Le Tapir a écrit:PS:
Le vaccin protège des formes graves... C'est tout. C'est pas le top, mais c'est l'essentiel...
Oui, mais ça, ce n'est pas une simple croyance religieuse ? Un truc que tout le monde et surtout les médecins et journalistes bourrés de conflits d'intérêts répètent à l'envi sur les plateaux de téloche ?
J'attends qu'on m'explique et me prouve quels sont les mécanismes qui feraient que les soupes élaborées par la DARPA avec Big Pharma (et dont on dit maintenant qu'il faut répéter les injections tous les trois mois parce que le taux d'anticorps antispike diminue fortement au-delà !
) protègent des formes graves alors quelles n'empêchent pas les inoculés de développer un, deux ou trois covid légers.
Ne dit-on pas ?
"Qui peut le plus, peut le moins ?" Si le virus n'est pas grave, depuis le début, il frappe indifféremment les fragiles (immunodéprimés pour diverses raisons, obèses, vieillards mal alimentés, jeunes et moins jeunes avachis addicts à la malbouffe et aux écrans mais incapables de bouffer un kiwi ou une pêche avec sa peau, etc...) et les plus résistants.
Les gens dont le système immunitaire n'est pas à la ramasse s'en sortent bien (il peut s'agir d'octogénaires ou nonagénaires qui s'en remettent à condition d'avoir bénéficié de quelques médocs et vitamines et d'un médecin bienveillant qui suit tout ça de près), et ce depuis la toute première vague.
Les autres, morflent.
Mais à force de jouer et de tromper le système immunitaire (principe de la vaccination) avec des injections répétées, surtout pour des personnes n'ayant pas un profil à risque, n'y a-t-il pas le risque de le déglinguer (comme on le fait depuis longtemps avec l'antibiothérapie ou avec l'hormonothérapie, des pratiques à risques) ?
Un autre truc : l'intérêt des labos et des dirigeants de l'ombre est-il d'avoir des populations à la santé florissante ou des individus avec des maladies de longue durée (cardiopathies, cancers, maladies auto-immunes ou neuro-dégénératives) ?
Par exemple, Pfizer vient récemment d'investir plus de 6 milliards de dollars dans une entreprise peu rentable qui développait des traitements pour des maladies auto-immunes. Peu rentable sans doute parce que nombre de ces maladies étaient dites "orphelines". Mais si elles se mettent à "prospérer" (comme c'est le cas dans les pays occidentaux et riches des maladies cardiaques, cancers, alzheimer et autres scléroses en plaque, lupus, etc... ou encore l'autisme qui explose chez les jeunes), il se pourrait que l'affaire dans laquelle Pfizer vient d'investir devienne subitement rentable.
S'intéresser aux motifs et aux montants des condamnations de Pfizer, Merck ou Bayer au cours des vingt dernières années (charlatanisme, tromperie, falsification, corruption et abus d'influence, etc...) devrait aussi inciter à la modération et à un certain attentisme.
Enfin, on sait désormais que la protéine spike des derniers variants (celle qui se fixe si aisément sur nos récepteurs ACE2 ce qui permet de passer la barrière hématoencéphalique) a bien évolué depuis la mise au point des vaccins (élaborés et brevetés bien avant l'apparition de l'épisode Wuhan, personne de sensé n'en douterait une seconde car on ne met pas au point un vaccin à adénovirus ou ARNm, ni même un vaccin classique en quelques mois. Seul le Père Noël sait faire cela...).
Et donc, les anticorps produits par l'organisme en quantité importante après un shoot servent-ils encore à quelque chose ? Sachant que le virus comporte d'autres protéines que celles de surface et qu'une véritable contamination permet au système immunitaire et aux cellules mémoire d'identifier un plus grand nombre de protéines et d'apporter une réponse plus globale.
Qu'en est-il d'une éventuelle inhibition des mécanismes de l'immunité innée et du rôle très polyvalent de l'interféron de type 1 (qui est utile pour faire le ménage en matière de cancer, mais pas que ?).
En cela, je rejoins Reginhard et jp_gris car une certaine quiétude ne saurait nuire au système immunitaire, bien au contraire.
En revanche, je m'inquiète et suis attristé chaque fois que je lis des propos typiquement fascistes comme ceux d'Eisenheim. Il y a seulement trois ou quatre ans, tout le monde aurait été choqué. Maintenant, ça glisse comme un pet sur une toile cirée.
Pro ou antivax, peu me chaut.
Aussi, quand j'y viens, j'aime lire au bistro les commentaires de membres tout en retenue et doutes (si pabelbaba, brian ou Myrdhinn se reconnaissent, ce n'est pas un pure coïncidence
) qui tiennent des avis modérés et n'étalent pas des certitudes, ne se contentent pas de répéter comme des perroquets les slogans de Véran ou Ursula Von der Layen concoctés par le cabinet McKInsey.
Se poser des questions est naturel, surtout dans une psy-op mondiale.
Pour la létalité propre à la covid, là aussi il y a matière à discussion. Cf les discussions à la chambre des lords au RU.
Par contre, Gates (un homme qu'il faut prendre très au sérieux car comme le nazi Klaus Schwab, tout ce qu'ils annoncent se réalise plus ou moins, même si leur narratif est biaisé...) a annoncé des virus qui pourraient encore rapporter gros et pour lesquels il a déjà les vaccins (Marburg, Ebola, variole).
Donc en vue de ces réjouissances annoncées, est-il sage ou prudent d'épuiser nos organismes en s'inoculant de façon régulière des substances qui créent l'inflammation ? Pourquoi fabriquer de la spike à longueur d'années ?
Le système immunitaire, il n'a pas besoin de se reposer un peu ?