ça aurait été hautement profitable. Et puis ça se limite un peu trop à des scènes de discussions entre hommes politiques, ou avec le gangster (la scène de l'assaut du repaire de gangsters, c'est d'un débile). J'aurais plutôt vu une séquence plus longue avec les chômeurs du début, qui occupent les parcs. Un conflit au début avec leur meneur, puis l'accident, et ensuite une réconciliation, et la promesse d'oeuvrer ensemble. Or, le leader se fait tuer d'emblée, puis le président vient dire aux chômeurs « je vais vous trouver du travail » et hop c'est réglé. Film agréable, donc, mais qui n'a pas dépassé mes attentes. Par contre, lorsqu'il parle de la prochaine guerre, il est relativement - et malheureusement - prophétique.
9/20
*Quelques messieurs trop tranquilles – George LAUTNER – 1973
Une comédie franchouillarde. Au début c'est un peu rigolo, il y a quelques bonnes petites réparties amusantes, entre les villageois et les hippies. La deuxième moitié, avec les truands, j'ai zappé.
6/20
Le Secret des Incas – Jerry HOPPER – 1954
Charlton Heston en aventurier au Pérou qui inspira le personnage d'Indiana Jones à Lucas, tout comme la scène avec le médaillon. Un trésor inca dans les couloirs de Machu-Pichu, des trahisons, de la romance à deux balles avec la même femme qui n'a qu'un but : fuir, on ne sait pourquoi. Les hommes, eux, ne cherchent qu'une hypothétique fortune, hormis le gentil archéologue courtois. Les scènes de chant inca en mode jazzy post-modern avec orchestre hollywoodien invisible, c'est bien ridicule comme il faut. Un mauvais film d'aventures.
5/20
*Marie-Octobre – Julien DUVIVIER – 1959
Un bon film en huis-clos, théâtral, basé sur les dialogues de Jeanson et les relations entre les différents protagonistes, qui sont autant de suspects les uns après les autres. J'avais bien aimé adolescent, normal, c'est bien écrit et bien joué. Je le place désormais un ton en deçà du « Repas des Fauves » mais ça reste un classique de qualité.
10/20
*Mon Nom est personne – Tonino VALERII – 1973
J'ai dû voir le film deux ou trois fois en trente ans, je me souvenais de toutes les scènes, mais j'ai encore eu du mal à rentrer dans le script, c'est vraiment mal foutu. Dommage aussi que le film soit morcelé de la sorte : un western potache où rien ne nous est épargné au niveau humour de tarte à la crème et baffes débiles. Mais aussi un western plus sérieux ( la voix off finale ) qui aurait pu être réussi s'il avait été moins raté. Et apparemment ce qui est le plus raté semble venir de Leone lui-même, qui a réalisé quelques scènes.
7/20
Le Septième juré – George LAUTNER – 1962
Très bon petit film, lorsque Lautner faisait encore de bons films classiques, et non des comédies loufoques. Très bonne prestation de Blier.
10/20
Votez McKay – Michael RITCHIE – 1972
Jolie petite apparition de Natalie Wood. Sinon c'était intéressant, l'idéaliste qui veut changer la politique et la société, et qui finit par se rendre compte qu'il ne pourra rien faire.
7/20
*Il était une fois dans l'Ouest – Sergio LEONE – 1968
J'apprécie davantage ce film à présent, je ne l'aimais pas trop auparavant. Je ne comprenais pas bien tous les méandres du scénario, qui sans être complexe est un peu inutilement confus néanmoins. Trop de personnages pour un même usage dans l'histoire. A la place, avec la si jolie bouille de Claudia Cardinale, lui donner plus de place et une vraie histoire d'amour n'eût pas été de trop. Là, c'est ébauché et aussitôt abandonné dans les cinq dernières minutes, c'est idiot. Mais sur le plan formel, très peu de choses à redire : une réussite.
12/20
*Le Bon, la brute et le Truand – Sergio LEONE – 1966
Parler de « western spaghetti » pour les Leone, ça m'a toujours paru bizarre : hormis ses films, tout le reste est au ras du caniveau, ça n'a vraiment rien de comparable. Ici, la réalisation est superbe, la moindre scène est parfaite, le scénario se tient, la construction narrative est solide, la musique bon bah on connait, bref, c'est du bon grand film qui en plus d'être jouissif même après la dixième vision n'a pas pris une ride ( d'ailleurs quand un western est réussi, c'est le genre le plus intemporel qui soit ), et il me semblera toujours malvenu de classer ses films parmi le pire des genres qui soit.
13/20
Au Seuil de l'enfer (The Doorway to Hell) – Archie MAYO – 1930
Le premier film de gangsters. Pas trop mal.
8/20
Sur la Piste des Apaches – R.G. SPRINGSTEEN – 1966
Western tout naze
4/20
La Cité des dangers – Robert ALDRICH – 1975
Ce film a-t-il le moindre intérêt ? J'en doute fort. Un film américain de base qui ne ferait même pas un épisode de série actuelle, avec des clins d'oeil au cinéma français ( Deneuve en potiche inutile ) pour bien appuyer le côté totalement raté de l'entreprise.
3/20
*Warlock – Edward DMYTRYK – 1959
Revu ce très bon western, parfaitement écrit et réalisé. Parmi mes favoris.
12/20
Ville sous le joug – Edward LUDWIG – 1953
J'aime bien l'idée de base avec le héros qui revient libérer son village d'un tyran, mais en se faisant introduire dans le clan des méchants, pour mieux le combattre de l'intérieur.
6/20
« Tu vis dans le passé, ce n'est pas bon – Le passé est la seule chose douce qu'il me reste »
*Marqué au fer – Rudolph MATE – 1951
Un petit western doté d'une idée originale, mais aussi d'erreurs et de balbutiements scénaristiques.
7/20
L'Epée du Vaillant – Stephen WEEKS – 1984
Mauvais. Le mot est faible. Tout est mauvais. C'est un sketch c'est pas possible autrement. Probablement le pire film de 1984, on croirait plutôt un navet de 1978.
1/20
Je crois que j'en avais déjà parlé de ce dernier, donc j'ai dû remonté jusqu'au dernier post
Jolan, le gars qui n'a le droit de ne rien dire, sinon ses posts sont supprimés illico par Nexus.