

Philemon a écrit:... Du 100% magouille, dénoncée par tous les spécialistes, mais crânement défendu par Sapin sans aucune honte, avec l'argument "je suis le ministre, je dis ce que je veux, donc c'est vrai".

Jeff70 a écrit:A Paris, l'immobilier est déjà reparti à la hausse.
Jeff70 a écrit:En province, la situation est plus difficile à apprécier: différences selon les régions, disparités villes/campagne...


LEAUTAUD a écrit:Un petit up, vu la conjoncture boursière en cours (2008 bis repetita ?)


LEAUTAUD a écrit:Un petit up, vu la conjoncture boursière en cours (2008 bis repetita ?)

Jeff70 a écrit:LEAUTAUD a écrit:Un petit up, vu la conjoncture boursière en cours (2008 bis repetita ?)
La situation actuelle est difficile à appréhender parce que, d'une part, la hausse probable des taux d'intérêt est une redoutable "épée de Damoclès" suspendue au-dessus des marchés boursiers (actions et obligations), mais, d'autre part, il y a longtemps que les taux d'intérêt ne résultent plus de la libre confrontation entre l'offre et la demande sur le marché de l'argent, étant donné les interventions massives des instituts d'émission....
A partir de là, il est difficile de prévoir ce qui peut se passer à court ou moyen terme...


Anianka a écrit:J ai pas trop compris pourquoi d un coup ca se pete la gueule de 7 points voir plus.
Mais bon vu qu en general les economistes ne voient rien venir non plus je vais pas m acharner a essayer de comprendre pourquoi maintenant et pas a un autre moment.


Le Complot a écrit:Jeff70 a écrit:LEAUTAUD a écrit:Un petit up, vu la conjoncture boursière en cours (2008 bis repetita ?)
La situation actuelle est difficile à appréhender parce que, d'une part, la hausse probable des taux d'intérêt est une redoutable "épée de Damoclès" suspendue au-dessus des marchés boursiers (actions et obligations), mais, d'autre part, il y a longtemps que les taux d'intérêt ne résultent plus de la libre confrontation entre l'offre et la demande sur le marché de l'argent, étant donné les interventions massives des instituts d'émission....
A partir de là, il est difficile de prévoir ce qui peut se passer à court ou moyen terme...
Et l'immobilier ? Tout ça peut clairement se casser la gueule

Anianka a écrit:J ai pas trop compris pourquoi d un coup ca se pete la gueule de 7 points voir plus.
Mais bon vu qu en general les economistes ne voient rien venir non plus je vais pas m acharner a essayer de comprendre pourquoi maintenant et pas a un autre moment.

Jeff70 a écrit:La situation actuelle est difficile à appréhender parce que, d'une part, la hausse probable des taux d'intérêt est une redoutable "épée de Damoclès" suspendue au-dessus des marchés boursiers (actions et obligations), mais, d'autre part, il y a longtemps que les taux d'intérêt ne résultent plus de la libre confrontation entre l'offre et la demande sur le marché de l'argent, étant donné les interventions massives des instituts d'émission....
A partir de là, il est difficile de prévoir ce qui peut se passer à court ou moyen terme...
Jeff70 a écrit:L'immobilier est un peu à part.
Bien sûr, en principe, la hausse des taux d'intérêt provoque une baisse de l'immobilier, puisqu'elle renchérit le coût des opérations immobilières avec endettement.
Jeff70 a écrit:Mais, d'autre part, lorsqu'il y a des risques de crack obligataire, et/ou d'effondrement du marché des actions, comme actuellement, les gens ont tendance à réorienter leur épargne vers des "valeurs refuge", au premier rang desquelles l'immobilier, qui présente en plus l'avantage d'être un "bien réel" qui conserve sa valeur ( ou en tous cas UNE valeur) même si la valeur de la monnaie s'effondre et que l'épargne financière est laminée.


sergent latrique a écrit:Personnellement, c'est une hausse des salaires, que j'apprécierais parce que mine de rien, blocage, augmentation des taux de ci et de ça, ça commence à faire beaucoup.

Pouffy a écrit:Jeff70 a écrit:L'immobilier est un peu à part.
Bien sûr, en principe, la hausse des taux d'intérêt provoque une baisse de l'immobilier, puisqu'elle renchérit le coût des opérations immobilières avec endettement.
Disons que la baisse déjà engagée à de nombreux endroit va se poursuivre... et à d'autre endroit ça va freiner voire stopper la hausse.Jeff70 a écrit:Mais, d'autre part, lorsqu'il y a des risques de crack obligataire, et/ou d'effondrement du marché des actions, comme actuellement, les gens ont tendance à réorienter leur épargne vers des "valeurs refuge", au premier rang desquelles l'immobilier, qui présente en plus l'avantage d'être un "bien réel" qui conserve sa valeur ( ou en tous cas UNE valeur) même si la valeur de la monnaie s'effondre et que l'épargne financière est laminée.
Là ça va prendre du temps... si effondrement du marché actions, les gens n'ont plus de sous et si hausse des taux les gens ne peuvent plus emprunter... donc techniquement pas acheter d'immobilier.



Jeff70 a écrit:Personnellement, je pense qu'on peut sans souci continuer à investir dans l'immobilier parisien
Jeff70 a écrit:Dans un pays comme la France, la baisse des actions n'affecte quasiment personne, car très peu de français détiennent des portefeuilles d'actions significatifs.
Jeff70 a écrit:Bien sûr, des corrections à la baisse sur l'immobilier sont toujours possible, mais, à l'heure actuelle, la meilleure stratégie patrimoniale me parait être "la fuite devant la monnaie", qui consiste à transformer dès qu'on le peut son épargne en "biens réels" ( immobilier, or, éventuellement objets d'art si on n'a pas peur de spéculer...).
Jeff70 a écrit:dans une optique de long terme, il me parait bien préférable d'investir sur un marché immobilier actif, et pour lequel il existe une demande potentielle importante, comme le marché parisien, plutôt que de conserver des liquidités ou des placements financiers.
Jeff70 a écrit:Naturellement, il faut être prudent en ce qui concerne l'endettement, bien que les acquéreurs bénéficient actuellement de taux fixes très bas pour des achats immobiliers.




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